PARIS, 2 décembre 2011 (AFP) - Près de 16 millions de Français devraient envoyer une carte de voeux virtuelle à l'occasion des fêtes de fin d'année, même si la carte papier reste encore plébiscitée par une majorité d'entre eux, selon un sondage TNS Sofres publié vendredi par le site dromadaire.com.
Le nombre de personnes prévoyant d'envoyer une carte virtuelle via leur email reste stable (11 millions comme l'année dernière), mais celles qui ont l'intention de le faire depuis les réseaux sociaux, principalement Facebook, seront cette année 5 millions - contre seulement 200.000 l'année dernière.
Les cartes papier envoyées par La Poste restent cependant toujours plébiscitées: 60% des sondés indiquent qu'ils posteront une ou plusieurs cartes papier, et 27% qu'ils enverront une ou plusieurs cartes virtuellement, selon le sondage réalisé en octobre.
"L'enjeu est de dépoussiérer le concept de la carte papier et de la réinventer grâce au web", a indiqué lors d'une conférence de presse Rafik Smati, président de dromadaire.com, leader sur le secteur de l'e-carte gratuite, qui lance à partir de lundi un service en ligne de commande et d'envoi de cartes imprimées.
Chaque internaute choisit un modèle de carte qu'il personnalise avec des photos et du texte, et le site l'imprime sur du papier verni et l'expédie en 24H dans la boîte postale du destinataire. La prestation est facturée 3,99 euros.
"Un tel service conserve le caractère touchant et personnel de la carte en papier, en y ajoutant les dimensions ludiques et pratiques d'internet", souligne M. Smati.
Pour cette fin d'année, la tendance est à l'intégration de plus en plus commune de la 3D et du multimédia dans les nouvelles cartes virtuelles.
dromadaire.com a même prévu "un clin d'oeil à l'année électorale" avec une carte où l'on voit dans un petit film les candidats Nicolas Sarkozy, François Hollande, Marine Le Pen et François Bayrou écartés par le président gagnant qui n'est autre... qu'une photo que l'expéditeur aura choisi d'insérer.
"On a pris les candidats les plus identifiés", explique Lauris Olivier, directeur de création de dromadaire.com, tandis que Rafik Smati, interrogé par l'AFP sur l'absence d'autres candidats comme Eva Joly, admet que "oui, on aurait pu la mettre".
kd/bpi/jmg
Le nombre de personnes prévoyant d'envoyer une carte virtuelle via leur email reste stable (11 millions comme l'année dernière), mais celles qui ont l'intention de le faire depuis les réseaux sociaux, principalement Facebook, seront cette année 5 millions - contre seulement 200.000 l'année dernière.
Les cartes papier envoyées par La Poste restent cependant toujours plébiscitées: 60% des sondés indiquent qu'ils posteront une ou plusieurs cartes papier, et 27% qu'ils enverront une ou plusieurs cartes virtuellement, selon le sondage réalisé en octobre.
"L'enjeu est de dépoussiérer le concept de la carte papier et de la réinventer grâce au web", a indiqué lors d'une conférence de presse Rafik Smati, président de dromadaire.com, leader sur le secteur de l'e-carte gratuite, qui lance à partir de lundi un service en ligne de commande et d'envoi de cartes imprimées.
Chaque internaute choisit un modèle de carte qu'il personnalise avec des photos et du texte, et le site l'imprime sur du papier verni et l'expédie en 24H dans la boîte postale du destinataire. La prestation est facturée 3,99 euros.
"Un tel service conserve le caractère touchant et personnel de la carte en papier, en y ajoutant les dimensions ludiques et pratiques d'internet", souligne M. Smati.
Pour cette fin d'année, la tendance est à l'intégration de plus en plus commune de la 3D et du multimédia dans les nouvelles cartes virtuelles.
dromadaire.com a même prévu "un clin d'oeil à l'année électorale" avec une carte où l'on voit dans un petit film les candidats Nicolas Sarkozy, François Hollande, Marine Le Pen et François Bayrou écartés par le président gagnant qui n'est autre... qu'une photo que l'expéditeur aura choisi d'insérer.
"On a pris les candidats les plus identifiés", explique Lauris Olivier, directeur de création de dromadaire.com, tandis que Rafik Smati, interrogé par l'AFP sur l'absence d'autres candidats comme Eva Joly, admet que "oui, on aurait pu la mettre".
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