Teva Rohfritsch se lance dans la course des prochaines élections législatives, et ce sans l’étiquette mais avec le soutien de son parti O’Hiva. Il a souligné l’importance de cette élection, rappelant à la population que les députés seront ceux qui porteront la voix de la Polynésie française à Paris et la défendront à l’Assemblée nationale.
« C’est avant tout le choix d’une personne, capable de représenter l’ensemble des polynésiens et de se battre pour l’avenir de son Pays », a-t-il martelé. Et de reprocher aux députés et sénateurs en place « leur absence sur la scène parisienne » à des moments importants pour la Polynésie française.
Pour le jeune président de O’Hiva, ce choix d’être candidat en sa qualité propre, est justifiée par sa volonté de démontrer que cette élection n’est pas « un premier tour des territoriales de 2013 » comme le laisse penser les grands ténors de la politique locale. Selon lui il est important que la population comprenne le message et se déplace pour voter en juin prochain.
A l’occasion de cette annonce, il a tenu à clarifier sa position dans le cadre des prochaines élections présidentielles. Le parti O’Hiva va donc apporter son soutien à Nicolas Sarkozy, « le candidat de la raison et du travail ». En effet, ce dernier a osé mettre en place des réformes qui étaient nécessaires, selon Teva Rohfritsch, même s’il elles n’ont pas bien été comprises localement.
Si le bilan en Polynésie française de Nicolas Sarkozy est qualifié de mitigé, la faute en incombe également aux élus locaux qui ont pêché par leur absence et n’ont pas « pu soutenir un dialogue dépassionné, responsable et objectif avec l’Etat central et ses représentants », a souligné Teva Rohfritsch.
Le leader polynésien tient à ce que le Président candidat clarifie sa position et s’engage sur certains sujets comme la reconstruction de l’aéroport de Tahiti-Faa’a, la garantie de la pérennisation de l’indexation des fonctionnaires d’Etat, la transformation du troisième outil (ex-DGDE) en une dotation d’investissements structurants…. Un courrier allant dans ce sens a été envoyé au Président. « O’Hiva n’entend pas laisser un mandat en blanc au candidat Sarkozy, (…) et souhaite affirmer une position de soutien mais aussi se poser en force de propositions », a conclut Teva Rohfritsch.
Pour en savoir plus, téléchargez le dossier de presse ICI
« C’est avant tout le choix d’une personne, capable de représenter l’ensemble des polynésiens et de se battre pour l’avenir de son Pays », a-t-il martelé. Et de reprocher aux députés et sénateurs en place « leur absence sur la scène parisienne » à des moments importants pour la Polynésie française.
Pour le jeune président de O’Hiva, ce choix d’être candidat en sa qualité propre, est justifiée par sa volonté de démontrer que cette élection n’est pas « un premier tour des territoriales de 2013 » comme le laisse penser les grands ténors de la politique locale. Selon lui il est important que la population comprenne le message et se déplace pour voter en juin prochain.
A l’occasion de cette annonce, il a tenu à clarifier sa position dans le cadre des prochaines élections présidentielles. Le parti O’Hiva va donc apporter son soutien à Nicolas Sarkozy, « le candidat de la raison et du travail ». En effet, ce dernier a osé mettre en place des réformes qui étaient nécessaires, selon Teva Rohfritsch, même s’il elles n’ont pas bien été comprises localement.
Si le bilan en Polynésie française de Nicolas Sarkozy est qualifié de mitigé, la faute en incombe également aux élus locaux qui ont pêché par leur absence et n’ont pas « pu soutenir un dialogue dépassionné, responsable et objectif avec l’Etat central et ses représentants », a souligné Teva Rohfritsch.
Le leader polynésien tient à ce que le Président candidat clarifie sa position et s’engage sur certains sujets comme la reconstruction de l’aéroport de Tahiti-Faa’a, la garantie de la pérennisation de l’indexation des fonctionnaires d’Etat, la transformation du troisième outil (ex-DGDE) en une dotation d’investissements structurants…. Un courrier allant dans ce sens a été envoyé au Président. « O’Hiva n’entend pas laisser un mandat en blanc au candidat Sarkozy, (…) et souhaite affirmer une position de soutien mais aussi se poser en force de propositions », a conclut Teva Rohfritsch.
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