Communiqué de la Présidence:
Le Ministre de l’Education, de la Jeunesse et des Sports en charge de la Vie associative et de la Politique de la ville, Monsieur Michel LEBOUCHER, aimerait apporter des éléments de réponse concernant l’insatisfaction de l’association des parents d’élèves du collège de Bora Bora telle qu’exprimée dans la presse.
La reconstruction complète du collège de Bora Bora est effectivement l’une des priorités de son Ministère et du gouvernement actuel au vu de l’insécurité qui y règne. Faut-il rappeler que c’était déjà une priorité en 2004. La réaction de l’association des parents d’élèves est donc compréhensible d’un certain point de vue, puisque depuis plusieurs années elle a obtenu des « promesses des différents gouvernements pour la reconstruction du collège mais sans grand résultat », pour reprendre les termes de son constat.
Cependant, le financement nécessaire à la reconstruction ne dépend pas du Pays, mais de l’Etat. Le calendrier pour la reconstruction du collège, demandé par l’association, ne pourra donc pas être établi sans un engagement financier préalable de l’Etat. Or, cet engagement est en cours de négociation. Le Ministre de l’Education doit se rendre en Métropole prochainement afin d’obtenir des garanties sur cet engagement et sur son montant.
Monsieur Michel Leboucher comprend l’impatience de certains parents et leur volonté de manifester leur mécontentement. Toutefois, empêcher les enfants d’accéder aux cours pendant une période illimitée n’est surement pas une solution raisonnable. Le collège est ancien, certes, mais il fonctionne bien et les différents résultats scolaires de l’établissement sont là pour le prouver ; les derniers en date, ceux de juin 2013 sont très bons.
Le Ministre de l’Education invite à la raison les parents qui se mobilisent actuellement. En dépit de toute sa bonne volonté, il ne peut pas au bout de quatre mois seulement réparer dix années d’inertie et d’incurie des gouvernements précédents qui ont conduit à cette situation pour le collège de Bora Bora. En revanche, le ministre s’engage à venir les rencontrer sous quinzaine dans le cadre d’une visite programmée aux Iles sous le vent, et à faire le point avec eux de la situation et des possibilités d’amélioration, en attendant la construction d’un établissement neuf.
Le Ministre de l’Education, de la Jeunesse et des Sports en charge de la Vie associative et de la Politique de la ville, Monsieur Michel LEBOUCHER, aimerait apporter des éléments de réponse concernant l’insatisfaction de l’association des parents d’élèves du collège de Bora Bora telle qu’exprimée dans la presse.
La reconstruction complète du collège de Bora Bora est effectivement l’une des priorités de son Ministère et du gouvernement actuel au vu de l’insécurité qui y règne. Faut-il rappeler que c’était déjà une priorité en 2004. La réaction de l’association des parents d’élèves est donc compréhensible d’un certain point de vue, puisque depuis plusieurs années elle a obtenu des « promesses des différents gouvernements pour la reconstruction du collège mais sans grand résultat », pour reprendre les termes de son constat.
Cependant, le financement nécessaire à la reconstruction ne dépend pas du Pays, mais de l’Etat. Le calendrier pour la reconstruction du collège, demandé par l’association, ne pourra donc pas être établi sans un engagement financier préalable de l’Etat. Or, cet engagement est en cours de négociation. Le Ministre de l’Education doit se rendre en Métropole prochainement afin d’obtenir des garanties sur cet engagement et sur son montant.
Monsieur Michel Leboucher comprend l’impatience de certains parents et leur volonté de manifester leur mécontentement. Toutefois, empêcher les enfants d’accéder aux cours pendant une période illimitée n’est surement pas une solution raisonnable. Le collège est ancien, certes, mais il fonctionne bien et les différents résultats scolaires de l’établissement sont là pour le prouver ; les derniers en date, ceux de juin 2013 sont très bons.
Le Ministre de l’Education invite à la raison les parents qui se mobilisent actuellement. En dépit de toute sa bonne volonté, il ne peut pas au bout de quatre mois seulement réparer dix années d’inertie et d’incurie des gouvernements précédents qui ont conduit à cette situation pour le collège de Bora Bora. En revanche, le ministre s’engage à venir les rencontrer sous quinzaine dans le cadre d’une visite programmée aux Iles sous le vent, et à faire le point avec eux de la situation et des possibilités d’amélioration, en attendant la construction d’un établissement neuf.
