PORT-MORESBY, lundi 15 avril 2013 (Flash d’Océanie) – Une nouvelle évasion collective a eu lieu en fin de semaine dernière en Papouasie-Nouvelle-Guinée, cette fois-ci à la prison de Buimo (Lae, seconde ville du pays), rapporte la presse locale.
Au cours de cette nouvelle escapade, 41 prisonniers ont initialement pris la fuite, vingt ont rapidement été rattrapés, dont un tué par balles par les forces de l’ordre.
Les 21 autres sont toujours en cavale.
La police, qui a appelé à la coopération du public, a aussi lancé un avertissement en raison de la dangerosité de la plupart des fuyards, qui pour certains purgent des peines lourdes pour des crimes de sang.
Cette nouvelle évasion de masse intervient moins d’un mois après une autre évasion collective, survenue le 22 mars 2013, lorsqu’une cinquantaine de pensionnaires du quartier de haute sécurité de la prison de Madang (Est de l’île principale).
La police avait alors lancé une vaste chasse à l’homme en vue de remettre la main sur ces criminels, dont certains sont là aussi considérés comme particulièrement dangereux, avec en tête de liste un certain Stephen Tari, surnommé « Le Jésus Noir » et condamné en 2010 dans une affaire de culte ayant entraîné des viols et la mort de nombre de ses adeptes.
Cet individu était aussi accusé, à l’époque, de s’être livré à des actes de cannibalisme mystique sur les corps de ses victimes.
Lors de cette évasion de la prison Beon de Madang, ces 49 prisonniers ont profité d’un flottement pendant un changement d’équipes de surveillants pour prendre le large en pratiquant une large ouverture dans la clôture de l’établissement.
L’évasion n’aurait été constatée que quelques heures plus tard.
Quatre des fugitifs auraient depuis été rattrapés alors qu’ils avaient trouvé refuge dans un village non loin du centre pénitentiaire.
pad
Au cours de cette nouvelle escapade, 41 prisonniers ont initialement pris la fuite, vingt ont rapidement été rattrapés, dont un tué par balles par les forces de l’ordre.
Les 21 autres sont toujours en cavale.
La police, qui a appelé à la coopération du public, a aussi lancé un avertissement en raison de la dangerosité de la plupart des fuyards, qui pour certains purgent des peines lourdes pour des crimes de sang.
Cette nouvelle évasion de masse intervient moins d’un mois après une autre évasion collective, survenue le 22 mars 2013, lorsqu’une cinquantaine de pensionnaires du quartier de haute sécurité de la prison de Madang (Est de l’île principale).
La police avait alors lancé une vaste chasse à l’homme en vue de remettre la main sur ces criminels, dont certains sont là aussi considérés comme particulièrement dangereux, avec en tête de liste un certain Stephen Tari, surnommé « Le Jésus Noir » et condamné en 2010 dans une affaire de culte ayant entraîné des viols et la mort de nombre de ses adeptes.
Cet individu était aussi accusé, à l’époque, de s’être livré à des actes de cannibalisme mystique sur les corps de ses victimes.
Lors de cette évasion de la prison Beon de Madang, ces 49 prisonniers ont profité d’un flottement pendant un changement d’équipes de surveillants pour prendre le large en pratiquant une large ouverture dans la clôture de l’établissement.
L’évasion n’aurait été constatée que quelques heures plus tard.
Quatre des fugitifs auraient depuis été rattrapés alors qu’ils avaient trouvé refuge dans un village non loin du centre pénitentiaire.
pad
