Sport scolaire : les Polynésiens pourront participer aux championnats de France
La présidente de l’Union du sport scolaire polynésien (USSP), Aline Heitaa-Archier et le directeur national de l’Union nationale du sport scolaire (UNSS), Laurent Petrynka ont signé lundi à Paris, une convention visant à renforcer les liens entre les deux fédérations, et multiplier les échanges entre la Polynésie et la métropole.
Ce partenariat, officialisé en présence du ministre de l’Education, de la Jeunesse et des Sports, Tauhiti Nena, permettra notamment aux licenciés de l’USSP de participer aux championnats de France scolaires.
« Cette convention est l’aboutissement de 6 ans de travail. Elle légitime la reconnaissance des licences entre l’USSP et l’UNSS. Nos jeunes pourront désormais participer aux compétitions nationales et être officiellement champions de France » s’est réjoui le directeur de l’Union du sport scolaire polynésien, Arnaud Laboube à l’issue de la signature.
A l’inverse, les licenciés de l’Union nationale du sport scolaire auront la possibilité de prendre part aux compétitions organisées par l’USSP.
« C’est une ouverture sportive très importante, et elle est effective dès cette année » a souligné pour sa part Laurent Petrynka.
« Faire émerger une élite »
Dans le cadre de cette convention, qui prévoit aussi un échange d’expertises et l’accès pour l’USSP à l’ensemble des outils de communication de son homologue, des équipes polynésiennes pourraient participer dès janvier prochain, aux championnats de France excellence de volley-ball, et en mars 2012, à Nice, aux Jeux internationaux de la jeunesse.
« Notre objectif est de faire émerger, parmi nos 8000 licenciés, une élite capable de participer aux championnats nationaux, mais aussi internationaux » précise Arnaud Laboube.
A terme, l’USSP souhaite en effet être affiliée à la Fédération internationale du sport scolaire (ISF).
Développer les échanges internationaux
« Nous souhaitons développer les échanges internationaux. Intégrer l’ISF nous permettra non-seulement de prendre part aux championnats du monde scolaires, mais aussi d’accueillir des compétitions internationales, à l’image de l’Eimeo Va’a 2011, où nous avons invité des équipes néozélandaises, hawaïennes et calédoniennes » développe-t-il.
L’USSP, qui présentera la candidature de la Polynésie française en novembre, à Chypre, pourra compter sur le soutien de l’UNSS dans sa démarche.
« La francophonie au cœur des organisations internationales est un vrai enjeu, notamment pour Nicolas Sarkozy. La France est membre du comité exécutif de la Fédération internationale du sport scolaire et à ce titre, a déjà sensibilisé le président de l’ISF à la candidature prochaine de la Polynésie, que nous soutiendrons » assure Laurent Petrynka.
Ce partenariat, officialisé en présence du ministre de l’Education, de la Jeunesse et des Sports, Tauhiti Nena, permettra notamment aux licenciés de l’USSP de participer aux championnats de France scolaires.
« Cette convention est l’aboutissement de 6 ans de travail. Elle légitime la reconnaissance des licences entre l’USSP et l’UNSS. Nos jeunes pourront désormais participer aux compétitions nationales et être officiellement champions de France » s’est réjoui le directeur de l’Union du sport scolaire polynésien, Arnaud Laboube à l’issue de la signature.
A l’inverse, les licenciés de l’Union nationale du sport scolaire auront la possibilité de prendre part aux compétitions organisées par l’USSP.
« C’est une ouverture sportive très importante, et elle est effective dès cette année » a souligné pour sa part Laurent Petrynka.
« Faire émerger une élite »
Dans le cadre de cette convention, qui prévoit aussi un échange d’expertises et l’accès pour l’USSP à l’ensemble des outils de communication de son homologue, des équipes polynésiennes pourraient participer dès janvier prochain, aux championnats de France excellence de volley-ball, et en mars 2012, à Nice, aux Jeux internationaux de la jeunesse.
« Notre objectif est de faire émerger, parmi nos 8000 licenciés, une élite capable de participer aux championnats nationaux, mais aussi internationaux » précise Arnaud Laboube.
A terme, l’USSP souhaite en effet être affiliée à la Fédération internationale du sport scolaire (ISF).
Développer les échanges internationaux
« Nous souhaitons développer les échanges internationaux. Intégrer l’ISF nous permettra non-seulement de prendre part aux championnats du monde scolaires, mais aussi d’accueillir des compétitions internationales, à l’image de l’Eimeo Va’a 2011, où nous avons invité des équipes néozélandaises, hawaïennes et calédoniennes » développe-t-il.
L’USSP, qui présentera la candidature de la Polynésie française en novembre, à Chypre, pourra compter sur le soutien de l’UNSS dans sa démarche.
« La francophonie au cœur des organisations internationales est un vrai enjeu, notamment pour Nicolas Sarkozy. La France est membre du comité exécutif de la Fédération internationale du sport scolaire et à ce titre, a déjà sensibilisé le président de l’ISF à la candidature prochaine de la Polynésie, que nous soutiendrons » assure Laurent Petrynka.
Education : projet de convention entre le Pays et l’ONISEP
Le ministre de l’Education, de la Jeunesse et des Sports, Tauhiti Nena, accompagné de la directrice des Enseignements secondaires, Aline Heitaa-Archier, a rencontré, mardi matin à Paris, le directeur de l’Office nationale d’information sur les enseignements et les professions (ONISEP), Pascal Charvet et son animatrice réseau, Frédérique Weixler.
Les discussions ont porté sur un projet de convention entre le Pays et l’établissement public, visant à mieux informer et mieux orienter les jeunes Polynésiens, en fonction notamment des débouchés professionnels et des besoins en matière de compétences sur le plan local.
Ce partenariat devrait être officialisé début 2012, à l’occasion d’une mission de l’ONISEP à Tahiti.
La Polynésie française intègrera ainsi le réseau des 28 délégations régionales et accèdera à l’ensemble des outils de communication de l’office.
Un espace lui sera par ailleurs dédié sur le site internet de l’ONISEP.
Les Polynésiens auront ainsi accès à une base de données unique en Europe, comprenant 78 000 adresses d’établissements, 230 000 formations et cursus, et 600 métiers.
Des outils modernes
Ils bénéficieront en outre d’outils modernes tels les plateformes multimedia interrégionales, la géolocalisation cartographique des formations et des établissements, ou encore le passeport orientation formation (webclasseur).
Dans un second temps, des dispositifs similaires pourront être développés en Polynésie française avec le soutien technique de l’ONISEP.
Le projet de convention fera l’objet d’une présentation en ouverture du séminaire des chefs d’établissements du 2nd degré de Polynésie française, dans quinze jours à Papeete.
A terme, Tauhiti Nena souhaite aboutir à la mise en place de partenariats analogues avec les pays océaniens, tels l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
Tauhiti Nena reçu par le directeur de l’ONISEP vendredi
Le ministre polynésien, la directrice des Enseignements secondaires et le directeur de l’Enseignement primaire seront reçus vendredi par le directeur de l’ONISEP, Pascal Charvet au centre de Lognes, près de Paris, où leur seront présentés les services de l’office et leur articulation.
L’Office nationale d’information sur les enseignements et les professions est un établissement public dépendant des ministères de l'Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Il a pour mission d’informer sur les formations, les métiers et les secteurs professionnels, accompagner les jeunes et leurs familles dans la préparation de leur avenir, et conseiller les parents, les élèves et les équipes éducatives.
Les discussions ont porté sur un projet de convention entre le Pays et l’établissement public, visant à mieux informer et mieux orienter les jeunes Polynésiens, en fonction notamment des débouchés professionnels et des besoins en matière de compétences sur le plan local.
Ce partenariat devrait être officialisé début 2012, à l’occasion d’une mission de l’ONISEP à Tahiti.
La Polynésie française intègrera ainsi le réseau des 28 délégations régionales et accèdera à l’ensemble des outils de communication de l’office.
Un espace lui sera par ailleurs dédié sur le site internet de l’ONISEP.
Les Polynésiens auront ainsi accès à une base de données unique en Europe, comprenant 78 000 adresses d’établissements, 230 000 formations et cursus, et 600 métiers.
Des outils modernes
Ils bénéficieront en outre d’outils modernes tels les plateformes multimedia interrégionales, la géolocalisation cartographique des formations et des établissements, ou encore le passeport orientation formation (webclasseur).
Dans un second temps, des dispositifs similaires pourront être développés en Polynésie française avec le soutien technique de l’ONISEP.
Le projet de convention fera l’objet d’une présentation en ouverture du séminaire des chefs d’établissements du 2nd degré de Polynésie française, dans quinze jours à Papeete.
A terme, Tauhiti Nena souhaite aboutir à la mise en place de partenariats analogues avec les pays océaniens, tels l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
Tauhiti Nena reçu par le directeur de l’ONISEP vendredi
Le ministre polynésien, la directrice des Enseignements secondaires et le directeur de l’Enseignement primaire seront reçus vendredi par le directeur de l’ONISEP, Pascal Charvet au centre de Lognes, près de Paris, où leur seront présentés les services de l’office et leur articulation.
L’Office nationale d’information sur les enseignements et les professions est un établissement public dépendant des ministères de l'Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Il a pour mission d’informer sur les formations, les métiers et les secteurs professionnels, accompagner les jeunes et leurs familles dans la préparation de leur avenir, et conseiller les parents, les élèves et les équipes éducatives.
