HONG KONG, mercredi 27 juin 2012 (Flash d’Océanie) – Sept pays océaniens ont formalisé la semaine dernière à Hong Kong un protocole d’accord en vue de former un consortium visant à mettre en place un système de liaisons et de télécommunications par satellite pouvant desservir leur zone.
Les sept parties signataires, selon un communiqué de ce consortium, sont six États océaniens (Vanuatu, îles Salomon, Fidji, Tuvalu, Tonga, Papouasie-Nouvelle-Guinée) et la collectivité française de Nouvelle-Calédonie, selon les mêmes sources.
Ce satellite, qui devrait entrer en service à l’horizon 2015, devrait auparavant être lancé par une société baptisée « Pacific Islands-Republic Communications (Pacific ComNet) », dont les principaux actionnaires sont à la fois russes et chinois [Hong Kong], Time Technologia LLC et Peixin Investment (HK) Ltd.
L’objectif affiché de ce projet, qui bénéficierait aussi du soutien du gouvernement chinois, est de « réduire la dépendance » en matière de fourniture de liens téléphoniques et en données.
Les pays concernés ont aussi réaffirmé le caractère prioritaire, au sein de leurs politiques respectives, de l’amélioration et de la démocratisation de l’accès à Internet et à la téléphonie.
Ce projet, selon ses promoteurs, comporte aussi un volet de mise en réseau des données de surveillance et localisation de bateaux par satellite en vue de lutter contre les activités de pêche illicite et non signalées, depuis plusieurs années en pleine recrudescence dans cette immense zone maritime.
Ces pays ont par ailleurs estimé que les options de lien aux grandes autoroutes trans-Pacifique de l’information, par voie de câbles sous-marins, n’étaient généralement pas praticables pour des environnements insulaires isolés.
« Nous envisageons d’élever le niveau de vie de nos peuples et leur accès à des moyens d’enseignement en continu à travers l’Internet (…) via un forfait annuel de seulement 50 dollars US par ligne, avec utilisation illimitée », ont déclaré les concepteurs de ce projet pro-insulaire.
Les sept parties signataires, selon un communiqué de ce consortium, sont six États océaniens (Vanuatu, îles Salomon, Fidji, Tuvalu, Tonga, Papouasie-Nouvelle-Guinée) et la collectivité française de Nouvelle-Calédonie, selon les mêmes sources.
Ce satellite, qui devrait entrer en service à l’horizon 2015, devrait auparavant être lancé par une société baptisée « Pacific Islands-Republic Communications (Pacific ComNet) », dont les principaux actionnaires sont à la fois russes et chinois [Hong Kong], Time Technologia LLC et Peixin Investment (HK) Ltd.
L’objectif affiché de ce projet, qui bénéficierait aussi du soutien du gouvernement chinois, est de « réduire la dépendance » en matière de fourniture de liens téléphoniques et en données.
Les pays concernés ont aussi réaffirmé le caractère prioritaire, au sein de leurs politiques respectives, de l’amélioration et de la démocratisation de l’accès à Internet et à la téléphonie.
Ce projet, selon ses promoteurs, comporte aussi un volet de mise en réseau des données de surveillance et localisation de bateaux par satellite en vue de lutter contre les activités de pêche illicite et non signalées, depuis plusieurs années en pleine recrudescence dans cette immense zone maritime.
Ces pays ont par ailleurs estimé que les options de lien aux grandes autoroutes trans-Pacifique de l’information, par voie de câbles sous-marins, n’étaient généralement pas praticables pour des environnements insulaires isolés.
« Nous envisageons d’élever le niveau de vie de nos peuples et leur accès à des moyens d’enseignement en continu à travers l’Internet (…) via un forfait annuel de seulement 50 dollars US par ligne, avec utilisation illimitée », ont déclaré les concepteurs de ce projet pro-insulaire.
