PAPEETE, le 18 juillet 2018 - Daniel Siu, directeur général de Tahiti auto, a présenté au gouvernement ses nouveaux bus électriques. Avec ce produit, l'homme d'affaires espère séduire tant les communes que le secteur des transports publics.
Jeudi en fin de matinée, un grand bus vert trônait devant la présidence. Daniel Siu directeur général de Tahiti Automobiles présentait au gouvernement le premier bus électrique du territoire. "i[C'est le tout premier bus électrique en Polynésie française. Il est destiné au transport en commun de personnes. […]Nous le présentons aujourd'hui au gouvernement parce que c'est le premier bus de ce type. Il est important que le gouvernement et EDT soient bien conscients que la mise en route de ce type de bus implique des travaux d'infrastructures notamment pour le chargement de ces bus]i", explique l'homme d'affaires.
Jeudi en fin de matinée, un grand bus vert trônait devant la présidence. Daniel Siu directeur général de Tahiti Automobiles présentait au gouvernement le premier bus électrique du territoire. "i[C'est le tout premier bus électrique en Polynésie française. Il est destiné au transport en commun de personnes. […]Nous le présentons aujourd'hui au gouvernement parce que c'est le premier bus de ce type. Il est important que le gouvernement et EDT soient bien conscients que la mise en route de ce type de bus implique des travaux d'infrastructures notamment pour le chargement de ces bus]i", explique l'homme d'affaires.
Ainsi, ce véhicule de 8 mètres de long peut transporter 58 personnes et comprend 21 places assises. Ce bus est capable de faire 200 kilomètres en une charge. Le modèle qui était présenté nécessite un chargeur de 80 kilowatts. Il peut être rechargé en 2 h 30."Pour le moment ce bus a été commandé par notre groupe automobile parce que nous avons estimé qu'il était temps de faire un modèle de bus électrique. Dans le monde entier, le bus électrique est en train de remplacer le moteur à combustion interne. "
Les communes sont la cible principale du produit. Néanmoins, Daniel Siu s'est également rapproché de certaines sociétés privées. "Nous essayons de contacter les sociétés. Certaines seraient intéressées à faire tourner des bus électriques. En réalité, sur le long terme, il n'y a pas d'entretien sur ces bus. Ils ne nécessitent pas de vidange, ni d'entretien du moteur", assure le directeur général.
Ainsi pour une valeur de 17 millions de francs ces nouveaux bus verts sont prêts à conquérir la Polynésie.
Ainsi pour une valeur de 17 millions de francs ces nouveaux bus verts sont prêts à conquérir la Polynésie.
