PARIS, 12 avr 2013 (AFP) - Le producteur australien de gaz de houille QGC a annoncé vendredi avoir attribué un contrat pouvant aller "jusqu'à 800 millions de dollars" australiens (645 millions d'euros) au français Veolia Environnement pour traiter l'eau ramenée à la surface avec le méthane.
Dans le cadre de ce contrat de 20 ans, Veolia sera chargé de l'exploitation et de l'entretien de trois stations de traitement de l'eau dans le bassin géologique du Surat, dans l'Etat du Queensland (est), indique QGC dans un communiqué.
Le numéro un mondial de l'eau, qui comptait beaucoup sur ce contrat dans le cadre de sa stratégie visant à se recentrer sur une clientèle industrielle, est ainsi préféré à son compatriote Suez Environnement et à l'américain General Electric, également en lice pour le projet.
Les trois stations d'épuration auront une capacité quotidienne de 200 millions de litres, soit 80 piscines olympiques. Elles emploieront 55 employés de Veolia, précise QGC.
Le groupe précise qu'il investit au total plus d'un milliard de dollars australiens dans les infrastructures nécessaires. Après traitement, l'eau remontée à la surface, "généralement inutilisée", serait employable pour l'agriculture et l'industrie locale. Les deux stations de traitement principales sont actuellement en construction.
Le gaz de charbon, plus connu sous le nom de "grisou", fait partie, comme les gaz de schiste, des gaz dits "non conventionnels", dont l'exploitation se développe à travers le monde.
De grandes quantités d'eau sont employées pour l'extraire, ce qui représente un nouveau marché pour les groupes spécialisés dans la dépollution et le traitement comme Veolia et Suez.
Le contrat s'inscrit dans le projet géant de gaz naturel liquéfié (GNL) de Queensland Curtis LNG, qui doit produire son premier GNL en 2014, selon QGC.
Dans le cadre de ce contrat de 20 ans, Veolia sera chargé de l'exploitation et de l'entretien de trois stations de traitement de l'eau dans le bassin géologique du Surat, dans l'Etat du Queensland (est), indique QGC dans un communiqué.
Le numéro un mondial de l'eau, qui comptait beaucoup sur ce contrat dans le cadre de sa stratégie visant à se recentrer sur une clientèle industrielle, est ainsi préféré à son compatriote Suez Environnement et à l'américain General Electric, également en lice pour le projet.
Les trois stations d'épuration auront une capacité quotidienne de 200 millions de litres, soit 80 piscines olympiques. Elles emploieront 55 employés de Veolia, précise QGC.
Le groupe précise qu'il investit au total plus d'un milliard de dollars australiens dans les infrastructures nécessaires. Après traitement, l'eau remontée à la surface, "généralement inutilisée", serait employable pour l'agriculture et l'industrie locale. Les deux stations de traitement principales sont actuellement en construction.
Le gaz de charbon, plus connu sous le nom de "grisou", fait partie, comme les gaz de schiste, des gaz dits "non conventionnels", dont l'exploitation se développe à travers le monde.
De grandes quantités d'eau sont employées pour l'extraire, ce qui représente un nouveau marché pour les groupes spécialisés dans la dépollution et le traitement comme Veolia et Suez.
Le contrat s'inscrit dans le projet géant de gaz naturel liquéfié (GNL) de Queensland Curtis LNG, qui doit produire son premier GNL en 2014, selon QGC.
