Paris, France | AFP | vendredi 19/08/2022 - La vague actuelle de Covid-19, qui avait commencé début juin, a poursuivi son recul ces derniers jours en France métropolitaine, ni les contaminations ni les hospitalisations n'étant plus considérées à un niveau élevé, a annoncé vendredi l'agence de santé publique.
Du 8 au 14 août, "la diminution de la circulation du SARS-CoV-2 s'est poursuivie avec une amélioration des indicateurs épidémiologiques dans l'ensemble des régions métropolitaines", a résumé dans un communiqué Santé publique France, à l'occasion de son bilan hebdomadaire.
Quant aux outre-mer, la situation est aussi en train de s'y améliorer sauf à la Réunion où l'épidémie poursuit sa progression.
Pour la première fois depuis plusieurs semaines, Santé publique France n'a pas estimé que les contaminations et les hospitalisations restaient à un niveau "élevé".
C'est donc, de fait, la fin de la vague actuelle qui avait démarré début juin et provoqué un pic d'hospitalisations fin juillet, certes à un niveau inférieur aux deux précédentes vagues, en début d'année et au printemps.
Jeudi, 23.605 nouveaux cas avaient été recensés, loin des plus de 150.000 contaminations quotidiennes observées au pic de la vague, et le nombre de patients en soins intensifs était repassé sous le seuil du millier pour la première fois depuis début juillet.
Pour autant, l'agence de santé publique maintient ses recommandations en matière de précautions, encourageant notamment toujours à porter le masque dans les transports.
Plusieurs spécialistes appellent à éviter un trop fort relâchement, dont la chercheuse Brigitte Autran, tout juste nommée à la tête de l'organisme prenant la suite du Conseil scientifique.
"Le scénario le plus probable est celui d'un pic épidémique à la rentrée", a estimé cette semaine Mme Autran dans le Parisien. "Sera-t-il dû à un nouveau variant ou au retour du froid ? Nous ne sommes pas devins, mais il est quasi certain qu'il y aura une vague à l'automne."
Depuis le début de la pandémie, plus de 150.000 personnes sont mortes en France après un diagnostic de Covid.
Du 8 au 14 août, "la diminution de la circulation du SARS-CoV-2 s'est poursuivie avec une amélioration des indicateurs épidémiologiques dans l'ensemble des régions métropolitaines", a résumé dans un communiqué Santé publique France, à l'occasion de son bilan hebdomadaire.
Quant aux outre-mer, la situation est aussi en train de s'y améliorer sauf à la Réunion où l'épidémie poursuit sa progression.
Pour la première fois depuis plusieurs semaines, Santé publique France n'a pas estimé que les contaminations et les hospitalisations restaient à un niveau "élevé".
C'est donc, de fait, la fin de la vague actuelle qui avait démarré début juin et provoqué un pic d'hospitalisations fin juillet, certes à un niveau inférieur aux deux précédentes vagues, en début d'année et au printemps.
Jeudi, 23.605 nouveaux cas avaient été recensés, loin des plus de 150.000 contaminations quotidiennes observées au pic de la vague, et le nombre de patients en soins intensifs était repassé sous le seuil du millier pour la première fois depuis début juillet.
Pour autant, l'agence de santé publique maintient ses recommandations en matière de précautions, encourageant notamment toujours à porter le masque dans les transports.
Plusieurs spécialistes appellent à éviter un trop fort relâchement, dont la chercheuse Brigitte Autran, tout juste nommée à la tête de l'organisme prenant la suite du Conseil scientifique.
"Le scénario le plus probable est celui d'un pic épidémique à la rentrée", a estimé cette semaine Mme Autran dans le Parisien. "Sera-t-il dû à un nouveau variant ou au retour du froid ? Nous ne sommes pas devins, mais il est quasi certain qu'il y aura une vague à l'automne."
Depuis le début de la pandémie, plus de 150.000 personnes sont mortes en France après un diagnostic de Covid.