Le ministre de l’Education, de la Jeunesse et des Sports, Tauhiti Nena a participé mardi à Paris, à la conférence d’évaluation annuelle de la convention décennale en matière de sport et de jeunesse, signée en 2003 entre l’Etat et le Pays. Les discussions ont notamment porté sur la modification de ce partenariat, dont les modalités pour les dix prochaines années seront définies cet automne.
« Nous avons demandé à ce que soit ajouté un volet sur l’aide à l’investissement pour les opérations de rénovation et de construction d’infrastructures sportives, comme c’est le cas dans les autres collectivités ultramarines » a indiqué Tauhiti Nena à l’issue de la réunion, soucieux de soutenir les fédérations sportives polynésiennes.
Aujourd’hui, la convention prévoit la mise à disposition du Pays de cinq agents de catégorie A, et l’affectation de moyens budgétaires à la collectivité, uniquement en fonctionnement.
Tauhiti Nena a ainsi plaidé pour que la Polynésie française soit aussi éligible aux aides à l’investissement du Centre national pour le développement du sport (CNDS). Le ministère central des Sports a donné son accord de principe.
Lors de la conférence, l’appui financier du CNDS à l’organisation de la prochaine Coupe du Monde de Beach Soccer à Tahiti a également été évoqué.
Coupe du Monde de Beach Soccer 2013 et Jeux du Pacifique 2019
En février, le ministre des Sports, David Douillet avait assuré à la présidente du Comité organisateur local, Vairani Davio, le soutien de l’Etat dans le cadre de cette compétition internationale d’envergure.
Le montant de l’enveloppe accordée sera validé dans les prochaines semaines par le Conseil d’administration du CNDS.
Tauhiti Nena a par ailleurs fait part de la candidature de la Polynésie française, à l’organisation des Jeux du Pacifique en 2019 et sollicité une aide en investissement pour la préparation de la manifestation. Le ministère des Sports a indiqué y être favorable.
Tauhiti Nena sera reçu jeudi 15 mars, à 15h par le président de l’Agence française de lutte contre le dopage, Bruno Genevois afin de finaliser le projet de convention entre le Pays et l’AFLD.
Ce partenariat a pour objectif de développer une politique antidopage efficace à l’égard des sportifs s’entraînant sur le territoire polynésien et à l’occasion des compétitions s’y déroulant.
« Nous avons demandé à ce que soit ajouté un volet sur l’aide à l’investissement pour les opérations de rénovation et de construction d’infrastructures sportives, comme c’est le cas dans les autres collectivités ultramarines » a indiqué Tauhiti Nena à l’issue de la réunion, soucieux de soutenir les fédérations sportives polynésiennes.
Aujourd’hui, la convention prévoit la mise à disposition du Pays de cinq agents de catégorie A, et l’affectation de moyens budgétaires à la collectivité, uniquement en fonctionnement.
Tauhiti Nena a ainsi plaidé pour que la Polynésie française soit aussi éligible aux aides à l’investissement du Centre national pour le développement du sport (CNDS). Le ministère central des Sports a donné son accord de principe.
Lors de la conférence, l’appui financier du CNDS à l’organisation de la prochaine Coupe du Monde de Beach Soccer à Tahiti a également été évoqué.
Coupe du Monde de Beach Soccer 2013 et Jeux du Pacifique 2019
En février, le ministre des Sports, David Douillet avait assuré à la présidente du Comité organisateur local, Vairani Davio, le soutien de l’Etat dans le cadre de cette compétition internationale d’envergure.
Le montant de l’enveloppe accordée sera validé dans les prochaines semaines par le Conseil d’administration du CNDS.
Tauhiti Nena a par ailleurs fait part de la candidature de la Polynésie française, à l’organisation des Jeux du Pacifique en 2019 et sollicité une aide en investissement pour la préparation de la manifestation. Le ministère des Sports a indiqué y être favorable.
Tauhiti Nena sera reçu jeudi 15 mars, à 15h par le président de l’Agence française de lutte contre le dopage, Bruno Genevois afin de finaliser le projet de convention entre le Pays et l’AFLD.
Ce partenariat a pour objectif de développer une politique antidopage efficace à l’égard des sportifs s’entraînant sur le territoire polynésien et à l’occasion des compétitions s’y déroulant.
