WELLINGTON, mardi 17 juillet – Les services néo-zélandais de secours sont parvenus mardi à sauver les quelque 28 mineurs sur le site de Trio (Waihi, Sud-est d’Auckland, île du Nord, Nord-ouest de Tauranga), dont une bonne quinzaine s’était trouvée pris au piège par un incendie aux aurores, aux alentours de cinq heures du matin (locales, GMT+12).
Dans un premier temps, 13 des employés souterrains sont rapidement parvenus à atteindre la sortie et à remonter à la surface.
Les quinze autres avaient été réduits à se réfugier dans trois chambres-refuges, situées à l’intérieur de la mine et équipées de masque à oxygène.
Selon le groupe Newmont, qui exploite le site de la mine de Waihi, les 28 mineurs qui se trouvaient en-dessous au moment de l’incendie ont tous été localisés et sont remontés à la surface pour les derniers, en fin de matinée.
En Nouvelle-Zélande, sur l’île du Sud, les esprits sont toujours fortement marqués par une autre tragédie minière survenue en novembre 2010 dans la mine de charbon de Pike River.
Cet accident avait fait 29 victimes à la suite d’une explosion souterraine.
Craignant le risque de nouvelles explosions, les secours avaient décidé d’abandonner les efforts en vue de remonter les corps, qui sont toujours sur site.
Dans un premier temps, 13 des employés souterrains sont rapidement parvenus à atteindre la sortie et à remonter à la surface.
Les quinze autres avaient été réduits à se réfugier dans trois chambres-refuges, situées à l’intérieur de la mine et équipées de masque à oxygène.
Selon le groupe Newmont, qui exploite le site de la mine de Waihi, les 28 mineurs qui se trouvaient en-dessous au moment de l’incendie ont tous été localisés et sont remontés à la surface pour les derniers, en fin de matinée.
En Nouvelle-Zélande, sur l’île du Sud, les esprits sont toujours fortement marqués par une autre tragédie minière survenue en novembre 2010 dans la mine de charbon de Pike River.
Cet accident avait fait 29 victimes à la suite d’une explosion souterraine.
Craignant le risque de nouvelles explosions, les secours avaient décidé d’abandonner les efforts en vue de remonter les corps, qui sont toujours sur site.
