La deuxième édition du Tahitian Spartan Contest s’est tenue ce samedi 21 octobre à Pirae, en matinée. Cet événement sportif d’un genre nouveau proposait un parcours de course à pied entrecoupé d’exercices physiques de type crossfit. Cette année, pas moins de 70 équipes se sont affrontées sur un tout nouveau parcours. Ce sont les spécialistes de la course à pied qui se sont imposés.
Le challenge était de taille avec au programme sept épreuves physiques réparties sur la route en montée du Belvédère. Comme l’année dernière, le parcours devait être fait en équipe de trois.
On retrouve à la première place les athlètes confirmés que sont Teva Poulain, Teiva Izal et Samuel Aragaw, ils bouclent le parcours en 1H05’. Chez les femmes, Anne-Lise Bourrineau, Helena Tetuanui et Sikana Hanna gagnent en 1H50’ alors qu’en mixte Samuel Zijp, Guenaelle Rauby et Laurent Guerrero s’imposent en 1H16’. Sport Tahiti
Le challenge était de taille avec au programme sept épreuves physiques réparties sur la route en montée du Belvédère. Comme l’année dernière, le parcours devait être fait en équipe de trois.
On retrouve à la première place les athlètes confirmés que sont Teva Poulain, Teiva Izal et Samuel Aragaw, ils bouclent le parcours en 1H05’. Chez les femmes, Anne-Lise Bourrineau, Helena Tetuanui et Sikana Hanna gagnent en 1H50’ alors qu’en mixte Samuel Zijp, Guenaelle Rauby et Laurent Guerrero s’imposent en 1H16’. Sport Tahiti
Le trio gagnant était composé d'athlètes confirmés
Parole à Teiva Izal :
Ton analyse de la course ?
« Juste après le premier atelier, on a pris les devants, on a essayé de gérer, on s’est beaucoup encouragés, cela a fait notre force. On a monté l’équipe cette semaine. J’ai eu confiance en mes deux collègues et je pense que cela a été réciproque. Nous ne sommes pas venus pour réaliser le meilleur chrono mais plutôt pour s’amuser. Bien sûr, quand on est dans la course, l’esprit de compétition ressort, on a essayé d’aller le plus vite possible sans vraiment penser au chrono. »
Parole à Teva Poulain :
« Ce matin, avant le départ, on s’est tous un peu jaugés. On nous a parlé d’équipes d’athlètes assez bons dans tel ou tel sport, ceux qui font du crossfit notamment, mais cette année encore, ce sont des coureurs qui ont gagné. On est pas costauds, pour gagner il faut être bon en course à pied, donc j’imagine probablement que les organisateurs rendront peut-être les épreuves plus difficiles pour freiner les coureurs. »
« Avec Teiva et Samuel, qui sont les champions actuels pour la course à pied, on a fait une belle équipe. Teiva nous a appelés mardi pour nous dire qu’on allait faire la course, donc c’est vrai qu’on redoutait un petit peu les habitués. Mais on s’est bien donnés et voilà le résultat. »
Parole à Romana Puputauki, organisatrice :
Peux-tu nous présenter les nouveautés ?
« Cette année, la grande nouveauté a été l’ajout du tronçon du retour incluant trois épreuves inédites, comme le « jumping-jack » et le « push-press ». Bien que nous ayons conservé certaines épreuves comme les « push-ups », les « squats » et les « burpees », nous avons aussi rapproché les sept ateliers pour éviter qu’il y ait trop de distance entre eux. »
La participation ?
« Nous avons eu 70 équipes de 3 cette année, contre 72 en 2016. Quatre équipes se sont malheureusement désistées, en raison de l’indisponibilité de l’un des membres, chaque équipe devant impérativement être composée de trois athlètes. »
Un dernier mot, un remerciement ?
« Je tiens à remercier tous les partenaires qui nous ont soutenus, ceux qui ont prêté le matériel ainsi que les « crossfitteurs » qui ont encadré les épreuves. Mauruuru aux sponsors et aux partenaires logistiques qui nous ont suivis une nouvelle fois sans hésiter. Et merci surtout aux 80 bénévoles qui ont mis la main à la pâte et qui, je l’espère, seront là encore l’année prochaine ! »
Ton analyse de la course ?
« Juste après le premier atelier, on a pris les devants, on a essayé de gérer, on s’est beaucoup encouragés, cela a fait notre force. On a monté l’équipe cette semaine. J’ai eu confiance en mes deux collègues et je pense que cela a été réciproque. Nous ne sommes pas venus pour réaliser le meilleur chrono mais plutôt pour s’amuser. Bien sûr, quand on est dans la course, l’esprit de compétition ressort, on a essayé d’aller le plus vite possible sans vraiment penser au chrono. »
Parole à Teva Poulain :
« Ce matin, avant le départ, on s’est tous un peu jaugés. On nous a parlé d’équipes d’athlètes assez bons dans tel ou tel sport, ceux qui font du crossfit notamment, mais cette année encore, ce sont des coureurs qui ont gagné. On est pas costauds, pour gagner il faut être bon en course à pied, donc j’imagine probablement que les organisateurs rendront peut-être les épreuves plus difficiles pour freiner les coureurs. »
« Avec Teiva et Samuel, qui sont les champions actuels pour la course à pied, on a fait une belle équipe. Teiva nous a appelés mardi pour nous dire qu’on allait faire la course, donc c’est vrai qu’on redoutait un petit peu les habitués. Mais on s’est bien donnés et voilà le résultat. »
Parole à Romana Puputauki, organisatrice :
Peux-tu nous présenter les nouveautés ?
« Cette année, la grande nouveauté a été l’ajout du tronçon du retour incluant trois épreuves inédites, comme le « jumping-jack » et le « push-press ». Bien que nous ayons conservé certaines épreuves comme les « push-ups », les « squats » et les « burpees », nous avons aussi rapproché les sept ateliers pour éviter qu’il y ait trop de distance entre eux. »
La participation ?
« Nous avons eu 70 équipes de 3 cette année, contre 72 en 2016. Quatre équipes se sont malheureusement désistées, en raison de l’indisponibilité de l’un des membres, chaque équipe devant impérativement être composée de trois athlètes. »
Un dernier mot, un remerciement ?
« Je tiens à remercier tous les partenaires qui nous ont soutenus, ceux qui ont prêté le matériel ainsi que les « crossfitteurs » qui ont encadré les épreuves. Mauruuru aux sponsors et aux partenaires logistiques qui nous ont suivis une nouvelle fois sans hésiter. Et merci surtout aux 80 bénévoles qui ont mis la main à la pâte et qui, je l’espère, seront là encore l’année prochaine ! »