WELLINGTON, 23 octobre (Flash d'Océanie) – La petite commune rurale de Waiau, dans l’île du Sud de la Nouvelle-Zélande, a déclaré mercredi avoir renoncé à tenir son traditionnel concours annuel de « lancer de lapins », à la suite de vives protestations émanant de la société nationale protectrice des animaux.
Cette manifestation, qui était devenue une marque de fabrique dans cette petite localité, intervenait les années précédentes dans le cadre d’une foire agricole dédiée au porc, assortie d’une « chasse au cochon ».
Bien que cet événement soit toujours prévu pour avoir lieu ce week-end, dans cette petite commune rurale de quelque quatre cent âmes, le volet « lancer de lapins » a, par contre, été annulé.
Il s’agissait, les années précédentes, d’un concours plus particulièrement destiné aux enfants, et qui récompensait celui qui lance le plus loin un lapin mort.
« Est-ce qu’il vous viendrait à l’idée de jeter en l’air votre grand-mère morte, juste pour rire ? Et votre chien ? Vous ne le lancez pas en l’air une fois qu’il est mort », a lancé, indigné, Charles Cadwallader, inspecteur à la société protectrice des animaux de Nouvelle-Zélande.
Jo Moriarty, organisateur local de l’événement, a pour sa part dénoncé ce qu’il appelle « le politiquement correct devenu fou ».
« Dans notre communauté, nos enfants eux, aussi, adorent leurs animaux », a-t-il plaidé tout en annonçant, à regret sa décision.
pad
Cette manifestation, qui était devenue une marque de fabrique dans cette petite localité, intervenait les années précédentes dans le cadre d’une foire agricole dédiée au porc, assortie d’une « chasse au cochon ».
Bien que cet événement soit toujours prévu pour avoir lieu ce week-end, dans cette petite commune rurale de quelque quatre cent âmes, le volet « lancer de lapins » a, par contre, été annulé.
Il s’agissait, les années précédentes, d’un concours plus particulièrement destiné aux enfants, et qui récompensait celui qui lance le plus loin un lapin mort.
« Est-ce qu’il vous viendrait à l’idée de jeter en l’air votre grand-mère morte, juste pour rire ? Et votre chien ? Vous ne le lancez pas en l’air une fois qu’il est mort », a lancé, indigné, Charles Cadwallader, inspecteur à la société protectrice des animaux de Nouvelle-Zélande.
Jo Moriarty, organisateur local de l’événement, a pour sa part dénoncé ce qu’il appelle « le politiquement correct devenu fou ».
« Dans notre communauté, nos enfants eux, aussi, adorent leurs animaux », a-t-il plaidé tout en annonçant, à regret sa décision.
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