Mercredi 29 février 2012, à 11h, a été signée en présence du Ministre polynésien de l’agriculture, M. Kalani Teixeira et du Président de l’Université Paris-Sud, M. Guy Couarraze, une convention de thèse entre l’Etablissement Vanille Tahiti (EVT) et les tutelles de l’Institut de biologie des plantes, l’Université Paris-Sud et le CNRS.
La thèse réalisée par Mlle Timeri Atuahiva et intitulée « Emergence de maladies fongiques du vanillier en Polynésie Française : inventaire et déterminisme épidémiologique », participe aux travaux effectués pour améliorer la qualité de la vanille produite en Polynésie française. Ce projet s’inscrit dans dans la continuité d’un partenariat entre Paris-Sud et l’EVT pour les applications de la recherche au développement de l’agriculture en Polynésie Française.
L’établissement public Vanille de Tahiti est chargé de l’encadrement et du développement des activités de la filière vanille en Polynésie Française. Créé en 2003 pour promouvoir et relancer la culture de la vanille en Polynésie française, il accompagne les producteurs désireux de se lancer dans la culture de la vanille sous ombrière. L’établissement public Vanille de Tahiti aide également ceux déjà installés qui voudraient améliorer les conditions de culture de leurs parcelles. C’est dans ce cadre que s’inscrit le projet de recherche « Pathologies fongiques du vanillier Tahiti » mené par Timeri Atuahiva et réalisée sous la responsabilité scientifique de Michel Dron, Professeur à Paris-Sud, directeur de l’Institut de Biologie des Plantes (IBP). L’objectif est de répondre à la demande croissante des agriculteurs face à des problèmes sanitaires dans leurs parcelles de vanille sous ombrières et de leurs plantations traditionnelles.
Une grande partie du travail de cette thèse est constitué d’une enquête auprès d’agriculteurs de l’île de Raiatea cultivant de la vanille sous ombrière et sur tuteurs vivants, afin d’établir le bilan sanitaire des plantations de vanille et d’obtenir l’inventaire des pathogènes fongiques et autres ravageurs présents dans les vanillères.
En plus de l’Institut de biologie des plantes (Université Paris-Sud/CNRS), sont associés à ce projet le laboratoire Biologie, gestion des risques en agriculture - Champignons pathogènes des plantes (INRA/AgroParisTech) et le Service de développement rural de Polynésie française.
Une autre thèse issue du partenariat entre l’Institut de biologie des plantes et l’établissement public Vanille de Tahiti soutenue en 2010 a déjà donné lieu à trois publications et de nombreuses autres communications.
La thèse réalisée par Mlle Timeri Atuahiva et intitulée « Emergence de maladies fongiques du vanillier en Polynésie Française : inventaire et déterminisme épidémiologique », participe aux travaux effectués pour améliorer la qualité de la vanille produite en Polynésie française. Ce projet s’inscrit dans dans la continuité d’un partenariat entre Paris-Sud et l’EVT pour les applications de la recherche au développement de l’agriculture en Polynésie Française.
L’établissement public Vanille de Tahiti est chargé de l’encadrement et du développement des activités de la filière vanille en Polynésie Française. Créé en 2003 pour promouvoir et relancer la culture de la vanille en Polynésie française, il accompagne les producteurs désireux de se lancer dans la culture de la vanille sous ombrière. L’établissement public Vanille de Tahiti aide également ceux déjà installés qui voudraient améliorer les conditions de culture de leurs parcelles. C’est dans ce cadre que s’inscrit le projet de recherche « Pathologies fongiques du vanillier Tahiti » mené par Timeri Atuahiva et réalisée sous la responsabilité scientifique de Michel Dron, Professeur à Paris-Sud, directeur de l’Institut de Biologie des Plantes (IBP). L’objectif est de répondre à la demande croissante des agriculteurs face à des problèmes sanitaires dans leurs parcelles de vanille sous ombrières et de leurs plantations traditionnelles.
Une grande partie du travail de cette thèse est constitué d’une enquête auprès d’agriculteurs de l’île de Raiatea cultivant de la vanille sous ombrière et sur tuteurs vivants, afin d’établir le bilan sanitaire des plantations de vanille et d’obtenir l’inventaire des pathogènes fongiques et autres ravageurs présents dans les vanillères.
En plus de l’Institut de biologie des plantes (Université Paris-Sud/CNRS), sont associés à ce projet le laboratoire Biologie, gestion des risques en agriculture - Champignons pathogènes des plantes (INRA/AgroParisTech) et le Service de développement rural de Polynésie française.
Une autre thèse issue du partenariat entre l’Institut de biologie des plantes et l’établissement public Vanille de Tahiti soutenue en 2010 a déjà donné lieu à trois publications et de nombreuses autres communications.
