La maison a disparu dans les flammes en 20 minutes
PAPEETE, le 26 mai 2014 – Une maison inhabitée du quartier Orovini à Papeete, servitude Willierm, a brûlé ce lundi après-midi peu avant 15h. On ne sait pas encore ce qui a causé l’incendie, les pompiers de Papeete se contentant pour l’instant de rappeler les faits : « nous avons reçu un appel à 14h39, et nous sommes partis à 14h40. Nous n’étions pas certains d’où c’était, et nous sommes d’abord arriver en bas avant de trouver. Le problème a été de trouver un point d’eau, mais nous avions nos camions. »
Si l’origine du sinistre n’est pas encore identifiée, la maison était connue pour être un repaire de certains jeunes des lycées alentours, qui allaient y fumer en cachette à la pause de midi ou entre les cours. Les propriétaires Poe et Heimata les soupçonnent de ne pas être étrangers à l’incendie : « Ils viennent fumer là, et puis voilà. Nous on les chasse, la DSP les a déjà chassés, mais ils reviennent. Ils s’étaient même créé un petit chemin pour ne pas passer par la route et ne pas être vus, qui partait du parking de Te Fenua. »
Les propriétaires expliquent que ce bungalow construit en bois rouge (du miro) était en attente de réparations depuis une dizaine d’année, la famille attendant d’avoir assez d’argent pour financer les travaux et restaurer cet héritage familial. Il faudra désormais tout reconstruire. « Heureusement qu’aucune autre habitation n’a été touchée » s’exclament-elles, à moitié soulagées.
Un des premiers témoins de la scène a aussi vu un adulte inconnu du quartier s’éloigner tranquillement de la maison en flammes, sans que l’on puisse savoir si ce n’était qu’un passant ou s’il était impliqué. Poeiti raconte avoir d‘abord vu « une épaisse fumée noire qui sortait de l’arrière de la maison. J’ai cru que les jeunes avaient juste fait un feu, et puis les flammes sont apparues, qui montait plus haut que le toit. »
L’incendie aura emporté la maison en entier en 20 minutes, sans qu’aucune victime ne soit à déplorer.
Si l’origine du sinistre n’est pas encore identifiée, la maison était connue pour être un repaire de certains jeunes des lycées alentours, qui allaient y fumer en cachette à la pause de midi ou entre les cours. Les propriétaires Poe et Heimata les soupçonnent de ne pas être étrangers à l’incendie : « Ils viennent fumer là, et puis voilà. Nous on les chasse, la DSP les a déjà chassés, mais ils reviennent. Ils s’étaient même créé un petit chemin pour ne pas passer par la route et ne pas être vus, qui partait du parking de Te Fenua. »
Les propriétaires expliquent que ce bungalow construit en bois rouge (du miro) était en attente de réparations depuis une dizaine d’année, la famille attendant d’avoir assez d’argent pour financer les travaux et restaurer cet héritage familial. Il faudra désormais tout reconstruire. « Heureusement qu’aucune autre habitation n’a été touchée » s’exclament-elles, à moitié soulagées.
Un des premiers témoins de la scène a aussi vu un adulte inconnu du quartier s’éloigner tranquillement de la maison en flammes, sans que l’on puisse savoir si ce n’était qu’un passant ou s’il était impliqué. Poeiti raconte avoir d‘abord vu « une épaisse fumée noire qui sortait de l’arrière de la maison. J’ai cru que les jeunes avaient juste fait un feu, et puis les flammes sont apparues, qui montait plus haut que le toit. »
L’incendie aura emporté la maison en entier en 20 minutes, sans qu’aucune victime ne soit à déplorer.
La police démarre son enquête
