Dans un communiqué, la vice-présidence répond aux critiques suite au report de l'examen du projet de loi portant code de la propriété publique. Affirmant vouloir "travailler plutôt que de faire de la démagogie à but médiatique", Antony Géros balaie les critiques de ceux "qui du brouhaha ont fait leur métier et leur seul moyen d’exister".
La vice-présidence réfute également les rumeurs sur la fragilité de la majorité, certains observateurs ayant vu dans le report de la séance la preuve que le gouvernement n'avait pas les 29 voix nécessaires à l'adoption du texte. "N’en déplaise à certains, sa majorité est toujours au rendez-vous, et ce n’est pas là qu’il faut trouver l’explication du report de la session prévue ce matin" explique Antony Géros.
Si le report de ce texte a été décidé, c'est bien parce que "le gouvernement a entendu les appels des personnes de bonne foi et de bonne volonté" affirme le vice-président. "C’est pour ceux-là, et pas pour les gesticulateurs patentés qu’il a décidé de donner un temps supplémentaire à l’écoute, au dialogue, sans pour autant se dédire".
Antony Géros affirme que les consultations continuent pour améliorer ce texte : "associations culturelles, professionnels du secteur, ainsi que les représentants et Politiques qui préfèrent travailler que de rechercher les sunlights et les caméras seront reçus par le vice-président et son équipe, dans les jours à venir" explique le communiqué, disponible dans son intégralité ci-dessous :
La vice-présidence réfute également les rumeurs sur la fragilité de la majorité, certains observateurs ayant vu dans le report de la séance la preuve que le gouvernement n'avait pas les 29 voix nécessaires à l'adoption du texte. "N’en déplaise à certains, sa majorité est toujours au rendez-vous, et ce n’est pas là qu’il faut trouver l’explication du report de la session prévue ce matin" explique Antony Géros.
Si le report de ce texte a été décidé, c'est bien parce que "le gouvernement a entendu les appels des personnes de bonne foi et de bonne volonté" affirme le vice-président. "C’est pour ceux-là, et pas pour les gesticulateurs patentés qu’il a décidé de donner un temps supplémentaire à l’écoute, au dialogue, sans pour autant se dédire".
Antony Géros affirme que les consultations continuent pour améliorer ce texte : "associations culturelles, professionnels du secteur, ainsi que les représentants et Politiques qui préfèrent travailler que de rechercher les sunlights et les caméras seront reçus par le vice-président et son équipe, dans les jours à venir" explique le communiqué, disponible dans son intégralité ci-dessous :
