Le député Edouard Fritch est allé jeudi soir à la rencontre des étudiants polynésiens de Paris en compagnie de Michel Leboucher, ministre de l’Education et Gérald Huiotu, délégué par intérim.
Au cours de cette réunion, les étudiants ont bien sûr fait part des difficultés qu’ils rencontrent dans la vie quotidienne en métropole.
Mais la préoccupation essentielle de ses étudiants est, à terme, de pouvoir rentrer au fenua pour y exercer le métier pour lequel ils se sont formés. Ce qui apparaît de plus en plus difficile et qui fait que beaucoup de nos jeunes choisissent de travailler en métropole.
Sur ce point, le ministre de l’Education, comme ses prédécesseurs, a souligné la difficulté de suivre les étudiants une fois qu’ils ont quitté la Polynésie pour se former à l’extérieur et a estimé qu’il fallait mettre en place un partenariat entre le Pays et les associations d’étudiants polynésiens en France afin de pouvoir recenser de manière plus précise les cursus suivis et les opportunités d’adéquation avec le marché du travail Polynésien.
De son côté, Edouard Fritch a souligné qu’on « a perdu beaucoup de temps avec ces histoires d’adéquation entre les formations et les besoins du Pays. Et on n’a toujours pas réussi à recenser les enfants qui font leurs études en dehors du Pays. Je comprends vos inquiétudes, surtout si l’on rajoute à cela le manque de visibilité puisque depuis un certain temps on est incapable de déterminer les filières ».
Mais le député s’est montré optimiste : « il faut qu’on ait des projets ». Et c’est le rôle qui est assigné au nouveau gouvernement, qui doit en premier lieu redresser la situation du Pays. En ce sens, Edouard Fritch a rappelé la situation actuelle et les efforts qui sont demandés aux Polynésiens. Mais pour lui, c’est à ce prix que nous réussirons pour que nos étudiants puissent trouver leur place dans la société Polynésienne.
Un discours partagé par les étudiants qui, dans un même optimisme, ont souhaité pouvoir apporter leurs réflexions pour la reconstruction et l’avenir de la Polynésie.
Au cours de cette réunion, les étudiants ont bien sûr fait part des difficultés qu’ils rencontrent dans la vie quotidienne en métropole.
Mais la préoccupation essentielle de ses étudiants est, à terme, de pouvoir rentrer au fenua pour y exercer le métier pour lequel ils se sont formés. Ce qui apparaît de plus en plus difficile et qui fait que beaucoup de nos jeunes choisissent de travailler en métropole.
Sur ce point, le ministre de l’Education, comme ses prédécesseurs, a souligné la difficulté de suivre les étudiants une fois qu’ils ont quitté la Polynésie pour se former à l’extérieur et a estimé qu’il fallait mettre en place un partenariat entre le Pays et les associations d’étudiants polynésiens en France afin de pouvoir recenser de manière plus précise les cursus suivis et les opportunités d’adéquation avec le marché du travail Polynésien.
De son côté, Edouard Fritch a souligné qu’on « a perdu beaucoup de temps avec ces histoires d’adéquation entre les formations et les besoins du Pays. Et on n’a toujours pas réussi à recenser les enfants qui font leurs études en dehors du Pays. Je comprends vos inquiétudes, surtout si l’on rajoute à cela le manque de visibilité puisque depuis un certain temps on est incapable de déterminer les filières ».
Mais le député s’est montré optimiste : « il faut qu’on ait des projets ». Et c’est le rôle qui est assigné au nouveau gouvernement, qui doit en premier lieu redresser la situation du Pays. En ce sens, Edouard Fritch a rappelé la situation actuelle et les efforts qui sont demandés aux Polynésiens. Mais pour lui, c’est à ce prix que nous réussirons pour que nos étudiants puissent trouver leur place dans la société Polynésienne.
Un discours partagé par les étudiants qui, dans un même optimisme, ont souhaité pouvoir apporter leurs réflexions pour la reconstruction et l’avenir de la Polynésie.
