A la suite du terrifiant typhon Haiyan qui a ravagé les Philippines, le Président Gaston Flosse, très ému par les images de désolation et de détresse humaine diffusées dans le monde entier a écrit ce jour aux autorités des Philippines pour leur exprimer le soutien et la compassion de la Polynésie française. Le pays est totalement ravagé et la blessure est immense. Les Polynésiens qui ont connu des cyclones d’une violence plus faible et d’une ampleur moindre comprennent le désarroi qui s’abat sur les Philippins aujourd’hui.
Le Président a tenu à exprimer cette compassion et cette solidarité en se rendant ce matin au monastère des Clarisses à Outumaoro, afin d’y prier lors de la messe du matin. Il a ensuite rencontré Sœur Marie Alice, supérieure du couvent, elle-même originaire des Philippines. Sœur Marie Alice a été très touchée de la démarche du Président faite au nom de tous les Polynésiens. Si les soeurs Clarisses du monastère de l’île de Cebu aux Philippines avec lesquelles les religieuses d’Outumaoro entretiennent des liens étroits sont toutes indemnes, il n’en est pas de même de leurs familles respectives dont plusieurs religieuses sont sans nouvelles. Cette tragédie affecte beaucoup les sœurs Clarisse d’Outumaoro qui se sentent démunies et dépourvues de toute possibilité de leur venir en aide, hormis la prière.
La Polynésie française étant dans l’impossibilité d’acheminer directement des dons vers les sinistrés, le Président Gaston Flosse invite pour l’heure les Polynésiens à exprimer leur solidarité en participant aux opérations de collectes de dons initiées par les organismes reconnus et dont le sérieux est avéré, tels que Le Secours Catholique - Caritas Polynésie qui agit en étroite liaison avec Le Secours Catholique – Caritas des Philippines. Il n’est pas le seul, d’autres organismes agréés se mobiliseront sans doute dans les jours à venir.
Le Président a tenu à exprimer cette compassion et cette solidarité en se rendant ce matin au monastère des Clarisses à Outumaoro, afin d’y prier lors de la messe du matin. Il a ensuite rencontré Sœur Marie Alice, supérieure du couvent, elle-même originaire des Philippines. Sœur Marie Alice a été très touchée de la démarche du Président faite au nom de tous les Polynésiens. Si les soeurs Clarisses du monastère de l’île de Cebu aux Philippines avec lesquelles les religieuses d’Outumaoro entretiennent des liens étroits sont toutes indemnes, il n’en est pas de même de leurs familles respectives dont plusieurs religieuses sont sans nouvelles. Cette tragédie affecte beaucoup les sœurs Clarisse d’Outumaoro qui se sentent démunies et dépourvues de toute possibilité de leur venir en aide, hormis la prière.
La Polynésie française étant dans l’impossibilité d’acheminer directement des dons vers les sinistrés, le Président Gaston Flosse invite pour l’heure les Polynésiens à exprimer leur solidarité en participant aux opérations de collectes de dons initiées par les organismes reconnus et dont le sérieux est avéré, tels que Le Secours Catholique - Caritas Polynésie qui agit en étroite liaison avec Le Secours Catholique – Caritas des Philippines. Il n’est pas le seul, d’autres organismes agréés se mobiliseront sans doute dans les jours à venir.
