Le patrouilleur de surveillance maritime Arafenua, du service des douanes.
Dans le cadre d’une enquête préliminaire suite à la plainte d’une douanière, cinq agents de la Brigade de surveillance maritime des douanes ont été interpellés, lundi 30 juillet dans la matinée, et placés en garde à vue à la Direction de la sécurité publique, pour des faits supposés de « Viol en réunion », « Actes de torture et barbarie », et « Appels malveillants ».
Les cinq douaniers sont supposés avoir commis des agressions sexuelles et des violences répétées sur une collègue douanière, à bord du patrouilleur de surveillance Arafenua, entre avril et mai dernier.
La plaignante déclare en outre avoir été l'objet de harcèlement et de menaces, de la part des auteurs présumés, sur son téléphone personnel.
La période de garde à vue des cinq douaniers pourrait être prolongée de 24 heures.
Un juge d’instruction devrait être saisi pour des faits de viol en réunion, actes de tortures et barbaries et appels malveillants sur le téléphone de la victime.
Ces faits sont criminels. L’enquête préliminaire tente de déterminer s’ils sont avérés.
Le cas échéant, les violeurs présumés seront présentés devant le juge d’instruction avec mise en examen et présentation devant le juge des Libertés et de la détention, en vue d’un placement en détention provisoire.
>>Lire aussi : Faits présumés de viols en réunion: la direction des douanes réagit
Les cinq douaniers sont supposés avoir commis des agressions sexuelles et des violences répétées sur une collègue douanière, à bord du patrouilleur de surveillance Arafenua, entre avril et mai dernier.
La plaignante déclare en outre avoir été l'objet de harcèlement et de menaces, de la part des auteurs présumés, sur son téléphone personnel.
La période de garde à vue des cinq douaniers pourrait être prolongée de 24 heures.
Un juge d’instruction devrait être saisi pour des faits de viol en réunion, actes de tortures et barbaries et appels malveillants sur le téléphone de la victime.
Ces faits sont criminels. L’enquête préliminaire tente de déterminer s’ils sont avérés.
Le cas échéant, les violeurs présumés seront présentés devant le juge d’instruction avec mise en examen et présentation devant le juge des Libertés et de la détention, en vue d’un placement en détention provisoire.
>>Lire aussi : Faits présumés de viols en réunion: la direction des douanes réagit
