PORT-MORESBY, mardi 22 janvier 2013 (Flash d’Océanie) – Tous les vols domestiques au départ et à l’arrivée de l’île de Nouvelle-Bretagne (Est de l’île principale de la Papouasie-Nouvelle-Guinée) ont dû être annulés en début de semaine, en raison du réveil récent du volcan Tavurvur, l’un des deux cônes qui encadrent a ville de Rabaul.
Motif invoqué par les compagnies aériennes, sur le site de l’aéroport local de Tokua : le volume jugé important de vapeur et de cendres rejeté dans l’atmosphère par ce nouveau regain d’activité volcanique.
L’effet de cette mesure d’annulation devrait se prolonger jusqu’à nouvel ordre, alors que les autorités et l’observatoire volcanologique de Rabaul continuent à surveiller de près l’évolution de la situation, rapporte mardi le quotidien The National.
Cette mesure pourrait être levée si les vents dominants changent de direction, ont indiqué les autorités.
Le volcan Tavurvur, situé dans la province insulaire de Nouvelle-Bretagne de l’Est, s’est réveillé samedi 19 janvier 2013 dans la soirée, projetant dans l’atmosphère un important panache de cendres.
Ces projections ont été accompagnées d’un important grondement, au cours des quinze minutes qui ont suivi, a précisé Ima Itikarai, directeur adjoint de cet observatoire.
Le lendemain, dimanche 20 janvier 2013, au lever du jour, « il était évident que des cendres avaient été émises », a-t-il ajouté en faisant référence non seulement aux traces au sol, mais aussi aux nuages gris qui persistaient à quelque cinq cent mètres au-dessus du volcan.
Le volcanologue a aussi noté que quelques jours avant cette éruption du Tavurvur, la végétation alentours avait commencé à « virer au marron » et qu’une forte odeur de soufre avait été constatée par les riverains.
Il a expliqué ce changement de couleur et cette odeur caractéristique par un accroissement du volume de dioxyde de soufre relâché par le volcan, avant l’éruption.
Motif invoqué par les compagnies aériennes, sur le site de l’aéroport local de Tokua : le volume jugé important de vapeur et de cendres rejeté dans l’atmosphère par ce nouveau regain d’activité volcanique.
L’effet de cette mesure d’annulation devrait se prolonger jusqu’à nouvel ordre, alors que les autorités et l’observatoire volcanologique de Rabaul continuent à surveiller de près l’évolution de la situation, rapporte mardi le quotidien The National.
Cette mesure pourrait être levée si les vents dominants changent de direction, ont indiqué les autorités.
Le volcan Tavurvur, situé dans la province insulaire de Nouvelle-Bretagne de l’Est, s’est réveillé samedi 19 janvier 2013 dans la soirée, projetant dans l’atmosphère un important panache de cendres.
Ces projections ont été accompagnées d’un important grondement, au cours des quinze minutes qui ont suivi, a précisé Ima Itikarai, directeur adjoint de cet observatoire.
Le lendemain, dimanche 20 janvier 2013, au lever du jour, « il était évident que des cendres avaient été émises », a-t-il ajouté en faisant référence non seulement aux traces au sol, mais aussi aux nuages gris qui persistaient à quelque cinq cent mètres au-dessus du volcan.
Le volcanologue a aussi noté que quelques jours avant cette éruption du Tavurvur, la végétation alentours avait commencé à « virer au marron » et qu’une forte odeur de soufre avait été constatée par les riverains.
Il a expliqué ce changement de couleur et cette odeur caractéristique par un accroissement du volume de dioxyde de soufre relâché par le volcan, avant l’éruption.
