Tahiti, le 16 avril 2020 - Le ministère de l’Economie a indiqué jeudi que des pirates informatiques tentaient d’arnaquer les gens sur les réseaux sociaux en utilisant notamment un faux compte au nom du ministre Tearii Alpha. Il appelle donc à la vigilance des internautes face à ce procédé qui vise à recueillir les informations bancaires des victimes.
A l’heure du confinement où de nombreuses personnes tuent le temps en parcourant les réseaux sociaux, le ministère de l’Economie a indiqué jeudi que de faux comptes au nom du ministre Tearii Alpha, évoquant une aide financière du gouvernement, du ministère de l’Economie verte et des Nations-Unies, avaient été ouverts sur les réseaux sociaux tels que Facebook et WhatsApp. Cette arnaque permet aux pirates informatiques de “recueillir les informations bancaires des victimes répondant à ces sollicitations”.
Afin que les internautes ne soient pas victimes de cette arnaque, le ministère demande donc à “toutes les personnes ayant reçu de tels messages de ne pas y donner suite et de faire les signalements adéquats aux autorités compétentes”. Le ministère rappelle que ces faits constituent des délits et que leurs auteurs encourent des peines d’amende et d’emprisonnement.
A l’heure du confinement où de nombreuses personnes tuent le temps en parcourant les réseaux sociaux, le ministère de l’Economie a indiqué jeudi que de faux comptes au nom du ministre Tearii Alpha, évoquant une aide financière du gouvernement, du ministère de l’Economie verte et des Nations-Unies, avaient été ouverts sur les réseaux sociaux tels que Facebook et WhatsApp. Cette arnaque permet aux pirates informatiques de “recueillir les informations bancaires des victimes répondant à ces sollicitations”.
Afin que les internautes ne soient pas victimes de cette arnaque, le ministère demande donc à “toutes les personnes ayant reçu de tels messages de ne pas y donner suite et de faire les signalements adéquats aux autorités compétentes”. Le ministère rappelle que ces faits constituent des délits et que leurs auteurs encourent des peines d’amende et d’emprisonnement.