L'une des stars aux Etats-Unis des arts martiaux mixtes (MMA), Jon Jones, a été convaincue de dopage et a été destituée mercredi de son titre de champion UFC des mi-lourds.
Jones a reçu mardi de l'Agence américaine antidopage (Usada) une suspension d'un an pour un contrôle réalisé en juin qui avait révélé la présence d'une substance dopante provenant d'un médicament destiné à améliorer ses performances sexuelles.
"Selon les informations recueillies par le tribunal disciplinaire, Jones n'est pas un tricheur. Il ne savait pas que le médicament contenait une substance considérée comme dopante", a indiqué l'Usada.
"Mais il a fait preuve de négligence, il ne pourra pas pratiquer son sport pendant un an et va perdre environ neuf millions de dollars", a-t-elle rappelé.
Dans la foulée, l'UFC, l'organisateur le plus important de combats de MMA, un sport très spectaculaire aux Etats-Unis et très violent, a décidé de lui retirer son titre de champion intermédiaire qu'elle lui avait attribuée en avril, après le forfait sur blessure du champion, son compatriote Daniel Cormier.
"Avec tout ce qu'il se passe avec lui, il ne peut plus être champion intermédiaire", a expliqué à l'un des sites internet du groupe ESPN Dana White, le président de l'UFC.
"Il a gaspillé sa chance, c'est peut-être l'un des plus grands talents de notre sport, mais il est aussi l'un des plus gros gâchis", a-t-il regretté.
Jones a remporté 22 de ses 23 combats, mais il a déjà défrayé la chronique par le passé: en 2015, l'UFC l'avait destitué de son titre des mi-lourds pour raisons disciplinaires après un accident de la route et un délit de fuite.
En juillet dernier, il avait dû déclarer forfait trois jours avant son combat très attendu contre Cormier après avoir reçu de l'Usada la notification de son contrôle positif.
avec AFP
Jones a reçu mardi de l'Agence américaine antidopage (Usada) une suspension d'un an pour un contrôle réalisé en juin qui avait révélé la présence d'une substance dopante provenant d'un médicament destiné à améliorer ses performances sexuelles.
"Selon les informations recueillies par le tribunal disciplinaire, Jones n'est pas un tricheur. Il ne savait pas que le médicament contenait une substance considérée comme dopante", a indiqué l'Usada.
"Mais il a fait preuve de négligence, il ne pourra pas pratiquer son sport pendant un an et va perdre environ neuf millions de dollars", a-t-elle rappelé.
Dans la foulée, l'UFC, l'organisateur le plus important de combats de MMA, un sport très spectaculaire aux Etats-Unis et très violent, a décidé de lui retirer son titre de champion intermédiaire qu'elle lui avait attribuée en avril, après le forfait sur blessure du champion, son compatriote Daniel Cormier.
"Avec tout ce qu'il se passe avec lui, il ne peut plus être champion intermédiaire", a expliqué à l'un des sites internet du groupe ESPN Dana White, le président de l'UFC.
"Il a gaspillé sa chance, c'est peut-être l'un des plus grands talents de notre sport, mais il est aussi l'un des plus gros gâchis", a-t-il regretté.
Jones a remporté 22 de ses 23 combats, mais il a déjà défrayé la chronique par le passé: en 2015, l'UFC l'avait destitué de son titre des mi-lourds pour raisons disciplinaires après un accident de la route et un délit de fuite.
En juillet dernier, il avait dû déclarer forfait trois jours avant son combat très attendu contre Cormier après avoir reçu de l'Usada la notification de son contrôle positif.
avec AFP
