Le 25 février dernier, Hikutini Athanase et Gérard Marchetti ont lancé le premier comité de soutien à Nicolas Sarkozy. Dans un premier temps, seuls les membres de la société civile étaient conviés. Mais face à l’engouement rencontré, notamment auprès de certains groupes politiques, le bureau du comité a finalement accepté leur soutien.
En effet, la volonté du comité est évidemment de sensibiliser et mobiliser la population sur l’importance de voter pour le président actuel. Ainsi le réseau que représentent les partis politiques est une aide non négligeable. C’est donc un maximum de personnes qui pourront être touchées, a souligné Gérard Marchetti. Mais le comité tient à souligner qu’en aucun cas lui ne soutient ces partis.
Ainsi Tearii Alpha, Sandra Lévy-Agami, Teva Rohfritsch, Bruno Sandras, Nicolas Bertholon sont quelques uns des politiques qui supportent, de près ou de loin ce comité. Lors de leurs différents meetings, ils serviront de relais au comité. A la demande de ce dernier, prochainement un membre de l’UMP en France devrait venir en Polynésie.
« Il faut faire passer Sarkozy et lui laisser terminer ses réformes qui sont essentielles », « Hollande ne sait pas gérer un département, alors comment pourra-t-il gérer la France », « Pour la Polynésie il faut une France forte » ou encore « Nicolas Sarkozy a montré qu’il était prêt à aider la Polynésie, quelque soit le président » sont les arguments avancés par le comité pour défendre Nicolas Sarkozy. La majorité de leurs actions se fait sur internet via leur compte facebook.
En effet, la volonté du comité est évidemment de sensibiliser et mobiliser la population sur l’importance de voter pour le président actuel. Ainsi le réseau que représentent les partis politiques est une aide non négligeable. C’est donc un maximum de personnes qui pourront être touchées, a souligné Gérard Marchetti. Mais le comité tient à souligner qu’en aucun cas lui ne soutient ces partis.
Ainsi Tearii Alpha, Sandra Lévy-Agami, Teva Rohfritsch, Bruno Sandras, Nicolas Bertholon sont quelques uns des politiques qui supportent, de près ou de loin ce comité. Lors de leurs différents meetings, ils serviront de relais au comité. A la demande de ce dernier, prochainement un membre de l’UMP en France devrait venir en Polynésie.
« Il faut faire passer Sarkozy et lui laisser terminer ses réformes qui sont essentielles », « Hollande ne sait pas gérer un département, alors comment pourra-t-il gérer la France », « Pour la Polynésie il faut une France forte » ou encore « Nicolas Sarkozy a montré qu’il était prêt à aider la Polynésie, quelque soit le président » sont les arguments avancés par le comité pour défendre Nicolas Sarkozy. La majorité de leurs actions se fait sur internet via leur compte facebook.
