Samedi 23 mars 2013. Les pratiquants de karaté s’étaient donnés rendez-vous à la salle omnisport de Arue pour la 2ème journée de championnat. Pas moins de 13 catégories se sont affrontées, partant des poussins nés en 2005 jusqu’au séniors nés en 1994 et +.
Dans cet art martial les coups de pied et de poing sont portés. Le combat est donc rude et spectaculaire, impressionnant également chez les petits qui eux portent des protections. Les larmes sont parfois de la partie.
En sénior garçons 1994 et + c’est Anapa Otcenacek qui s’octroie la première place. En junior c’est Killian Laugrost, pourtant 2ème à l’issue de la première journée, qui monte sur la première marche du podium alors qu’en cadet c’est Heimana Tearo qui gagne.
Eric Guilloux responsable du haut niveau au micro de Tahiti Infos :
« Malgré quelques défections, on a regroupé une cinquantaine de compétiteurs pour cette journée qui conclut le championnat de Polynésie. On a une délégation qui s’envole pour l’open de karaté en Nouvelle Zélande dans trois semaines, ensuite on a une participation aux championnats de France junior pour Laurie Guilloux. »
« Pour nous, mettre même les tout petits à l’épreuve présente l’avantage de les former en vue des échéances sportives futures, les Océanias ou les jeux du Pacifique. La meilleure formation c’est le terrain et la compétition dès le plus jeune âge ».
« Dans le karaté il y a la notion de contrôle qui est très importante. Ils sont protégés avec casques et plastrons, ensuite chez les minimes, cadets, juniors et séniors, il n’y a plus de protections donc les gars attaquent ‘plein pot’ et il faut qu’il y ait un contrôle maximum surtout au niveau du visage. Ces techniques apprises dès le plus jeune âge favorisent le contrôle et la maîtrise de soi qui représentent l’essence du karaté.»
Anapa Otcenacek vainqueur en sénior au micro de Tahiti Infos :
« Comme pour la première journée j’ai gagné assez facilement contre mes deux adversaires. J’ai commencé à pratiquer en 2003, j’ai arrêté 5 ans et là je viens de reprendre pour essayer de partir un peu à l’extérieur, c’est ça qui me motive. »
« Ce qui me plaît c’est la compétition, l’adrénaline pendant le combat. On se prépare pour l’open de Christchurch qui se passe en avril. »
SB
Dans cet art martial les coups de pied et de poing sont portés. Le combat est donc rude et spectaculaire, impressionnant également chez les petits qui eux portent des protections. Les larmes sont parfois de la partie.
En sénior garçons 1994 et + c’est Anapa Otcenacek qui s’octroie la première place. En junior c’est Killian Laugrost, pourtant 2ème à l’issue de la première journée, qui monte sur la première marche du podium alors qu’en cadet c’est Heimana Tearo qui gagne.
Eric Guilloux responsable du haut niveau au micro de Tahiti Infos :
« Malgré quelques défections, on a regroupé une cinquantaine de compétiteurs pour cette journée qui conclut le championnat de Polynésie. On a une délégation qui s’envole pour l’open de karaté en Nouvelle Zélande dans trois semaines, ensuite on a une participation aux championnats de France junior pour Laurie Guilloux. »
« Pour nous, mettre même les tout petits à l’épreuve présente l’avantage de les former en vue des échéances sportives futures, les Océanias ou les jeux du Pacifique. La meilleure formation c’est le terrain et la compétition dès le plus jeune âge ».
« Dans le karaté il y a la notion de contrôle qui est très importante. Ils sont protégés avec casques et plastrons, ensuite chez les minimes, cadets, juniors et séniors, il n’y a plus de protections donc les gars attaquent ‘plein pot’ et il faut qu’il y ait un contrôle maximum surtout au niveau du visage. Ces techniques apprises dès le plus jeune âge favorisent le contrôle et la maîtrise de soi qui représentent l’essence du karaté.»
Anapa Otcenacek vainqueur en sénior au micro de Tahiti Infos :
« Comme pour la première journée j’ai gagné assez facilement contre mes deux adversaires. J’ai commencé à pratiquer en 2003, j’ai arrêté 5 ans et là je viens de reprendre pour essayer de partir un peu à l’extérieur, c’est ça qui me motive. »
« Ce qui me plaît c’est la compétition, l’adrénaline pendant le combat. On se prépare pour l’open de Christchurch qui se passe en avril. »
SB
