PAPEETE, vendredi 21 mars 2014. En raison des très nombreuses listes en course dans chacune des communes -avec souvent 5,6 ou même 8 listes en course à Mahina, mais seulement 3 à Papeete- pour ces élections municipales 2014, le premier tour de ce dimanche 23 mars servira de premier tri. Les résultats issus des urnes de dimanche soir permettront de savoir quels sont les candidats qui resteront en course et d’imaginer les possibles alliances de l’entre-deux tours.
Les élections étant une course d’obstacles en deux tours, certains s’interrogent déjà sur les candidats qui pourront se maintenir à la 2e étape du dimanche 30 mars. En fonction de la taille des communes (ou de leurs communes associées), il existe deux modes de scrutin applicables en Polynésie française.
Pour les 32 communes polynésiennes les moins peuplées (toutes dans les archipels) qui mettent en œuvre le scrutin majoritaire plurinominal, la règle est toute simple : toutes les listes engagées au premier tour, quel que soit le résultat qui sortira des urnes ce 23 mars, pourront se maintenir pour le second tour.
Pour les 16 communes les plus peuplées (à savoir les 12 communes de Tahiti auxquelles s’ajoutent Bora Bora, les Gambier, Maupiti et Uturoa, qui mettent en œuvre, elles, les élections sous le mode du scrutin de liste à la représentation proportionnelle, les règles sont plus complexes. Ainsi, ne pourront se maintenir au second tour que les listes ayant obtenu au moins 10% de suffrages exprimés. Les listes sélectionnées pour le second tour pourront fusionner avec des listes ayant obtenu au moins 5% des suffrages exprimés.
Dans le cas des grandes communes, soumises au scrutin de liste à la représentation proportionnelle, les candidats devront faire un nouveau dépôt de liste avant le mardi 25 mars 18 heures auprès de la subdivision administrative qui les représente. Si la liste n’a pas changé, il suffit de porter le formulaire rempli par le responsable de la liste et la liste des candidats au conseil municipal. Dans le cas où des fusions de liste s’opèrent il faudra, -en plus du formulaire rempli par la tête de liste et de la liste des candidats modifiée-, les déclarations individuelles et signées de chacun des candidats. L’entre deux tours promet d’être particulièrement intense en négociations en tous genres dans certaines communes.
Les élections étant une course d’obstacles en deux tours, certains s’interrogent déjà sur les candidats qui pourront se maintenir à la 2e étape du dimanche 30 mars. En fonction de la taille des communes (ou de leurs communes associées), il existe deux modes de scrutin applicables en Polynésie française.
Pour les 32 communes polynésiennes les moins peuplées (toutes dans les archipels) qui mettent en œuvre le scrutin majoritaire plurinominal, la règle est toute simple : toutes les listes engagées au premier tour, quel que soit le résultat qui sortira des urnes ce 23 mars, pourront se maintenir pour le second tour.
Pour les 16 communes les plus peuplées (à savoir les 12 communes de Tahiti auxquelles s’ajoutent Bora Bora, les Gambier, Maupiti et Uturoa, qui mettent en œuvre, elles, les élections sous le mode du scrutin de liste à la représentation proportionnelle, les règles sont plus complexes. Ainsi, ne pourront se maintenir au second tour que les listes ayant obtenu au moins 10% de suffrages exprimés. Les listes sélectionnées pour le second tour pourront fusionner avec des listes ayant obtenu au moins 5% des suffrages exprimés.
Dans le cas des grandes communes, soumises au scrutin de liste à la représentation proportionnelle, les candidats devront faire un nouveau dépôt de liste avant le mardi 25 mars 18 heures auprès de la subdivision administrative qui les représente. Si la liste n’a pas changé, il suffit de porter le formulaire rempli par le responsable de la liste et la liste des candidats au conseil municipal. Dans le cas où des fusions de liste s’opèrent il faudra, -en plus du formulaire rempli par la tête de liste et de la liste des candidats modifiée-, les déclarations individuelles et signées de chacun des candidats. L’entre deux tours promet d’être particulièrement intense en négociations en tous genres dans certaines communes.
