Le mercredi 04 mai 2011 en début d’après-midi, le MRCC Papeete, centre de sauvetage des vies humaines en mer, réceptionne le déclenchement de la balise de détresse Cospas-Sarsat 406 MHz du bonitier « NIHINAI 2» localisé dans le Sud Est de Tetiaroa pour 6 nautiques.
En l’absence de contact radio avec le navire, le MRCC fait dérouter le navire de charge «ONETAHI 2 ». Deux heures après le déclenchement de la balise de détresse par le bord, les poti marara « ATONI 4 » et « ATONI 7» de la coopérative d’Arue signalent avoir découvert un gilet de survie. Quelques minutes plus tard les 7 marins du bonitier sont localisés sains et sauf dans un radeau de survie.
Le navire ayant sombré pour des raisons encore inconnues, les naufragés sont alors récupérés par les 2 poti marara et évacués vers Arue. L’«ONETAHI 2 » récupère le radeau de survie.
Cette opération illustre une nouvelle fois la nécessité, pour tous les marins, d’emporter une balise de détresse Cospas-Sarsat. En effet, la réception de l’alerte au MRCC est très rapide (quelque soit la position du sinistre en Polynésie française) et la plupart des balises fournissent dorénavant une position GPS qui permet une localisation précise des naufragés.
Enfin, le MRCC rappelle que tout navire à la mer qui entend à la radio les messages d’urgence ou de détresse relayés par le MRCC doit se signaler au centre de sauvetage en mer.
En l’absence de contact radio avec le navire, le MRCC fait dérouter le navire de charge «ONETAHI 2 ». Deux heures après le déclenchement de la balise de détresse par le bord, les poti marara « ATONI 4 » et « ATONI 7» de la coopérative d’Arue signalent avoir découvert un gilet de survie. Quelques minutes plus tard les 7 marins du bonitier sont localisés sains et sauf dans un radeau de survie.
Le navire ayant sombré pour des raisons encore inconnues, les naufragés sont alors récupérés par les 2 poti marara et évacués vers Arue. L’«ONETAHI 2 » récupère le radeau de survie.
Cette opération illustre une nouvelle fois la nécessité, pour tous les marins, d’emporter une balise de détresse Cospas-Sarsat. En effet, la réception de l’alerte au MRCC est très rapide (quelque soit la position du sinistre en Polynésie française) et la plupart des balises fournissent dorénavant une position GPS qui permet une localisation précise des naufragés.
Enfin, le MRCC rappelle que tout navire à la mer qui entend à la radio les messages d’urgence ou de détresse relayés par le MRCC doit se signaler au centre de sauvetage en mer.
