WASHINGTON, vendredi 4 octobre 2013 (Flash d’Océanie) – Un accord est intervenu jeudi entre les gouvernements américain et japonais concernant le projet de relocalisation de la grande majorité des troupes américaines positionnées sur la base d’Okinawa (Sud du Japon).
Ce projet de déménagement est en discussion depuis plusieurs années et concerne le déplacement des soldats américains et de leurs familles vers la base de Guam (Pacifique Nord), mais aussi, dans une moindre mesure, dans les plus récents positionnements américains, comme par exemple à Darwin (Nord de l’Australie).
Le territoire américain de Guam, dans ces circonstances, précise depuis plusieurs années qu’outre les avantages économiques induits par cette arrivée de personnel américain, il ne possédait pas, à moyen terme, les infrastructures nécessaires, notamment en matière éducative et sociale.
Selon les termes de cet accord, signé par les deux gouvernements, le Japon devrait contribuer aux frais associés à cet exercice à hauteur de 36 pour cent du coût total (quelque 8,6 milliards de dollars), soit 3,1 milliards de dollars, justement pour aider au financement des infrastructures à Guam, afin d’être en mesure d’accueillir environ quatre des huit mille familles déplacées.
Dans le cadre de ce même accord, une grosse partie de la seconde moitié des effectifs d’Okinawa devrait être affectée à Hawaii, a précisé le Secrétaire d’État américain John Kerry en compagnie de son homologue nippon Fumio Kishida.
L’accord, qui amende la précédente version datant de 2008, a aussi été signé en présence des ministres de la défense des deux pays, Chuck Hagel et Itsunori Onodera.
La base navale d’Okinawa rassemble actuellement la moitié des effectifs américains positionnés au Japon (47.000 soldats).
Concernant le début des opérations de déplacement, un horizon 2020 a été évoqué, dans le cadre du repositionnement géostratégique des forces américaines et un accent fort sur la région Asie-Pacifique.
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Ce projet de déménagement est en discussion depuis plusieurs années et concerne le déplacement des soldats américains et de leurs familles vers la base de Guam (Pacifique Nord), mais aussi, dans une moindre mesure, dans les plus récents positionnements américains, comme par exemple à Darwin (Nord de l’Australie).
Le territoire américain de Guam, dans ces circonstances, précise depuis plusieurs années qu’outre les avantages économiques induits par cette arrivée de personnel américain, il ne possédait pas, à moyen terme, les infrastructures nécessaires, notamment en matière éducative et sociale.
Selon les termes de cet accord, signé par les deux gouvernements, le Japon devrait contribuer aux frais associés à cet exercice à hauteur de 36 pour cent du coût total (quelque 8,6 milliards de dollars), soit 3,1 milliards de dollars, justement pour aider au financement des infrastructures à Guam, afin d’être en mesure d’accueillir environ quatre des huit mille familles déplacées.
Dans le cadre de ce même accord, une grosse partie de la seconde moitié des effectifs d’Okinawa devrait être affectée à Hawaii, a précisé le Secrétaire d’État américain John Kerry en compagnie de son homologue nippon Fumio Kishida.
L’accord, qui amende la précédente version datant de 2008, a aussi été signé en présence des ministres de la défense des deux pays, Chuck Hagel et Itsunori Onodera.
La base navale d’Okinawa rassemble actuellement la moitié des effectifs américains positionnés au Japon (47.000 soldats).
Concernant le début des opérations de déplacement, un horizon 2020 a été évoqué, dans le cadre du repositionnement géostratégique des forces américaines et un accent fort sur la région Asie-Pacifique.
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