A partir de ce mardi 1er octobre jusqu’au à la fin de la semaine, la DGAE (Direction Générale des Affaires Economiques) organise sa seconde semaine dédiée à l’exportation des produits polynésiens vers le marché asiatique. Cette fois, il sera question d’opportunités d’affaires avec le Japon.
Après avoir proposé une première semaine « business » vers la Chine en juin dernier, la DGAE a choisi de parler cette fois-ci, du Japon. Ce pays de 126 millions d’habitants connait une dépendance de l’importation plus forte depuis le seisme survenu en 2011. Selon madame Akiko Hori, responsable de UbiFrance – Tokyo laquelle présentera le marché nippon « Auparavant, les japonais dépensaient beaucoup d’argent dans les produits de marque, donc de luxe (…) mais depuis le séisme, la tendance s’est totalement inversée. Aujourd’hui, nous achetons beaucoup plus de produits de bien-être, des produits de santé. ».
Cependant, le marché qui, toujours selon la spécialiste japonaise, connait un essor sans précédent reste l’importation des produits de la mer. « Nous consommons énormément de poissons, coquillages, crustacés et autres. Je pense que la Polynésie a son rôle à jouer de ce côté-là, puisque depuis le séisme, les japonais pensent que les eaux de l’océan japonais est contaminée. » Cette psychose générale a augmenté les besoins en importation, offrant là une véritable aubaine pour les pêcheurs du fenua. Les statistiques émanant de la DGAE démontrent effectivement cette tendance : l’exportation du thon obèse frais ou réfrigéré représentait un chiffre d’affaire d’environ 22,3 millions de francs en 2011 contre près de 40 millions l’an dernier, soit donc une augmentation de 77.34 %.
Cet exemple ne concerne que le secteur du poisson, mais le jus de nono fait lui également partie de ces produits « made in fenua » qui connaissent un réel succès. Cette semaine de l’export abordera les grandes questions : l’art de faire des affaires au Japon, Le marché du luxe et le marché de l’agro-alimentaire et des produits de la mer. Les chefs d’entreprises désireux de s’investir dans cette voie apprécieront certainement le programme de la première matinée qui présentera les différents dispositifs d’aide à l’exportation. Des conférences gratuites seront proposées tout au long des 5 jours programmés. Pour y participer, vous pouvez appeler directement la DGAE au 50 97 97.
TP
Après avoir proposé une première semaine « business » vers la Chine en juin dernier, la DGAE a choisi de parler cette fois-ci, du Japon. Ce pays de 126 millions d’habitants connait une dépendance de l’importation plus forte depuis le seisme survenu en 2011. Selon madame Akiko Hori, responsable de UbiFrance – Tokyo laquelle présentera le marché nippon « Auparavant, les japonais dépensaient beaucoup d’argent dans les produits de marque, donc de luxe (…) mais depuis le séisme, la tendance s’est totalement inversée. Aujourd’hui, nous achetons beaucoup plus de produits de bien-être, des produits de santé. ».
Cependant, le marché qui, toujours selon la spécialiste japonaise, connait un essor sans précédent reste l’importation des produits de la mer. « Nous consommons énormément de poissons, coquillages, crustacés et autres. Je pense que la Polynésie a son rôle à jouer de ce côté-là, puisque depuis le séisme, les japonais pensent que les eaux de l’océan japonais est contaminée. » Cette psychose générale a augmenté les besoins en importation, offrant là une véritable aubaine pour les pêcheurs du fenua. Les statistiques émanant de la DGAE démontrent effectivement cette tendance : l’exportation du thon obèse frais ou réfrigéré représentait un chiffre d’affaire d’environ 22,3 millions de francs en 2011 contre près de 40 millions l’an dernier, soit donc une augmentation de 77.34 %.
Cet exemple ne concerne que le secteur du poisson, mais le jus de nono fait lui également partie de ces produits « made in fenua » qui connaissent un réel succès. Cette semaine de l’export abordera les grandes questions : l’art de faire des affaires au Japon, Le marché du luxe et le marché de l’agro-alimentaire et des produits de la mer. Les chefs d’entreprises désireux de s’investir dans cette voie apprécieront certainement le programme de la première matinée qui présentera les différents dispositifs d’aide à l’exportation. Des conférences gratuites seront proposées tout au long des 5 jours programmés. Pour y participer, vous pouvez appeler directement la DGAE au 50 97 97.
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