Hao, le 17 juillet 2021 – Vendredi soir deux concours étaient organisés pour animer le Heiva, celui du ute arearea et celui de danse moderne pour les enfants. A chacun d'eux un seul groupe s'est présenté, mais heureusement les artisans ont comblé ce vide.
Force est de constater que plusieurs concours organisés lors des soirées du Heiva de Hao ont du mal à recueillir l'adhésion des candidats. Ceux de vendredi n'ont pas échappé à cette fatalité. Il s'agissait en ouverture de ces fameux ute arearea, chants humoristiques basés sur la vie quotidienne. Et bien que ce concours ait été annoncé il y a deux semaines pour les catégories enfants et adultes, seul un groupe d'adultes composé par Roata, Manutahi, Anna et Germain est venu pousser la chansonnette pour le plus grand plaisir du public.
Pour le concours de danse moderne qui s'adressait aux enfants, là encore un seul groupe est venu présenter sa chorégraphie. Bravo donc aux trois filles et trois garçons qui ont donc dansé, bougé, et mis le feu à tous les côtés de la scène.
Ces deux animations n'auront occupé qu'une demi-heure de la soirée et pour combler ce vide, on a fait appel au concours d'artisanat local qui se déroule pourtant pendant la journée. Deux présentations ont eu lieu lors de cette grande soirée : Celle de la décoration de tricycles parés de toutes sortes de végétaux que l'on trouve sur l'atoll, remportée par Germain Rua ( également miss vahine-tane 2021 de Hao ) devant Nadège et Teamo Tamahaere.
S'en est suivi la présentation du concours de tableaux de ficelle, tous plus beaux les uns que les autres. Il a été difficile de déterminer une gagnante mais au bout d'un interminable suspense c'est finalement, devant Teoro Kavera et Nadège, la souriante Saïda qui gagne le premier prix. "Il m'a fallu 2 jours de travail pour terminer ce tableau. Le fond est garni de sable fin et j'ai utilisé plusieurs coloris de ficelle, on peut également insérer des photos ou des portraits dans chaque case. Un tableau comme celui là peut valoir entre 20 000 et 25 000 Fcfp." a confié la gagnante.
Cette soirée de ute arearea restera dans les annales du Heiva à coup sûr, grâce à une motivation et une bonne humeur sans faille des Paumotu de Hao.
Force est de constater que plusieurs concours organisés lors des soirées du Heiva de Hao ont du mal à recueillir l'adhésion des candidats. Ceux de vendredi n'ont pas échappé à cette fatalité. Il s'agissait en ouverture de ces fameux ute arearea, chants humoristiques basés sur la vie quotidienne. Et bien que ce concours ait été annoncé il y a deux semaines pour les catégories enfants et adultes, seul un groupe d'adultes composé par Roata, Manutahi, Anna et Germain est venu pousser la chansonnette pour le plus grand plaisir du public.
Pour le concours de danse moderne qui s'adressait aux enfants, là encore un seul groupe est venu présenter sa chorégraphie. Bravo donc aux trois filles et trois garçons qui ont donc dansé, bougé, et mis le feu à tous les côtés de la scène.
Ces deux animations n'auront occupé qu'une demi-heure de la soirée et pour combler ce vide, on a fait appel au concours d'artisanat local qui se déroule pourtant pendant la journée. Deux présentations ont eu lieu lors de cette grande soirée : Celle de la décoration de tricycles parés de toutes sortes de végétaux que l'on trouve sur l'atoll, remportée par Germain Rua ( également miss vahine-tane 2021 de Hao ) devant Nadège et Teamo Tamahaere.
S'en est suivi la présentation du concours de tableaux de ficelle, tous plus beaux les uns que les autres. Il a été difficile de déterminer une gagnante mais au bout d'un interminable suspense c'est finalement, devant Teoro Kavera et Nadège, la souriante Saïda qui gagne le premier prix. "Il m'a fallu 2 jours de travail pour terminer ce tableau. Le fond est garni de sable fin et j'ai utilisé plusieurs coloris de ficelle, on peut également insérer des photos ou des portraits dans chaque case. Un tableau comme celui là peut valoir entre 20 000 et 25 000 Fcfp." a confié la gagnante.
Cette soirée de ute arearea restera dans les annales du Heiva à coup sûr, grâce à une motivation et une bonne humeur sans faille des Paumotu de Hao.
