PORT-MORESBY, lundi 22 avril 2013 (Flash d’Océanie) – Un tribunal de la ville d’Enga (district de Porgera, Papouasie-Nouvelle-Guinée) a reconnu coupable un jeune homme de 21 ans et l’a ensuite condamné )à une peine de trente ans de prison pour le meurtre de sa tante, que le coupable avait tuée sous prétexte de sorcellerie.
En rendant son jugement au terme de deux jours d’audiences, le juge Mekeo Gauli, qui entendait l’affaire, a qualifié les actes du condamné, Saku Uki Aiya, d’ « insensés, barbares et brutaux », rapporte lundi le quotidien The National.
Les faits remontent au 26 juin 2010, aux aurores, lorsque Saku Uki Aiya, accompagné de deux autres hommes, persuadés que la tante du coupable était responsable de la mort de son frère, ont décidé de monter une expédition punitive au domicile de la tante, dans le petit village de Tombena.
Ils ont ensuite tué la tante à coup de sabres d’abattis.
Toujours en Papouasie-Nouvelle-Guinée, mais sur l’île de Bougainville, la police locale a affirmé lundi être parvenue à obtenir la libération de trois femmes qui étaient retenues en otages dans le Sud de l’île, là où elles avaient été capturées deux semaines auparavant par un groupe d’hommes armés, qui les accusaient de sorcellerie.
À l’origine, quatre femmes étaient retenues en otages : Helen Rumbali, sa sœur Nikono et les deux filles de cette dernière.
Helen Rumbali, institutrice et engagées dans la cause des droits humains, a été décapitée.
En rendant son jugement au terme de deux jours d’audiences, le juge Mekeo Gauli, qui entendait l’affaire, a qualifié les actes du condamné, Saku Uki Aiya, d’ « insensés, barbares et brutaux », rapporte lundi le quotidien The National.
Les faits remontent au 26 juin 2010, aux aurores, lorsque Saku Uki Aiya, accompagné de deux autres hommes, persuadés que la tante du coupable était responsable de la mort de son frère, ont décidé de monter une expédition punitive au domicile de la tante, dans le petit village de Tombena.
Ils ont ensuite tué la tante à coup de sabres d’abattis.
Toujours en Papouasie-Nouvelle-Guinée, mais sur l’île de Bougainville, la police locale a affirmé lundi être parvenue à obtenir la libération de trois femmes qui étaient retenues en otages dans le Sud de l’île, là où elles avaient été capturées deux semaines auparavant par un groupe d’hommes armés, qui les accusaient de sorcellerie.
À l’origine, quatre femmes étaient retenues en otages : Helen Rumbali, sa sœur Nikono et les deux filles de cette dernière.
Helen Rumbali, institutrice et engagées dans la cause des droits humains, a été décapitée.
