PAPEETE, le 27 décembre 2014. Edouard Fritch, le président du Pays, a déclaré vendredi que le retour de la participation de l'Etat au régime de solidarité territorial (RST) n'était pas "une surprise".
Edouard Fritch a précisé hier lors d'une conférence de presse avoir eu la confirmation de l'engagement de l'Etat, mercredi. Le jour même où Gaston Flosse écrivait sur le site du parti orange : "En ce qui concerne le RST, je suis aujourd'hui persuadé que l’État ne versera aucune subvention ; tout au plus prendra-t-il quelques mesurettes pour limiter les dépenses du RST, mais c'est tout."
Début décembre, ce sont les deux sénateurs orange qui avaient déploré que rien ne soit prévu pour le financement du Régime de solidarité territorial (RST) dans le projet de budget 2015. "Nos nouveaux sénateurs apprendront à travailler avec le gouvernement central et comprendront vraisemblablement mieux cette nouvelle relation que nous avons avec l’État", leur a adressé le maire de Pirae. "C'est une relation de confiance et de collaboration."
Edouard Fritch était donc satisfait vendredi de souligner que "l'Etat tient sa parole et ses engagements". "Nous accueillons cela avec beaucoup de satisfaction et nous disons que nous avons raison de faire confiance au gouvernement central".
"Il y a une vraie confiance et une vraie reconnaissance du sérieux du travail qui est aujourd'hui réalisé par la majorité Tahoeraa Huiraatira", a insisté le président du Pays.
Edouard Fritch a précisé hier lors d'une conférence de presse avoir eu la confirmation de l'engagement de l'Etat, mercredi. Le jour même où Gaston Flosse écrivait sur le site du parti orange : "En ce qui concerne le RST, je suis aujourd'hui persuadé que l’État ne versera aucune subvention ; tout au plus prendra-t-il quelques mesurettes pour limiter les dépenses du RST, mais c'est tout."
Début décembre, ce sont les deux sénateurs orange qui avaient déploré que rien ne soit prévu pour le financement du Régime de solidarité territorial (RST) dans le projet de budget 2015. "Nos nouveaux sénateurs apprendront à travailler avec le gouvernement central et comprendront vraisemblablement mieux cette nouvelle relation que nous avons avec l’État", leur a adressé le maire de Pirae. "C'est une relation de confiance et de collaboration."
Edouard Fritch était donc satisfait vendredi de souligner que "l'Etat tient sa parole et ses engagements". "Nous accueillons cela avec beaucoup de satisfaction et nous disons que nous avons raison de faire confiance au gouvernement central".
"Il y a une vraie confiance et une vraie reconnaissance du sérieux du travail qui est aujourd'hui réalisé par la majorité Tahoeraa Huiraatira", a insisté le président du Pays.
