Lorenzo, Mateia, Steven, O'Neil et Karelle
Torea Colas a démarré la réunion en exposant qu’en Polynésie « il y a le surf, le va’a, et puis le reste » estimant que ces sports endémiques polynésiens méritent un traitement de faveur, en terme de soutien de la compagnie, par rapport aux autres sports, puisqu’il mettent en avant l’exception culturelle polynésienne. Le surf est un vecteur de communication certain, véhiculant des valeurs positives autour du sport, de la santé et du respect de la nature.
Le surf est utilisé en communication un peu « à toutes les sauces », au niveau publicitaire notamment, mais pour la Polynésie c’est différent car elle possède la vague la plus puissante et certainement la plus photogénique du monde : Teahupo’o. Il est donc tout à fait justifié d’associer l’image de la Polynésie à celle du surf. L’implication du Pays dans le soutien d’une des étapes du championnat du monde de surf, la Billabong Pro Tahiti, paraît elle aussi tout à fait logique.
La fédération tahitienne de surf organise des compétitions régulièrement pour les jeunes depuis plus d’une décennie et on a pu voir émerger une génération de juniors de talent, suivie par une autre de plus jeunes encore. Arrivés à l’adolescence, ces jeunes talentueux ont du mal à passer au stade professionnel, il leur est difficile de se rendre sur les lieux de compétition en Australie, à Hawai’i, en Californie, au Japon, en Europe…
Michel Bourez a été un des premiers sportifs à bénéficier du programme ambassadeurs mis en place par la compagnie ATN. Progressivement, la compagnie au Tiare a décidé d’aider ces jeunes par rapport à certains critères. Les résultats en compétition sont pris en compte mais également la personnalité, la faculté de pouvoir communiquer de diverses manières : le fait de pouvoir parler anglais, de gérer sa propre communication à travers les réseaux sociaux…le but étant de promouvoir la destination Polynésie.
Torea Colas a souligné que les candidats devaient « faire la démarche de venir nous voir » car tout le monde n’est pas disposé à partir, à quitter le « fenua ». Il faut de préférence être Champion de Polynésie de sa discipline pour ensuite construire un dossier avec les dates des différentes compétitions auxquelles ont veut participer. Le candidat pourra ainsi rejoindre la liste de personnalités qui ont intégré le programme ambassadeur, comme Dany Gérard, Cédric Wane, Stéphane Debaere, Anne Caroline Graffe et bien d’autres.
Le surf est utilisé en communication un peu « à toutes les sauces », au niveau publicitaire notamment, mais pour la Polynésie c’est différent car elle possède la vague la plus puissante et certainement la plus photogénique du monde : Teahupo’o. Il est donc tout à fait justifié d’associer l’image de la Polynésie à celle du surf. L’implication du Pays dans le soutien d’une des étapes du championnat du monde de surf, la Billabong Pro Tahiti, paraît elle aussi tout à fait logique.
La fédération tahitienne de surf organise des compétitions régulièrement pour les jeunes depuis plus d’une décennie et on a pu voir émerger une génération de juniors de talent, suivie par une autre de plus jeunes encore. Arrivés à l’adolescence, ces jeunes talentueux ont du mal à passer au stade professionnel, il leur est difficile de se rendre sur les lieux de compétition en Australie, à Hawai’i, en Californie, au Japon, en Europe…
Michel Bourez a été un des premiers sportifs à bénéficier du programme ambassadeurs mis en place par la compagnie ATN. Progressivement, la compagnie au Tiare a décidé d’aider ces jeunes par rapport à certains critères. Les résultats en compétition sont pris en compte mais également la personnalité, la faculté de pouvoir communiquer de diverses manières : le fait de pouvoir parler anglais, de gérer sa propre communication à travers les réseaux sociaux…le but étant de promouvoir la destination Polynésie.
Torea Colas a souligné que les candidats devaient « faire la démarche de venir nous voir » car tout le monde n’est pas disposé à partir, à quitter le « fenua ». Il faut de préférence être Champion de Polynésie de sa discipline pour ensuite construire un dossier avec les dates des différentes compétitions auxquelles ont veut participer. Le candidat pourra ainsi rejoindre la liste de personnalités qui ont intégré le programme ambassadeur, comme Dany Gérard, Cédric Wane, Stéphane Debaere, Anne Caroline Graffe et bien d’autres.
Torea Colas et Steven Pierson
Des sportifs pour promouvoir la Polynésie
Le bodyboardeur Cédric Estall vient lui aussi de rejoindre le programme après en avoir formulé la demande, incité par son ami Tahurai Henry, lui aussi parfait exemple de ce qu’il faut faire lorsqu’on est ambassadeur ATN. Cédric pourra ainsi participer aux compétitions du circuit mondial, étant actuellement 2e de ce classement suite à son excellent résultat lors du Sparkgreen Tahiti Challenge 2016.
Avec la nomination de Steven Pierson, un nouveau cap est franchi. Son rôle sera de conseiller les ambassadeurs « surf », leur faisant profiter de son expérience acquise pendant de longues années passées sur les compétitions du circuit des world qualifying series.
Les surfeurs présents lors de cette réunion étaient Mateia Hiquily qui fut le mieux classé dans le circuit WQS en 2015, O’neil Massin, le meilleur pro junior pour la zone Asie-Pacifique en 2015, Karelle Poppke la meilleure surfeuse tahitienne actuellement et vice-championne ISA en 2013. Lorenzo Avvennenti était également présent, il n’est pas encore ambassadeur, plusieurs étapes contractuelles mènent à ce statut particulier, la première donnant la possibilité d’obtenir des tarifs préférentiels.
Le bodyboardeur Cédric Estall vient lui aussi de rejoindre le programme après en avoir formulé la demande, incité par son ami Tahurai Henry, lui aussi parfait exemple de ce qu’il faut faire lorsqu’on est ambassadeur ATN. Cédric pourra ainsi participer aux compétitions du circuit mondial, étant actuellement 2e de ce classement suite à son excellent résultat lors du Sparkgreen Tahiti Challenge 2016.
Avec la nomination de Steven Pierson, un nouveau cap est franchi. Son rôle sera de conseiller les ambassadeurs « surf », leur faisant profiter de son expérience acquise pendant de longues années passées sur les compétitions du circuit des world qualifying series.
Les surfeurs présents lors de cette réunion étaient Mateia Hiquily qui fut le mieux classé dans le circuit WQS en 2015, O’neil Massin, le meilleur pro junior pour la zone Asie-Pacifique en 2015, Karelle Poppke la meilleure surfeuse tahitienne actuellement et vice-championne ISA en 2013. Lorenzo Avvennenti était également présent, il n’est pas encore ambassadeur, plusieurs étapes contractuelles mènent à ce statut particulier, la première donnant la possibilité d’obtenir des tarifs préférentiels.
Steven Pierson, un sportif exemplaire
D’autres noms sont liés à ce programme ambassadeur « surf » comme celui de Mihimana Braye actuellement en France ou encore celui d’Ariihoe Tefaafana qui, comme Lorenzo, a signé une convention mais qui n’est pas encore ambassadeur à proprement parler.
Steven Pierson, moins chouchouté médiatiquement que Michel Bourez, a été pourtant pendant de longues années le n°2 du surf Tahitien à l’étranger, dans l’ombre de Michel. Souvent malchanceux dans un système de compétition où les victoires se jouent sur des dixièmes de points et sur le bon vouloir des juges, il a toujours été exemplaire au niveau de son « job » d’ambassadeur.
Il a également souffert, ce jusqu’à aujourd’hui, de discrimination étant un Polynésien « clair de peau », un souci qu’il a pu transformer en énergie positive puisqu’il a toujours œuvré au niveau social auprès de jeunes défavorisés. Hygiène de vie exemplaire, bonne communication avec la compagnie et les médias avant et après les compétitions, on peut être bon sportif et un ambassadeur moyen de la Polynésie, ce qui n’est pas son cas.
Steven est un bon sportif et un bon ambassadeur. Devenu père en 2015, il a récemment lancé sa propre école de surf, la Tahiti Nui Surf School, tout en commençant à obtenir ses premières médailles en jiu jitsu brésilien. Il a également intégré le conseil de la fédération tahitienne de surf même s’il n’a pas dit son dernier mot en tant que compétiteur puisqu’on le retrouvera lors du « Prime Event » WQS d’Huntington Beach en Californie, en juillet prochain. SB
D’autres noms sont liés à ce programme ambassadeur « surf » comme celui de Mihimana Braye actuellement en France ou encore celui d’Ariihoe Tefaafana qui, comme Lorenzo, a signé une convention mais qui n’est pas encore ambassadeur à proprement parler.
Steven Pierson, moins chouchouté médiatiquement que Michel Bourez, a été pourtant pendant de longues années le n°2 du surf Tahitien à l’étranger, dans l’ombre de Michel. Souvent malchanceux dans un système de compétition où les victoires se jouent sur des dixièmes de points et sur le bon vouloir des juges, il a toujours été exemplaire au niveau de son « job » d’ambassadeur.
Il a également souffert, ce jusqu’à aujourd’hui, de discrimination étant un Polynésien « clair de peau », un souci qu’il a pu transformer en énergie positive puisqu’il a toujours œuvré au niveau social auprès de jeunes défavorisés. Hygiène de vie exemplaire, bonne communication avec la compagnie et les médias avant et après les compétitions, on peut être bon sportif et un ambassadeur moyen de la Polynésie, ce qui n’est pas son cas.
Steven est un bon sportif et un bon ambassadeur. Devenu père en 2015, il a récemment lancé sa propre école de surf, la Tahiti Nui Surf School, tout en commençant à obtenir ses premières médailles en jiu jitsu brésilien. Il a également intégré le conseil de la fédération tahitienne de surf même s’il n’a pas dit son dernier mot en tant que compétiteur puisqu’on le retrouvera lors du « Prime Event » WQS d’Huntington Beach en Californie, en juillet prochain. SB
