PAPEETE, le 20/01/2017 - Le ministre en charge de la Pêche, Tearii Alpha, a rencontré, jeudi après-midi, les représentants de l’Organisme d’Evaluation de la Conformité (OEC) ME Certification Limited, actuellement en mission, à Tahiti, du 16 au 20 janvier.
Ce cabinet d’audit a été choisi comme maître d’ouvrage du projet d’éco-certification de la pêcherie palangrière polynésienne, afin d’auditer et de constituer le dossier de certification Marine Stewardship Council (MSC) pour la Polynésie française.
Ce projet a été initié par le Pays, en 2009, afin de répondre à une demande croissante de produits certifiés durables dans le secteur des produits de la pêche. Cette certification permettra principalement la pérennisation de l’exploitation des ressources marines polynésiennes à long terme, la préservation de l’environnement, ainsi que la valorisation des produits de la pêche, notamment sur les marchés à l’export.
Afin de répondre à cette nécessité, le choix de l’écolabel s’est porté sur la certification MSC qui, parmi tous les écolabels disponibles sur le marché, répond le mieux aux exigences de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO). L’évaluation complète se fera pour le thon germon (Thunnus alalunga) et le thon à nageoires jaunes (Thunnus albacares) qui représentent à elles seules 90% des exportations locales de la filière pêche palangrière polynésienne. Une fois cet audit réalisé, l’OEC aura jusqu’à mars 2018, au plus tard, pour remettre son rapport final et décider si la pêcherie palangrière au thon polynésienne est qualifiée pour obtenir son écolabel.
Ce cabinet d’audit a été choisi comme maître d’ouvrage du projet d’éco-certification de la pêcherie palangrière polynésienne, afin d’auditer et de constituer le dossier de certification Marine Stewardship Council (MSC) pour la Polynésie française.
Ce projet a été initié par le Pays, en 2009, afin de répondre à une demande croissante de produits certifiés durables dans le secteur des produits de la pêche. Cette certification permettra principalement la pérennisation de l’exploitation des ressources marines polynésiennes à long terme, la préservation de l’environnement, ainsi que la valorisation des produits de la pêche, notamment sur les marchés à l’export.
Afin de répondre à cette nécessité, le choix de l’écolabel s’est porté sur la certification MSC qui, parmi tous les écolabels disponibles sur le marché, répond le mieux aux exigences de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO). L’évaluation complète se fera pour le thon germon (Thunnus alalunga) et le thon à nageoires jaunes (Thunnus albacares) qui représentent à elles seules 90% des exportations locales de la filière pêche palangrière polynésienne. Une fois cet audit réalisé, l’OEC aura jusqu’à mars 2018, au plus tard, pour remettre son rapport final et décider si la pêcherie palangrière au thon polynésienne est qualifiée pour obtenir son écolabel.