Le collectif Te Tau no te Hono annonçait une intensification de son mouvement de contestation, mardi soir en sortant de l'entrevue jugée très décevante avec le vice-président, Antony Géros.
Mercredi 25 juillet vers 10 h 30, les barrages filtrants mis en place avenue du Général de Gaulle et sur le front de mer à Papeete, ont progressivement été levés. Et ce définitivement. La levée des barrages devant être achevée dans l'après midi de mercredi. Le tunnel du front de mer a été ouvert en premier lieu, vers 10 heures.
Ces blocages fermaient les accès est et ouest du tunnel et réduisaient considérablement le trafic automobile au niveau du rond point Povanaa’a Oopa, depuis lundi matin.
Mercredi, un peu plus tôt dans la matinée, les propriétaires des engins de travaux publics ont été convoqués au commissariat de Papeete. Un rappel à l'ordre leur a été signifié.
Mercredi, le collectif Te Tau no te Hono a adressé un courrier à Victorin Lurel, le ministre des Outre-mer, pour dénoncer la situation de prise d'otage que vivent les polynésiens vis-à-vis de l'augmentation du prix des hydrocarbures.
"Notre objectif n'est pas de handicaper plus la population que les principaux intéressés", commente Franck Tehaamatai, au sujet de la levée des barrages, malgré la poursuite de leur action de contestation de la dernière hausse du prix des carburants. Le président du Collectif interprofessionnel continue : "Je pense que nous avons suffisamment communiqué avec les automobilistes".
Depuis lundi, distribués opportunément sur le lieu des barrages, près de 15.000 tracts ont été remis aux automobilistes. Il s'agit d'un appel populaire à la manifestation qu'organise le collectif, sur la place Tarahoi jeudi matin.
L'action des contestataires du collectif s'oriente d'après les éléments recueillis, aujourd'hui, vers un blocage des ministères qu'il juge concernés par la situation d'enlisement de cette crise : celui de l'Economie, de Pierre Frébault et la vice-présidence, d'Antony Geros. Ces blocages pourraient être mis en place dès vendredi.
Mercredi 25 juillet vers 10 h 30, les barrages filtrants mis en place avenue du Général de Gaulle et sur le front de mer à Papeete, ont progressivement été levés. Et ce définitivement. La levée des barrages devant être achevée dans l'après midi de mercredi. Le tunnel du front de mer a été ouvert en premier lieu, vers 10 heures.
Ces blocages fermaient les accès est et ouest du tunnel et réduisaient considérablement le trafic automobile au niveau du rond point Povanaa’a Oopa, depuis lundi matin.
Mercredi, un peu plus tôt dans la matinée, les propriétaires des engins de travaux publics ont été convoqués au commissariat de Papeete. Un rappel à l'ordre leur a été signifié.
Mercredi, le collectif Te Tau no te Hono a adressé un courrier à Victorin Lurel, le ministre des Outre-mer, pour dénoncer la situation de prise d'otage que vivent les polynésiens vis-à-vis de l'augmentation du prix des hydrocarbures.
"Notre objectif n'est pas de handicaper plus la population que les principaux intéressés", commente Franck Tehaamatai, au sujet de la levée des barrages, malgré la poursuite de leur action de contestation de la dernière hausse du prix des carburants. Le président du Collectif interprofessionnel continue : "Je pense que nous avons suffisamment communiqué avec les automobilistes".
Depuis lundi, distribués opportunément sur le lieu des barrages, près de 15.000 tracts ont été remis aux automobilistes. Il s'agit d'un appel populaire à la manifestation qu'organise le collectif, sur la place Tarahoi jeudi matin.
L'action des contestataires du collectif s'oriente d'après les éléments recueillis, aujourd'hui, vers un blocage des ministères qu'il juge concernés par la situation d'enlisement de cette crise : celui de l'Economie, de Pierre Frébault et la vice-présidence, d'Antony Geros. Ces blocages pourraient être mis en place dès vendredi.
