Le Président du Conseil d'administration de l'OPT, Moana Tatarata, et le Vice-Président du gouvernement en charge de la communication du Pays, Antony Géros étaient réunis ce lundi matin pour rendre public le résultat d'exploitation de l'OPT
Ils ont également annoncé que des modifications de fond pourraient concerner dès 2012 les statuts de l'Office des Postes et télécommunications ( OPT).
L'OPT et ses filiales ( TIKIPHONE, TNS, MANA, ISS) doivent faire face aujourd'hui à de nombreuses évolutions technologiques et réglementaires et leur statut actuel d'EPIC (Etablissement Public industriel et Commercial) nécessite d'être révisé afin de pouvoir s'adapter au nouvel environnement concurrentiel que connaît le marché local.
En effet si l'OPT a bénéficié pendant longtemps d'une situation de quasi monopole, elle doit faire face depuis quelques années à l'arrivée de la concurrence.
Malgré un chiffre d'affaire de plus de 31.4 Milliard le groupe annonce une situation fragile et prévoit de faire des économies. Ce sont les produits de base de l'entreprise qui sont particulièrement déficitaires à savoir la téléphonie fixe et le service courrier, sérieusement concurrencés par l'Internet ( E-mail et skype). C'est donc à ses filiales que le groupe doit son équilibre financier ainsi qu'a son activité financière.
Outre des économies au niveau des ressources humaines, le directoire prévoit une gestion plus stricte des projets d'investissement et l'augmentation de certains services comme les services financiers et les services postaux.
L'OPT prévoit également des investissements auto-financés à hauteur de 3.2 Milliards de Francs pour 2012.
C'est donc une réforme de taille que s'apprête à vivre l'organisme et ces orientations stratégiques devront être débattues lors du prochain conseil d'administration qui se tiendra le 5 janvier 2012. Parmi elles le projet d'une restructuration des filiales ainsi qu'un changement de statut de l'entreprise mère OPT, qui pourrait mener vers une privatisation.
Ils ont également annoncé que des modifications de fond pourraient concerner dès 2012 les statuts de l'Office des Postes et télécommunications ( OPT).
L'OPT et ses filiales ( TIKIPHONE, TNS, MANA, ISS) doivent faire face aujourd'hui à de nombreuses évolutions technologiques et réglementaires et leur statut actuel d'EPIC (Etablissement Public industriel et Commercial) nécessite d'être révisé afin de pouvoir s'adapter au nouvel environnement concurrentiel que connaît le marché local.
En effet si l'OPT a bénéficié pendant longtemps d'une situation de quasi monopole, elle doit faire face depuis quelques années à l'arrivée de la concurrence.
Malgré un chiffre d'affaire de plus de 31.4 Milliard le groupe annonce une situation fragile et prévoit de faire des économies. Ce sont les produits de base de l'entreprise qui sont particulièrement déficitaires à savoir la téléphonie fixe et le service courrier, sérieusement concurrencés par l'Internet ( E-mail et skype). C'est donc à ses filiales que le groupe doit son équilibre financier ainsi qu'a son activité financière.
Outre des économies au niveau des ressources humaines, le directoire prévoit une gestion plus stricte des projets d'investissement et l'augmentation de certains services comme les services financiers et les services postaux.
L'OPT prévoit également des investissements auto-financés à hauteur de 3.2 Milliards de Francs pour 2012.
C'est donc une réforme de taille que s'apprête à vivre l'organisme et ces orientations stratégiques devront être débattues lors du prochain conseil d'administration qui se tiendra le 5 janvier 2012. Parmi elles le projet d'une restructuration des filiales ainsi qu'un changement de statut de l'entreprise mère OPT, qui pourrait mener vers une privatisation.
