PORT-MORESBY, vendredi 12 octobre 2012 (Flash d’Océanie) – Le gouvernement papou étudie actuellement le lancement d’un projet pilote concernant l’utilisation d’implants contraceptifs de longue durée pour les femmes de plusieurs provinces de cet archipel, rapporte la radio nationale.
L’initiative est venue d’une organisation non-gouvernementale travaillant en Papouasie-Nouvelle-Guinée, Marie Stopes, qui a commencé un essai à petite échelle de cet implant baptisé « Sino », deux petites tiges qui se placent place sous la peau du bras pour une diffusion de longue durée (jusqu’à quatre ans).
En cas de désir de grossesse, l’implant peut être retiré et cesser quasi-immédiatement son effet contraceptif, précise l’ONG, qui insiste néanmoins sur la nécessité de protection par préservatifs pendant les rapports, pour des raisons prophylactiques.
Face à ce qui semble être un premier succès, le ministère papou de la santé a annoncé son intention de poursuivre et d’étendre, dans quelques mois, cette expérience, mais cette fois-ci à l’échelle nationale.
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L’initiative est venue d’une organisation non-gouvernementale travaillant en Papouasie-Nouvelle-Guinée, Marie Stopes, qui a commencé un essai à petite échelle de cet implant baptisé « Sino », deux petites tiges qui se placent place sous la peau du bras pour une diffusion de longue durée (jusqu’à quatre ans).
En cas de désir de grossesse, l’implant peut être retiré et cesser quasi-immédiatement son effet contraceptif, précise l’ONG, qui insiste néanmoins sur la nécessité de protection par préservatifs pendant les rapports, pour des raisons prophylactiques.
Face à ce qui semble être un premier succès, le ministère papou de la santé a annoncé son intention de poursuivre et d’étendre, dans quelques mois, cette expérience, mais cette fois-ci à l’échelle nationale.
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