Tahiti, le 13 mai 2025 – Il fallait s'y attendre. Le tribunal administratif a tranché. L'État n'aura pas à rembourser une ingénieure de l'aviation civile qui lui demandait de prendre en charge une partie de son billet d'avion acheté en classe business pour une mission de quelques jours en métropole.
Il fallait oser. Et ça n'a pas marché. Une ingénieure de contrôle de l'aviation civile en poste en Polynésie s'était envolée pour une mission de cinq jours en métropole. Jusque là tout va bien. Sauf qu'elle est partie en classe business et présentait une facture pour le moins salée : 594 381 francs de différence avec le tarif “le moins onéreux”. Dépense qu'elle espérait se voir rembourser par l'État. Sauf que les arrêtés sont formels : les agents de l'État voyagent en classe économique. Le haut-commissariat a donc refusé de payer cette différence entre le billet en classe éco et en business. Et le tribunal administratif lui a donné raison en rejetant la demande de la requérante.
Il fallait oser. Et ça n'a pas marché. Une ingénieure de contrôle de l'aviation civile en poste en Polynésie s'était envolée pour une mission de cinq jours en métropole. Jusque là tout va bien. Sauf qu'elle est partie en classe business et présentait une facture pour le moins salée : 594 381 francs de différence avec le tarif “le moins onéreux”. Dépense qu'elle espérait se voir rembourser par l'État. Sauf que les arrêtés sont formels : les agents de l'État voyagent en classe économique. Le haut-commissariat a donc refusé de payer cette différence entre le billet en classe éco et en business. Et le tribunal administratif lui a donné raison en rejetant la demande de la requérante.