Cette année, le Conservatoire Artistique de la Polynésie Française promet un concert grandiose avec plus de 100 musiciens. Crédit photo : Christian Durocher/CAPF
PAPEETE. 10 avril 2014 - Suite au succès en 2013 des concerts dédié aux Beatles, le Conservatoire Artistique de la Polynésien française, prépare un concert grandiose appelé « Concert des 4 orchestres » sera présenté au grand théâtre de la Maison de la Culture. Le récital regroupera les 4 formations orchestrales de l’établissement.
Les organisateurs composés de la direction du Conservatoire artistique, et des professeurs des différentes sections orchestrales l’ont assuré : « le concert prévu sera unique et surtout impressionnant.» Et pour cause, le jeu d’orchestre sera mis en valeur. Les deux premiers orchestres regroupent professeurs, élèves de haut niveau et musiciens invités : il s'agit de la grande harmonie, dirigée par Colin Raoulx et de l'ensemble instrumental à cordes, dirigé par Frédéric Rossoni. Pour le premier, 40 élèves interpréteront des airs de blues, des reprises de grand Ray Charles, le célèbre « What a Wonderful world » de George David Weiss, mais feront un clin d’œil à l’opéra avec une composition de Guiseppe Verdi intitulée « La force du destin ». Cette pièce touchera certainement les plus sentimentaux puisque cette belle mélodie met en scène deux amoureux que la jalousie, la condition sociale et surtout la vengeance empêcheront de vivre leur histoire. Frédéric Rossoni fera intervenir, quant à lui, un quatuor jazz (composée d’un piano, d’une batterie, d’une basse et d’un saxophone) formé de musiciens chevronnés du fenua. Ils seront accompagnés de vingt élèves de la section « cordes ».
Les deux autres formations, qui intègrent des musiciens plus jeunes mais néanmoins déterminés sont la petite harmonie, dirigée par Sébastien Vignals. Cette section accueille des musiciens en herbe dont certains sont débutants et ayant six mois à 4 ans de pratique. Elle est également la petite sœur de la grande harmonie et rassemble 45 élèves d’instruments à vent et à percussion. Cela comprend la clarinette, le saxophone, la flûte, trompette, trombones, tubas et les percussions (timbales, cymbales et triangles). Le petit orchestre à cordes, dirigé par Simon Pillard est à l’instar de la petite harmonie, la cadette du grand orchestre. Vingt élèves débutant pour la plupart en alto, violoncelle et violon. Ils interpréteront un concerto de Vivaldi, mais reviendront au vingtième siècle pour des airs plus modernes, tels qu’une musique de film ou une chanson du répertoire du groupe anglais Britpop the verve , « bitter sweet symphony » sorti en 1997.
A noter également la présence d’élèves du collège de Tīpaeru’i issus de classes de 6ème et 5ème CHAM (Classes à Horaires Aménagés Musique). Ils seront une douzaine à participer au concert. Le Conservatoire mettra ainsi en avant un travail de longue haleine (puisqu’une grande partie des musiciens sont élèves depuis plusieurs années déjà). "Quelque part, ce sera l'aboutissement d'un long apprentissage et sacrifice." ont encore ajouté les organisateurs.
Ce superbe voyage musical de deux heures est coproduit avec les équipes de la Maison de la culture. Le 23 avril prochain, ce seront plus de 100 élèves de différents niveaux qui auront l’occasion de se produire sur scène. Les billets au tarif unique de 1500 XPF sont déjà en vente aux guichets de la Maison de la Culture et le soir du concert sur place. Pour de plus amples renseignements, vous pouvez appeler au Conservatoire Artistique de la Polynésie française au 50 14 18.
TP
Les organisateurs composés de la direction du Conservatoire artistique, et des professeurs des différentes sections orchestrales l’ont assuré : « le concert prévu sera unique et surtout impressionnant.» Et pour cause, le jeu d’orchestre sera mis en valeur. Les deux premiers orchestres regroupent professeurs, élèves de haut niveau et musiciens invités : il s'agit de la grande harmonie, dirigée par Colin Raoulx et de l'ensemble instrumental à cordes, dirigé par Frédéric Rossoni. Pour le premier, 40 élèves interpréteront des airs de blues, des reprises de grand Ray Charles, le célèbre « What a Wonderful world » de George David Weiss, mais feront un clin d’œil à l’opéra avec une composition de Guiseppe Verdi intitulée « La force du destin ». Cette pièce touchera certainement les plus sentimentaux puisque cette belle mélodie met en scène deux amoureux que la jalousie, la condition sociale et surtout la vengeance empêcheront de vivre leur histoire. Frédéric Rossoni fera intervenir, quant à lui, un quatuor jazz (composée d’un piano, d’une batterie, d’une basse et d’un saxophone) formé de musiciens chevronnés du fenua. Ils seront accompagnés de vingt élèves de la section « cordes ».
Les deux autres formations, qui intègrent des musiciens plus jeunes mais néanmoins déterminés sont la petite harmonie, dirigée par Sébastien Vignals. Cette section accueille des musiciens en herbe dont certains sont débutants et ayant six mois à 4 ans de pratique. Elle est également la petite sœur de la grande harmonie et rassemble 45 élèves d’instruments à vent et à percussion. Cela comprend la clarinette, le saxophone, la flûte, trompette, trombones, tubas et les percussions (timbales, cymbales et triangles). Le petit orchestre à cordes, dirigé par Simon Pillard est à l’instar de la petite harmonie, la cadette du grand orchestre. Vingt élèves débutant pour la plupart en alto, violoncelle et violon. Ils interpréteront un concerto de Vivaldi, mais reviendront au vingtième siècle pour des airs plus modernes, tels qu’une musique de film ou une chanson du répertoire du groupe anglais Britpop the verve , « bitter sweet symphony » sorti en 1997.
A noter également la présence d’élèves du collège de Tīpaeru’i issus de classes de 6ème et 5ème CHAM (Classes à Horaires Aménagés Musique). Ils seront une douzaine à participer au concert. Le Conservatoire mettra ainsi en avant un travail de longue haleine (puisqu’une grande partie des musiciens sont élèves depuis plusieurs années déjà). "Quelque part, ce sera l'aboutissement d'un long apprentissage et sacrifice." ont encore ajouté les organisateurs.
Ce superbe voyage musical de deux heures est coproduit avec les équipes de la Maison de la culture. Le 23 avril prochain, ce seront plus de 100 élèves de différents niveaux qui auront l’occasion de se produire sur scène. Les billets au tarif unique de 1500 XPF sont déjà en vente aux guichets de la Maison de la Culture et le soir du concert sur place. Pour de plus amples renseignements, vous pouvez appeler au Conservatoire Artistique de la Polynésie française au 50 14 18.
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I te 23 nō ‘ēperera i te Fare Tauhiti Nui : 100 mau ha’uti ‘upa’upa i ni’a i te tahua !
PAPEETE. Te ‘ahuru nō ‘ēperera o te matahiti 2014 – A ha’amana’o na tātou, i te matahiti i ma’iri, rave rahi mau ta’ata o tei tāpapa atu i te Fare Tauhiti Nui nō te māta’ita’i i te ha’utira’a ‘upa’upa pi’i « Beatles ». Na te Fare ‘Upa Rau nō Tīpaeru’i a’e ra tei fa’aineine i taua ‘āru’i hīmene. I teie matahiti, e rave fa’ahou ‘oia tā na hō’ē rautira’a mai teie i te huru, i te pae ihoa ra o te huru pi’i hia « Jazz ». E ‘āno’i’ hia mai e maha piha ha’api’ira’a ‘upa’upa.
Tē nā’o nei te mau ti’a e fa’aineine nei i teie fa’anahora’a : « ‘Aita atu e ravera’a mai i teie te huru ; hau roa atu, e hope i te au. » E tupu ihoa teie paraura’a nō te raura’a o te mau piahī e riro i te fa’aō hia mai i roto i teie ‘ohipa.
Nō na piti pūpū mātāmua, e ‘āmui hia te mau ‘orometua ha’api’i ‘upa ‘e te mau piahī fāito teitei, tae noa atu i te mau manihini : tē vai nei te piha pi’i hia « grande harmonie » e arata’i hia nei e Colin Raoulx, na reira ato’a te piha pi’i e ha’uti nei i te mau ‘upa niuniu e fa’atere hia nei e Frédéric Rossoni. Nō Colin tāne, e maha ‘ahuru piahī terā e ha’uti mai i te mau ‘upa’upa o te maritē ‘ere’ere, te blues. E ha’uti ato’a mai rātou i te tahi rīpene i hīmene hia mai e Ray Charles « What a Wonderful world » i mātaro maita’i hia e nāho’a rahi I te ao nei. ‘Aita te tuha’a « Hīmene ‘ītaria » e mo’e hia. E fa’aro’o mai ‘outou i te hīmene « La force du destin » i pāpa’i hia e Giuseppe Verdi i te matahiti 1862 ra. ‘Eita e ‘ore e Putapū te ‘ā’au no te ‘ā’amu e fa’ahiti hia i roto i teie ha’utira’a. Te hiti mai ra te parau nō te tahi taure’are’a tei here roa i te tahi purotu, noa atu i tō rāua here i te rahi, ‘aita ra te pohe ha’e , te ‘ī’ino ‘e te ti’ara’a i roto i te orara’a e fa’a’ōhie noa a’e i te tā’amura’a i roto i na tino to’opiti.
‘Äre’a o Frédéric Rossoni tāne, e tītau mai ‘oia i te tahi mau ti’a aravihī, e maha. E ha’uti mai rātou i te ‘upa « Jazz » (tē vai nei te piano, te pahu tūpa’i farāni, te tītapu « bass » ‘e te Saxophone) E ‘āpe’e hia mai rātou e na piahī ha’uti ‘upa e piti ‘ahuru no taua piha ha’api’ira’a ra.
E ha’uti ato’a mai te mau piahī nō roto mai i te mau piha pi’i hia « petite harmonie » ‘e « petit orchestre à cordes ». Nō te piha mātāmua e rauti hia nei e Sébastien Vignals, tē ‘ite hia nei te mau huru fāito huru rau. Nō Vētahi, ‘ua ra’e hia i te maha matahiti o te ha’api’i noa ra’a i te ha’uti. Hō’ē ā te huru o te piha a arata’i hia nei e Simon Pillard. Tai’o hia, e piti ‘ahuru mau piahī terā e fa’aha’uti hia i taua pō ra. E ha’uti mai rātou i te tahi ‘upa i pāpa’i hia e te ta’ata tu’i ro’o ra o Vivaldi. E ōti ana’e, e ho’i mai rātou i te tau ‘āpī, ma te ha’uti mai i te mau hīmene peretāne, mai te « Bitter sweet symphony » i fa’aro’o hia na na roto i teie pūpū hīmene Britpop the verve. ‘Ua mātara teie hīmene i te matahiti 1997 ra.
Ta’a i te reira, e ‘āmui ato’a mai te tahi mau tamari’i nō te mau piha ono ‘e pae o te fare ha’api’ira’a tuarua nō Tīpaeru’i, o te pi’i noa hia na CHAM (te aura’a, e tārena ta’a ‘ē tā teie mau tamari’i. Mea fa’ata’a hia te tahi mau hora nō te ha’utira’a ‘upa’upa huru rau). ‘Ahuru ma piti rātou e haere mai. E rāve’a teie nō te fa’ahanahana i te roara’a tau i tauto’o noa ai teie mau piahī i roto i teie tuha’a ‘ohipa.
Mea rave ‘āmui hia teie fa’anahora’a faufa’a mau ‘e te piha fa’aterera’a o te Fare Tauhiti Nui. I teie ihoa ra 23 nō ‘ēperera e piri mai ra, hau i te hō’ē hānere mau piahī terā fāito ha’api’i hururau e fa’a’ite mai i tō rātou aravihī. Mea ho’o hia a’e na hia te mau tīteti parahira’a 500 tara (1 500 farāne) i te Fare Tauhiti Nui. Mai te peu ‘aita e tō ‘outou taime nō t haere e ti’i i teienei, e ho’o ato’a hia teie mau tīteti i taua pō ra, i tō vāhi noa ea. Nō te mau ha’amaramarama hau roa atu, a tāniuniu atu i te Fare ‘Upa Rau, i te 50 14 18.
TP
PAPEETE. Te ‘ahuru nō ‘ēperera o te matahiti 2014 – A ha’amana’o na tātou, i te matahiti i ma’iri, rave rahi mau ta’ata o tei tāpapa atu i te Fare Tauhiti Nui nō te māta’ita’i i te ha’utira’a ‘upa’upa pi’i « Beatles ». Na te Fare ‘Upa Rau nō Tīpaeru’i a’e ra tei fa’aineine i taua ‘āru’i hīmene. I teie matahiti, e rave fa’ahou ‘oia tā na hō’ē rautira’a mai teie i te huru, i te pae ihoa ra o te huru pi’i hia « Jazz ». E ‘āno’i’ hia mai e maha piha ha’api’ira’a ‘upa’upa.
Tē nā’o nei te mau ti’a e fa’aineine nei i teie fa’anahora’a : « ‘Aita atu e ravera’a mai i teie te huru ; hau roa atu, e hope i te au. » E tupu ihoa teie paraura’a nō te raura’a o te mau piahī e riro i te fa’aō hia mai i roto i teie ‘ohipa.
Nō na piti pūpū mātāmua, e ‘āmui hia te mau ‘orometua ha’api’i ‘upa ‘e te mau piahī fāito teitei, tae noa atu i te mau manihini : tē vai nei te piha pi’i hia « grande harmonie » e arata’i hia nei e Colin Raoulx, na reira ato’a te piha pi’i e ha’uti nei i te mau ‘upa niuniu e fa’atere hia nei e Frédéric Rossoni. Nō Colin tāne, e maha ‘ahuru piahī terā e ha’uti mai i te mau ‘upa’upa o te maritē ‘ere’ere, te blues. E ha’uti ato’a mai rātou i te tahi rīpene i hīmene hia mai e Ray Charles « What a Wonderful world » i mātaro maita’i hia e nāho’a rahi I te ao nei. ‘Aita te tuha’a « Hīmene ‘ītaria » e mo’e hia. E fa’aro’o mai ‘outou i te hīmene « La force du destin » i pāpa’i hia e Giuseppe Verdi i te matahiti 1862 ra. ‘Eita e ‘ore e Putapū te ‘ā’au no te ‘ā’amu e fa’ahiti hia i roto i teie ha’utira’a. Te hiti mai ra te parau nō te tahi taure’are’a tei here roa i te tahi purotu, noa atu i tō rāua here i te rahi, ‘aita ra te pohe ha’e , te ‘ī’ino ‘e te ti’ara’a i roto i te orara’a e fa’a’ōhie noa a’e i te tā’amura’a i roto i na tino to’opiti.
‘Äre’a o Frédéric Rossoni tāne, e tītau mai ‘oia i te tahi mau ti’a aravihī, e maha. E ha’uti mai rātou i te ‘upa « Jazz » (tē vai nei te piano, te pahu tūpa’i farāni, te tītapu « bass » ‘e te Saxophone) E ‘āpe’e hia mai rātou e na piahī ha’uti ‘upa e piti ‘ahuru no taua piha ha’api’ira’a ra.
E ha’uti ato’a mai te mau piahī nō roto mai i te mau piha pi’i hia « petite harmonie » ‘e « petit orchestre à cordes ». Nō te piha mātāmua e rauti hia nei e Sébastien Vignals, tē ‘ite hia nei te mau huru fāito huru rau. Nō Vētahi, ‘ua ra’e hia i te maha matahiti o te ha’api’i noa ra’a i te ha’uti. Hō’ē ā te huru o te piha a arata’i hia nei e Simon Pillard. Tai’o hia, e piti ‘ahuru mau piahī terā e fa’aha’uti hia i taua pō ra. E ha’uti mai rātou i te tahi ‘upa i pāpa’i hia e te ta’ata tu’i ro’o ra o Vivaldi. E ōti ana’e, e ho’i mai rātou i te tau ‘āpī, ma te ha’uti mai i te mau hīmene peretāne, mai te « Bitter sweet symphony » i fa’aro’o hia na na roto i teie pūpū hīmene Britpop the verve. ‘Ua mātara teie hīmene i te matahiti 1997 ra.
Ta’a i te reira, e ‘āmui ato’a mai te tahi mau tamari’i nō te mau piha ono ‘e pae o te fare ha’api’ira’a tuarua nō Tīpaeru’i, o te pi’i noa hia na CHAM (te aura’a, e tārena ta’a ‘ē tā teie mau tamari’i. Mea fa’ata’a hia te tahi mau hora nō te ha’utira’a ‘upa’upa huru rau). ‘Ahuru ma piti rātou e haere mai. E rāve’a teie nō te fa’ahanahana i te roara’a tau i tauto’o noa ai teie mau piahī i roto i teie tuha’a ‘ohipa.
Mea rave ‘āmui hia teie fa’anahora’a faufa’a mau ‘e te piha fa’aterera’a o te Fare Tauhiti Nui. I teie ihoa ra 23 nō ‘ēperera e piri mai ra, hau i te hō’ē hānere mau piahī terā fāito ha’api’i hururau e fa’a’ite mai i tō rātou aravihī. Mea ho’o hia a’e na hia te mau tīteti parahira’a 500 tara (1 500 farāne) i te Fare Tauhiti Nui. Mai te peu ‘aita e tō ‘outou taime nō t haere e ti’i i teienei, e ho’o ato’a hia teie mau tīteti i taua pō ra, i tō vāhi noa ea. Nō te mau ha’amaramarama hau roa atu, a tāniuniu atu i te Fare ‘Upa Rau, i te 50 14 18.
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