Hier soir, l’équipe scientifique a restitué publiquement les résultats de la campagne REMMOA. Cette mission scientifique, montée en étroite collaboration entre le gouvernement de la Polynésie française et l’Agence des aires marines protégées, s’est étalée sur les quatre derniers mois. Financée à hauteur de 140 millions de francs par l’Agence des aires marines protégées, celle-ci a été réalisée sous le contrôle scientifique du Centre de recherche sur les mammifères marins de l’Université de La Rochelle.
Tous les archipels ont été concernés par ce recensement. Un tiers des 4,8 millions de km² que représente la zone économique exclusive (ZEE) a été couvert par cette étude. Près de 25 personnes ont été mobilisées pour 110 jours de mission. Quelques 550 heures de vol ont été nécessaires pour observer oiseaux, cétacés, tortues, raies et requins dans un protocole parfaitement défini et reconnu internationalement.
Des espèces peu observées en Polynésie ont pu être recensées, telles les baleines à bec, des troupeaux de cachalots, etc… La zone des Marquises se démarque des autres archipels tant en abondance qu’en diversité de populations. L’équipe scientifique a profité de son séjour dans certaines îles éloignées pour sensibiliser près de 1200 enfants scolarisés. Huit réunions publiques ont également été tenues avec la population de ces archipels.
Un premier rapport sera rendu dans les 6 prochains mois, quant au rapport final, il devrait être livré d’ici un an et demi.
Tous les archipels ont été concernés par ce recensement. Un tiers des 4,8 millions de km² que représente la zone économique exclusive (ZEE) a été couvert par cette étude. Près de 25 personnes ont été mobilisées pour 110 jours de mission. Quelques 550 heures de vol ont été nécessaires pour observer oiseaux, cétacés, tortues, raies et requins dans un protocole parfaitement défini et reconnu internationalement.
Des espèces peu observées en Polynésie ont pu être recensées, telles les baleines à bec, des troupeaux de cachalots, etc… La zone des Marquises se démarque des autres archipels tant en abondance qu’en diversité de populations. L’équipe scientifique a profité de son séjour dans certaines îles éloignées pour sensibiliser près de 1200 enfants scolarisés. Huit réunions publiques ont également été tenues avec la population de ces archipels.
Un premier rapport sera rendu dans les 6 prochains mois, quant au rapport final, il devrait être livré d’ici un an et demi.
