Le CLSPD est une instance de concertation présidée par le maire, afin de lutter contre l'insécurité et la délinquance sur le territoire communal. ©La ville de Paea
Tahiti, le 2 octobre 2025 - Comme la commune de Punaauia en juillet, Paea lance son Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD). L’instance, présidée par le maire Antony Géros et officiellement installée en présence du haut-commissaire Alexandre Rochatte, marque une nouvelle étape dans la mobilisation collective face aux enjeux de sécurité et de cohésion sociale.
Un diagnostic local de sécurité a été mené en amont. Il met en lumière des réalités bien connues des habitants : nuisances sonores, chiens errants, violences intrafamiliales, conduites addictives, difficultés de la jeunesse ou encore sentiment d’insécurité dans certains quartiers. Autant de points sensibles qui serviront de base à la feuille de route 2025-2028. Celle-ci s’articule autour de quatre grands axes : prévention des comportements à risque, renforcement du lien de confiance avec la population, sécurisation et valorisation des espaces publics, mais aussi une meilleure coordination entre les acteurs pour suivre les quartiers sensibles.
La municipalité a profité de l’installation pour présenter son dispositif de vidéoprotection. Mis en place grâce à un financement de l’État à hauteur de 26,3 millions de francs, soit 80 % du coût total, il doit contribuer à sécuriser et à réinvestir les espaces publics.
Le haut-commissaire a salué l’engagement des partenaires et rappelé la mobilisation de l’État en faveur de la commune, où plus de la moitié de la population vit dans des quartiers prioritaires de la politique de la ville.
Outre la vidéoprotection, l’État finance déjà deux postes d’adultes relais, cofinance le projet éducatif périscolaire prévu en 2025, soutient la rénovation des plateaux sportifs et subventionne plusieurs associations sportives, culturelles et scolaires.
Pour la commune, l’enjeu est clair : travailler ensemble pour que Paea reste une commune où l’on peut mieux vivre et mieux être, en sécurité et en confiance. Avec ce nouveau conseil, Paea rejoint les communes polynésiennes qui misent sur la concertation et la prévention pour faire face aux défis de la sécurité locale.
Un diagnostic local de sécurité a été mené en amont. Il met en lumière des réalités bien connues des habitants : nuisances sonores, chiens errants, violences intrafamiliales, conduites addictives, difficultés de la jeunesse ou encore sentiment d’insécurité dans certains quartiers. Autant de points sensibles qui serviront de base à la feuille de route 2025-2028. Celle-ci s’articule autour de quatre grands axes : prévention des comportements à risque, renforcement du lien de confiance avec la population, sécurisation et valorisation des espaces publics, mais aussi une meilleure coordination entre les acteurs pour suivre les quartiers sensibles.
La municipalité a profité de l’installation pour présenter son dispositif de vidéoprotection. Mis en place grâce à un financement de l’État à hauteur de 26,3 millions de francs, soit 80 % du coût total, il doit contribuer à sécuriser et à réinvestir les espaces publics.
Le haut-commissaire a salué l’engagement des partenaires et rappelé la mobilisation de l’État en faveur de la commune, où plus de la moitié de la population vit dans des quartiers prioritaires de la politique de la ville.
Outre la vidéoprotection, l’État finance déjà deux postes d’adultes relais, cofinance le projet éducatif périscolaire prévu en 2025, soutient la rénovation des plateaux sportifs et subventionne plusieurs associations sportives, culturelles et scolaires.
Pour la commune, l’enjeu est clair : travailler ensemble pour que Paea reste une commune où l’on peut mieux vivre et mieux être, en sécurité et en confiance. Avec ce nouveau conseil, Paea rejoint les communes polynésiennes qui misent sur la concertation et la prévention pour faire face aux défis de la sécurité locale.































