Tahiti, le 21 novembre 2023 – Ce mardi, dans les jardins de l'assemblée de la Polynésie française, marquait l'ouverture de la Fête de la science. Une 32e édition inscrite dans un contexte bien particulier, à quelques mois des Jeux olympiques à Teahupo'o, où les jeunes scientifiques en herbe ont dû créer des ponts entre la science et le sport.
Elle a lieu tous les ans depuis 1991, la Fête de la science, instaurée en Polynésie française par taote Raymond Bagnis, continue d'émerveiller et de susciter des vocations chez une jeunesse polynésienne toujours plus concernée. Et cette année, à plus forte raison. À seulement quelques mois des épreuves olympiques de surf de Teahupo'o, la 32e édition de la Fête de la science a décidé de porter son regard et son expertise sur le sport. “Évaluation de l'impact d'une activité physique régulière ou intermittente sur la fréquence cardiaque”, “évaluation de l'impact acoustique des sports nautiques sur les cétacés” ou encore “à la découverte de l'adaptation en milieu extrême”, tels ont été quelques-uns des sujets présentés ce mardi par ces jeunes scientifiques en herbe, issus des différents établissements scolaires de l'île de Tahiti.
Sous la supervision de leurs professeurs, ces futurs Louis Pasteur et Marie Curie n'ont pas manqué d'implication dans leurs travaux. “C'était intéressant et on a appris beaucoup de choses”, s'accordaient à dire les élèves du collège de Taravao, qui découvraient par la même occasion la méthodologie scientifique : rigueur de l'étude, exactitude des données recueillies et leur interprétation, approche méthodique… quelques notions qui serviront sans aucun doute à cette relève en devenir.
De nombreux travaux en lien avec le sport
“Pendant plusieurs années, le taote Bagnis a su sensibiliser des générations d'enfants, d'élèves, d'étudiants, mais également de citoyens, à sa passion qu'était la science. J'ai toujours une pensée émue pour ce grand monsieur, qui nous a quittés il y a seulement quelques mois”, témoignait le ministre en charge de la recherche en Polynésie française, Taivini Teai. “Aujourd'hui, la Fête de la science est un rendez-vous phare du dialogue entre science et société, entre les acteurs de la recherche et les citoyens. C'est l'occasion de découvrir le monde de la recherche scientifique, les personnes qui la font vivre et les lieux où progressent les connaissances”, poursuivait le ministre, avant de préciser l'originalité de cette 32e édition : “Cette année, nous mettons à l'honneur la pratique sportive. Car quel que soit le niveau pratiqué, le sport occupe une place centrale dans notre société. Il brille par son omniprésence sociale, économique, médiatique, mais aussi scientifique. Par essence pluridisciplinaire, le sport fait l'objet d'un grand nombre de travaux en lien avec la santé, la technologie ou encore l'écologie pour ne citer qu'eux. La Fête de la science est l'occasion de mettre en lumière la contribution des chercheurs dans la performance des sportifs professionnels ou amateurs.”
Elle a lieu tous les ans depuis 1991, la Fête de la science, instaurée en Polynésie française par taote Raymond Bagnis, continue d'émerveiller et de susciter des vocations chez une jeunesse polynésienne toujours plus concernée. Et cette année, à plus forte raison. À seulement quelques mois des épreuves olympiques de surf de Teahupo'o, la 32e édition de la Fête de la science a décidé de porter son regard et son expertise sur le sport. “Évaluation de l'impact d'une activité physique régulière ou intermittente sur la fréquence cardiaque”, “évaluation de l'impact acoustique des sports nautiques sur les cétacés” ou encore “à la découverte de l'adaptation en milieu extrême”, tels ont été quelques-uns des sujets présentés ce mardi par ces jeunes scientifiques en herbe, issus des différents établissements scolaires de l'île de Tahiti.
Sous la supervision de leurs professeurs, ces futurs Louis Pasteur et Marie Curie n'ont pas manqué d'implication dans leurs travaux. “C'était intéressant et on a appris beaucoup de choses”, s'accordaient à dire les élèves du collège de Taravao, qui découvraient par la même occasion la méthodologie scientifique : rigueur de l'étude, exactitude des données recueillies et leur interprétation, approche méthodique… quelques notions qui serviront sans aucun doute à cette relève en devenir.
De nombreux travaux en lien avec le sport
“Pendant plusieurs années, le taote Bagnis a su sensibiliser des générations d'enfants, d'élèves, d'étudiants, mais également de citoyens, à sa passion qu'était la science. J'ai toujours une pensée émue pour ce grand monsieur, qui nous a quittés il y a seulement quelques mois”, témoignait le ministre en charge de la recherche en Polynésie française, Taivini Teai. “Aujourd'hui, la Fête de la science est un rendez-vous phare du dialogue entre science et société, entre les acteurs de la recherche et les citoyens. C'est l'occasion de découvrir le monde de la recherche scientifique, les personnes qui la font vivre et les lieux où progressent les connaissances”, poursuivait le ministre, avant de préciser l'originalité de cette 32e édition : “Cette année, nous mettons à l'honneur la pratique sportive. Car quel que soit le niveau pratiqué, le sport occupe une place centrale dans notre société. Il brille par son omniprésence sociale, économique, médiatique, mais aussi scientifique. Par essence pluridisciplinaire, le sport fait l'objet d'un grand nombre de travaux en lien avec la santé, la technologie ou encore l'écologie pour ne citer qu'eux. La Fête de la science est l'occasion de mettre en lumière la contribution des chercheurs dans la performance des sportifs professionnels ou amateurs.”