Ludovic MARIN / AFP
Paris, France | AFP | mercredi 26/03/2025 - L'image du Premier ministre François Bayrou se dégrade depuis sa nomination à Matignon mi-décembre, même si 55% des Français sont opposés à ce qu'il soit censuré, selon un sondage Elabe pour BFMTV publié mercredi.
Quelque 55% des personnes interrogées répondent "non" à la question de savoir si "personnellement", elles souhaitent que "dans les prochaines semaines une motion de censure soit adoptée" contre le gouvernement de François Bayrou.
Fin janvier, elles étaient 58% à le penser, et à la mi-janvier 62%. A l'inverse, 44% des personnes interrogées répondent "oui" à la même question.
Pourtant l'image du chef du gouvernement se dégrade.
La moitié des Français (50%) jugent son action "décevante", contre 12% qui la qualifient de "satisfaisante", et 37% qui pensent qu'il est "encore trop tôt pour se prononcer".
Ils sont aussi très majoritaires à ne pas lui faire "confiance" pour lutter contre la bureaucratie et simplifier les normes (71%), améliorer l'école (72%), le système de santé (75%) ou réduire la dette (79%).
Quelque 53% des Français pensent qu'il a "eu tort" d'annoncer qu’il n'y aurait pas de retour, à l'issue des concertations sur les retraites, à un âge de départ à 62 ans, contre 46% qui pensent qu'il a eu "raison".
Les Français sont 53% (+9 points) à penser que François Bayrou les "inquiète", 41% (-13 points) le trouvent "capable de faire des compromis" avec les différentes formations politiques, 40% le considèrent "arrogant" (+5 points), 38% "sympathique" (-14 points), 35% "courageux" (-12 points), 32% "compétent" (-15 points), 31% "à l'écoute" (-17 points). Seuls 20% le pensent "capable de réformer le pays" (-13 points).
Mais paradoxalement, 58% des Français attendent de François Bayrou et de son gouvernement qu'ils "rassemblent les Français et apaisent la société, même si cela signifie reporter à plus tard certaines mesures" et 40% qu'ils "réforment le pays en profondeur, même si cela divise les Français".
Sondage réalisé par internet mardi et mercredi, selon la méthode des quotas auprès d'un échantillon de 1.004 personnes, représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus. Marge d'erreur comprise entre 1,4 et 3,1 points.
Quelque 55% des personnes interrogées répondent "non" à la question de savoir si "personnellement", elles souhaitent que "dans les prochaines semaines une motion de censure soit adoptée" contre le gouvernement de François Bayrou.
Fin janvier, elles étaient 58% à le penser, et à la mi-janvier 62%. A l'inverse, 44% des personnes interrogées répondent "oui" à la même question.
Pourtant l'image du chef du gouvernement se dégrade.
La moitié des Français (50%) jugent son action "décevante", contre 12% qui la qualifient de "satisfaisante", et 37% qui pensent qu'il est "encore trop tôt pour se prononcer".
Ils sont aussi très majoritaires à ne pas lui faire "confiance" pour lutter contre la bureaucratie et simplifier les normes (71%), améliorer l'école (72%), le système de santé (75%) ou réduire la dette (79%).
Quelque 53% des Français pensent qu'il a "eu tort" d'annoncer qu’il n'y aurait pas de retour, à l'issue des concertations sur les retraites, à un âge de départ à 62 ans, contre 46% qui pensent qu'il a eu "raison".
Les Français sont 53% (+9 points) à penser que François Bayrou les "inquiète", 41% (-13 points) le trouvent "capable de faire des compromis" avec les différentes formations politiques, 40% le considèrent "arrogant" (+5 points), 38% "sympathique" (-14 points), 35% "courageux" (-12 points), 32% "compétent" (-15 points), 31% "à l'écoute" (-17 points). Seuls 20% le pensent "capable de réformer le pays" (-13 points).
Mais paradoxalement, 58% des Français attendent de François Bayrou et de son gouvernement qu'ils "rassemblent les Français et apaisent la société, même si cela signifie reporter à plus tard certaines mesures" et 40% qu'ils "réforment le pays en profondeur, même si cela divise les Français".
Sondage réalisé par internet mardi et mercredi, selon la méthode des quotas auprès d'un échantillon de 1.004 personnes, représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus. Marge d'erreur comprise entre 1,4 et 3,1 points.
