Gregorio Kilili Camacho Sablan
HAGÅTÑA, mercredi 7 novembre 2012 (Flash d’Océanie) – Le parti démocrate a été conforté dans sa position majoritaire au sein de l’assemblée territoriale du territoire américain de Guam, à l’issue des élections mardi 6 novembre 2012.
À l’issue du dépouillement, le parti démocrate contrôle 9 des 15 sièges.
Les électeurs se rendaient aussi aux urnes pour élire les maires des communes, ainsi que leurs représentants au sein du Congrès à Washington.
Pour Guam, la victoire des démocrates conforte aussi la représentante de ce territoire au Congrès américain, Madeleine Bordallo, qui devrait ainsi conserver son siège à Washington pour un sixième mandat consécutif.
Les élus (délégués) des territoires océaniens au Congrès américain ne disposent plus des mêmes pouvoir de vote que ceux des États, au sein des commissions, depuis janvier 2011.
Cette mesure avait été adoptée dans un contexte de majorité républicaine au Sénat.
Mardi, le vote a aussi eu lieu aux Marianne du Nord, où le membre Gregorio Kilili Camacho Sablan, semble là aussi en passe d’être confortablement réélu (pour un troisième mandat de deux ans au sein du Congrès américain), avec le soutien affiché du Président Obama lui-même, au nom de l’appartenance au Pacifique.
Face à lui, pour ces élections de mi-mandat, le Républicain Ignacia Demapan, poulain du Gouverneur Benigno Fitial, fait figure de challenger.
Le vote devait se dérouler mercredi aux Samoa américaines où, selon les premiers comptes-rendus, aucun incident n’a été signalé.
Les Samoans américains élisent à la fois un Gouverneur, un Vice-gouverneur, un délégué au Congrès américain et les membres de la Chambre locale des Représentants.
Ils doivent aussi, en prime, participer à un référendum relatif à un amendement à la Constitution, qui prévoit de permettre à l’assemblée territoriale, le Fono, et non plus au seul Secrétaire (ministre) de l’intérieur, de supprimer, dans certains cas, le droit de véto du Gouverneur.
Non loin de là, toujours dans le Pacifique Nord, un autre scrutin a eu lieu mardi 6 novembre 2012 : à Palau, les électeurs devaient choisir les membres de leur prochain assemblée législative pour cet État en libre-association avec les États-Unis et peuplé d’à peine plus de quinze mille habitants.
Le Président Johnson Toribiong a déclaré ce jour de vote jour férié et a aussi, ces derniers jours, invité une délégation du Forum des Îles du Pacifique à se rendre sur place pour observer le déroulement du scrutin, au nom de « la transparence et de la bonne gouvernance ».
Johnson Toribiong se trouve une nouvelle fois confronté à son challenger et prédécesseur au poste de Président : Tommy Remengesau.
Ce duel final résulte d’un premier vote, en septembre 2012, qui a éliminé les autres prétendants au titre.
pad
À l’issue du dépouillement, le parti démocrate contrôle 9 des 15 sièges.
Les électeurs se rendaient aussi aux urnes pour élire les maires des communes, ainsi que leurs représentants au sein du Congrès à Washington.
Pour Guam, la victoire des démocrates conforte aussi la représentante de ce territoire au Congrès américain, Madeleine Bordallo, qui devrait ainsi conserver son siège à Washington pour un sixième mandat consécutif.
Les élus (délégués) des territoires océaniens au Congrès américain ne disposent plus des mêmes pouvoir de vote que ceux des États, au sein des commissions, depuis janvier 2011.
Cette mesure avait été adoptée dans un contexte de majorité républicaine au Sénat.
Mardi, le vote a aussi eu lieu aux Marianne du Nord, où le membre Gregorio Kilili Camacho Sablan, semble là aussi en passe d’être confortablement réélu (pour un troisième mandat de deux ans au sein du Congrès américain), avec le soutien affiché du Président Obama lui-même, au nom de l’appartenance au Pacifique.
Face à lui, pour ces élections de mi-mandat, le Républicain Ignacia Demapan, poulain du Gouverneur Benigno Fitial, fait figure de challenger.
Le vote devait se dérouler mercredi aux Samoa américaines où, selon les premiers comptes-rendus, aucun incident n’a été signalé.
Les Samoans américains élisent à la fois un Gouverneur, un Vice-gouverneur, un délégué au Congrès américain et les membres de la Chambre locale des Représentants.
Ils doivent aussi, en prime, participer à un référendum relatif à un amendement à la Constitution, qui prévoit de permettre à l’assemblée territoriale, le Fono, et non plus au seul Secrétaire (ministre) de l’intérieur, de supprimer, dans certains cas, le droit de véto du Gouverneur.
Non loin de là, toujours dans le Pacifique Nord, un autre scrutin a eu lieu mardi 6 novembre 2012 : à Palau, les électeurs devaient choisir les membres de leur prochain assemblée législative pour cet État en libre-association avec les États-Unis et peuplé d’à peine plus de quinze mille habitants.
Le Président Johnson Toribiong a déclaré ce jour de vote jour férié et a aussi, ces derniers jours, invité une délégation du Forum des Îles du Pacifique à se rendre sur place pour observer le déroulement du scrutin, au nom de « la transparence et de la bonne gouvernance ».
Johnson Toribiong se trouve une nouvelle fois confronté à son challenger et prédécesseur au poste de Président : Tommy Remengesau.
Ce duel final résulte d’un premier vote, en septembre 2012, qui a éliminé les autres prétendants au titre.
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