Les deux premiers du Tour 2010 se sont présentés ensemble sur la ligne d'arrivée de la dernière étape de montagne, installée à l'altitude de 2114 mètres.
L'Espagnol Joaquin Rodriguez a pris la troisième place, à près de 1 min 20 sec du duo de tête.
Schleck a attaqué à un peu plus de 10 kilomètres du sommet du Tourmalet. Mais il n'a pu distancer Contador qui l'a suivi à chaque accélération.
L'Espagnol a tenté une seule fois de contrer le Luxembourgeois à qui il n'a pas disputé la victoire d'étape pour finir.
Schleck, 25 ans, s'est imposé pour la deuxième fois dans ce Tour, après son succès de Morzine-Avoriaz, dans la première arrivée au sommet.
Dans cette étape de 174 kilomètres, une échappée de sept coureurs (Koren, Flecha, Boasson Hagen, Burghardt, Kolobnev, Pauriol, R. Pérez), formée peu après le départ de Pau, a abordé l'ascension finale avec une avance inférieure à 4 minutes. L'Espagnol Carlos Sastre, longtemps en contre-attaque, avait été repris par le peloton quelques instants plus tôt.
Le champion de Russe Alexandr Kolobnev, dernier rescapé de l'échappée, a été dépassé à 9 kilomètres de la ligne par le duo Schleck-Contador.
Au classement général provisoire, Contador a gardé la même avance de 8 secondes sur Schleck, à deux jours du contre-la-montre de Pauillac et à trois jours de l'arrivée à Paris.
L'Espagnol Joaquin Rodriguez a pris la troisième place, à près de 1 min 20 sec du duo de tête.
Schleck a attaqué à un peu plus de 10 kilomètres du sommet du Tourmalet. Mais il n'a pu distancer Contador qui l'a suivi à chaque accélération.
L'Espagnol a tenté une seule fois de contrer le Luxembourgeois à qui il n'a pas disputé la victoire d'étape pour finir.
Schleck, 25 ans, s'est imposé pour la deuxième fois dans ce Tour, après son succès de Morzine-Avoriaz, dans la première arrivée au sommet.
Dans cette étape de 174 kilomètres, une échappée de sept coureurs (Koren, Flecha, Boasson Hagen, Burghardt, Kolobnev, Pauriol, R. Pérez), formée peu après le départ de Pau, a abordé l'ascension finale avec une avance inférieure à 4 minutes. L'Espagnol Carlos Sastre, longtemps en contre-attaque, avait été repris par le peloton quelques instants plus tôt.
Le champion de Russe Alexandr Kolobnev, dernier rescapé de l'échappée, a été dépassé à 9 kilomètres de la ligne par le duo Schleck-Contador.
Au classement général provisoire, Contador a gardé la même avance de 8 secondes sur Schleck, à deux jours du contre-la-montre de Pauillac et à trois jours de l'arrivée à Paris.
Tour de France - Sarkozy salue la performance d'Armstrong
- Nicolas Sarkozy a rendu hommage jeudi depuis le Tour de France à l'Américain Lance Armstrong, saluant le "combat" d'un coureur de bientôt 39 ans qui se retrouve 25e au classement général après avoir remporté sept fois l'épreuve.
"Je trouve que son combat est fantastique", a déclaré le chef de l'Etat, interrogé par France 2 depuis la voiture où il suit la 17e étape, la dernière dans les Pyrénées, entre Pau et le col du Tourmalet.
"Je trouve que le voir dans une échappée comme on l'a vu l'autre jour c'était assez merveilleux. La dignité avec laquelle il a repris le vélo après sa chute, c'était assez poignant", a poursuivi le président, évoquant l'étape de Morzine-Avoriaz, le 11 juillet, au cours de laquelle le Texan a chuté deux fois.
"Ca fait du bien au cyclisme et au Tour de France. J'ai toujours été amoureux du Tour de France, je le suis depuis que je suis enfant (...) On a besoin de personnages comme Lance Armstrong", a encore dit le chef de l'Etat.
Le président de la République a pris place dans la voiture du directeur du Tour, Christian Prudhomme.
C'est la troisième fois que Nicolas Sarkozy vient sur le Tour de France depuis son élection en mai 2007.
"Je trouve que son combat est fantastique", a déclaré le chef de l'Etat, interrogé par France 2 depuis la voiture où il suit la 17e étape, la dernière dans les Pyrénées, entre Pau et le col du Tourmalet.
"Je trouve que le voir dans une échappée comme on l'a vu l'autre jour c'était assez merveilleux. La dignité avec laquelle il a repris le vélo après sa chute, c'était assez poignant", a poursuivi le président, évoquant l'étape de Morzine-Avoriaz, le 11 juillet, au cours de laquelle le Texan a chuté deux fois.
"Ca fait du bien au cyclisme et au Tour de France. J'ai toujours été amoureux du Tour de France, je le suis depuis que je suis enfant (...) On a besoin de personnages comme Lance Armstrong", a encore dit le chef de l'Etat.
Le président de la République a pris place dans la voiture du directeur du Tour, Christian Prudhomme.
C'est la troisième fois que Nicolas Sarkozy vient sur le Tour de France depuis son élection en mai 2007.
