MEXICO, 6 avril 2011 (AFP) - Cette fois-ci elles enlèvent le bikini: après un calendrier "sexy" en novembre pour compenser leurs pertes de salaires, six hôtesses de l'air de Mexicana se sont mises à nu dans l'édition mexicaine de Playboy en attendant le redécollage de la compagnie clouée au sol depuis août.
"Les photos n'offensent personne et ce que nous souhaitons, c'est travailler", a déclaré Rosa Maria Arcos, porte-parole des hôtesses qui apparaissent dans l'article principal de la dernière édition du magazine de charme, en vente depuis mardi.
Après le succès du calendrier, où elles posaient en bikini ou court vêtues, près des avions ou sur les pistes d'un aéroport, les six hôtesses ont signé un contrat pour poser pour Playboy et raconter leur expérience dans une vidéo.
Mais leur but n'est pas de changer de métier, souligne Arcos. "Notre intention a toujours été de reprendre notre profession", a-t-elle assuré.
Le groupe Mexicana, qui regroupe les compagnies Mexicana, Mexicana Click et Mexicana Link, est en redressement judiciaire depuis sept mois.
Le gouvernement, les syndicats et des investisseurs ont présenté en vain plusieurs plans pour tenter de relancer son activité.
Les vols n'ont toujours pas repris, malgré le passage de Mexicana sous le contrôle du groupe d'investissement privé mexicain PC Capital en février.
Mexicana, fondée en 1921, assurait 200 vols et transportait 22.000 passagers par jour.
hov/lp/gf/mr
"Les photos n'offensent personne et ce que nous souhaitons, c'est travailler", a déclaré Rosa Maria Arcos, porte-parole des hôtesses qui apparaissent dans l'article principal de la dernière édition du magazine de charme, en vente depuis mardi.
Après le succès du calendrier, où elles posaient en bikini ou court vêtues, près des avions ou sur les pistes d'un aéroport, les six hôtesses ont signé un contrat pour poser pour Playboy et raconter leur expérience dans une vidéo.
Mais leur but n'est pas de changer de métier, souligne Arcos. "Notre intention a toujours été de reprendre notre profession", a-t-elle assuré.
Le groupe Mexicana, qui regroupe les compagnies Mexicana, Mexicana Click et Mexicana Link, est en redressement judiciaire depuis sept mois.
Le gouvernement, les syndicats et des investisseurs ont présenté en vain plusieurs plans pour tenter de relancer son activité.
Les vols n'ont toujours pas repris, malgré le passage de Mexicana sous le contrôle du groupe d'investissement privé mexicain PC Capital en février.
Mexicana, fondée en 1921, assurait 200 vols et transportait 22.000 passagers par jour.
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