Tahiti, le 2 juillet 2025 - Derrière les numéros, les candidats à l’élection de Mister Tahiti 2025 dévoilent leur personnalité, leurs parcours et leurs convictions.
Raphael Dubois, 23 ans, 1,83 m, candidat n°1
"Je suis originaire de Vairao. Je suis le candidat numéro 1 et je représente la couleur noire.
Ce qui m’a motivé à participer à cette élection, c’est l’envie de découvrir de nouvelles opportunités, car c'est ce qui me motive. C’est une grande première pour moi, Mister Tahiti.
Si je devais me décrire en trois mots, je dirais : un peu clown – j’aime faire rire –, déterminé – quand j’ai un objectif, j'y vais à fond – et têtu – parce que je finis toujours par faire ce que j’ai décidé, même si on me met en garde.
Dans la vie, ce que j’aime par-dessus tout, c’est passer du temps avec mes proches. Je suis passionné de sports de combat, notamment le MMA, ainsi que de sports mécaniques, de mécanique en général et de voyage. Actuellement, je suis en recherche d’emploi.
Parmi mes qualités, je dirais que je fonce sans trop me poser de questions. Mon principal défaut ? Je me lasse parfois un peu vite.
Depuis le début de cette aventure, c'est super. Mais c'est épuisant. J’habite loin donc je fais souvent la navette et les répétitions ont souvent lieu en soirée.”
Ce qui m’a motivé à participer à cette élection, c’est l’envie de découvrir de nouvelles opportunités, car c'est ce qui me motive. C’est une grande première pour moi, Mister Tahiti.
Si je devais me décrire en trois mots, je dirais : un peu clown – j’aime faire rire –, déterminé – quand j’ai un objectif, j'y vais à fond – et têtu – parce que je finis toujours par faire ce que j’ai décidé, même si on me met en garde.
Dans la vie, ce que j’aime par-dessus tout, c’est passer du temps avec mes proches. Je suis passionné de sports de combat, notamment le MMA, ainsi que de sports mécaniques, de mécanique en général et de voyage. Actuellement, je suis en recherche d’emploi.
Parmi mes qualités, je dirais que je fonce sans trop me poser de questions. Mon principal défaut ? Je me lasse parfois un peu vite.
Depuis le début de cette aventure, c'est super. Mais c'est épuisant. J’habite loin donc je fais souvent la navette et les répétitions ont souvent lieu en soirée.”
Jonas Ipu, 31 ans, candidat n°2
“J'ai 31 ans, je suis originaire de Papeete et je représente la couleur bleue. Je suis le candidat numéro 2.
C’est ma famille qui m’a encouragé à participer à cette élection dans un premier temps. Et puis je me suis dit pourquoi pas, pour sortir de ma zone de confort et me surpasser.
Si je devais me décrire en trois mots, je dirais que je suis déterminé, un peu réservé et généreux avec les personnes de mon entourage et que j’apprécie.
Je suis passionné par les sports aquatiques, en particulier la chasse sous-marine – une passion transmise par mon père – mais aussi le surf et le va’a. Dans la vie professionnelle, je suis frigoriste de métier.
Parmi mes qualités, je dirais que je suis solaire et optimiste. Mais j’ai aussi mes défauts : je peux être assez têtu.
Pour ce début d'aventure, j’ai appris à mieux connaître les autres candidats. Ce n’était pas évident pour moi de poser devant l’objectif lors des premiers shootings.”
C’est ma famille qui m’a encouragé à participer à cette élection dans un premier temps. Et puis je me suis dit pourquoi pas, pour sortir de ma zone de confort et me surpasser.
Si je devais me décrire en trois mots, je dirais que je suis déterminé, un peu réservé et généreux avec les personnes de mon entourage et que j’apprécie.
Je suis passionné par les sports aquatiques, en particulier la chasse sous-marine – une passion transmise par mon père – mais aussi le surf et le va’a. Dans la vie professionnelle, je suis frigoriste de métier.
Parmi mes qualités, je dirais que je suis solaire et optimiste. Mais j’ai aussi mes défauts : je peux être assez têtu.
Pour ce début d'aventure, j’ai appris à mieux connaître les autres candidats. Ce n’était pas évident pour moi de poser devant l’objectif lors des premiers shootings.”
Manuarii Teheiura, 28 ans, 1,86 m, candidat n°3
“Je viens de Mahina. Je suis électrotechnicien à la Polynésienne des Eaux et, en parallèle, je consacre une grande partie de mon temps libre au CrossFit. Ça fait plus de dix ans que je pratique, à raison de près de 20 heures par semaine. Je suis un compétiteur dans l’âme. J’ai toujours eu l’habitude de me mettre dans des situations extrêmes pour me dépasser et cette élection, c’est justement une manière d’aller encore plus loin. Je la vis comme un nouveau challenge personnel.
Au-delà de la compétition, j’ai envie de mettre en avant une cause qui me tient à cœur : la santé et le bien-être à travers le sport. J’aimerais sensibiliser et aider ceux qui, comme moi, peuvent trouver dans l’activité physique une voie vers l’équilibre et l’épanouissement.”
Au-delà de la compétition, j’ai envie de mettre en avant une cause qui me tient à cœur : la santé et le bien-être à travers le sport. J’aimerais sensibiliser et aider ceux qui, comme moi, peuvent trouver dans l’activité physique une voie vers l’équilibre et l’épanouissement.”
Moana Sandford, 43 ans, 1,82, candidat n°4
“Je viens de Papeete. Je suis professeur des écoles à l’établissement Pina’i de Tipaerui. En parallèle, je suis passionné de ‘ori Tahiti, une discipline que je pratique depuis plusieurs années. Cette année, je participe au Heiva i Tahiti, en solo, malgré mon âge. Je sais que 43 ans, c’est en dehors des standards habituels du concours, mais je considère que c’est aussi une force. Avec l’âge viennent la maturité, l’expérience et un vrai équilibre entre le corps et l’esprit.
Si j’ai choisi de participer à Mister Tahiti, c’est aussi pour donner du sens à une cause qui me tient profondément à cœur. Je travaille actuellement sur un livre sur la violence en Polynésie, sous toutes ses formes, notamment celle qui s’exerce sur les réseaux sociaux. Je voulais vivre cette expérience de l’intérieur, car il y a beaucoup de violence même dans ce type de concours, et je pense qu’on souffre d’un vrai manque d’empathie dans notre société. Grâce à cette visibilité, j’espère pouvoir ouvrir le dialogue et sensibiliser autour de ces questions.”
Si j’ai choisi de participer à Mister Tahiti, c’est aussi pour donner du sens à une cause qui me tient profondément à cœur. Je travaille actuellement sur un livre sur la violence en Polynésie, sous toutes ses formes, notamment celle qui s’exerce sur les réseaux sociaux. Je voulais vivre cette expérience de l’intérieur, car il y a beaucoup de violence même dans ce type de concours, et je pense qu’on souffre d’un vrai manque d’empathie dans notre société. Grâce à cette visibilité, j’espère pouvoir ouvrir le dialogue et sensibiliser autour de ces questions.”
Tamatoa Tauhiro, 28 ans, 1,75 m, candidat n°5
“Je viens de Paea et je porte la couleur marron. Je suis un passionné de sport, en particulier de musculation et de rugby. Je joue au sein du Paea Manu Ura Rugby Club. Côté musique, j’aime les sonorités locales, notamment les artistes comme Angelo, mais j’écoute aussi des morceaux plus modernes, selon l’ambiance.
C’est un ami proche qui m’a inscrit au concours, un peu sur un coup de tête. Je me suis dit : ‘Qui ne tente rien n’a rien’. Alors j’ai décidé de foncer. Même si je suis de nature un peu timide, je suis aujourd’hui à fond dans cette aventure et je n’ai pas l’intention de faire marche arrière. À travers ma participation, j’ai envie de mettre en avant une cause qui me tient à cœur : la valorisation du sport, et surtout du rugby, auprès des jeunes. Mon rêve, c’est de voir les jeunes talents de Polynésie partir en métropole, intégrer des sélections, évoluer. Quelques mots pour me décrire ? Je dirais que je suis dévoué et motivé.”
C’est un ami proche qui m’a inscrit au concours, un peu sur un coup de tête. Je me suis dit : ‘Qui ne tente rien n’a rien’. Alors j’ai décidé de foncer. Même si je suis de nature un peu timide, je suis aujourd’hui à fond dans cette aventure et je n’ai pas l’intention de faire marche arrière. À travers ma participation, j’ai envie de mettre en avant une cause qui me tient à cœur : la valorisation du sport, et surtout du rugby, auprès des jeunes. Mon rêve, c’est de voir les jeunes talents de Polynésie partir en métropole, intégrer des sélections, évoluer. Quelques mots pour me décrire ? Je dirais que je suis dévoué et motivé.”
Brandon Lee, 18 ans, candidat n°6
“Je viens de Pirae et je porte la couleur rouge. Je suis passionné de musculation, c’est une activité qui me fait du bien. À côté du sport, j’écoute beaucoup de musique, que ce soit locale ou plus actuelle – j’aime vraiment un peu de tout. Je suis quelqu’un d’assez introverti, alors participer à Mister Tahiti, c’est pour moi un vrai défi personnel. C’est une façon de sortir de ma zone de confort, de dépasser mes peurs et de prendre confiance en moi.
C’est aussi ma famille qui m’a encouragé à me lancer et je leur suis reconnaissant. À travers ce concours, je veux aussi parler d’un sujet qui me touche directement : l’obésité. J’ai moi-même été concerné par ce problème, alors je sais ce que ça représente. Aujourd’hui, j’aimerais utiliser cette expérience pour sensibiliser. Si je devais me décrire en quelques mots ? Je dirais : beau et motivé.”
C’est aussi ma famille qui m’a encouragé à me lancer et je leur suis reconnaissant. À travers ce concours, je veux aussi parler d’un sujet qui me touche directement : l’obésité. J’ai moi-même été concerné par ce problème, alors je sais ce que ça représente. Aujourd’hui, j’aimerais utiliser cette expérience pour sensibiliser. Si je devais me décrire en quelques mots ? Je dirais : beau et motivé.”
Nohoraii Thuau, 24 ans, 1,89 m, candidat n°7
“Je suis le candidat numéro 7 et je porte la couleur rose. Originaire de Raiatea, j’ai 24 ans et je pratique le kayak surfski.
Je suis quelqu'un de déterminé, rigoureux et très sociable, je me suis inscrit à cette élection avec la volonté de représenter fièrement l’archipel des Raromatai. En 2022, j’ai eu l’honneur d’être élu premier challenger à l’élection de Mister Raromatai. Ce titre m’a permis de rester dans les mémoires, et trois ans plus tard, on m’a proposé de représenter les îles Sous-le-Vent à l’élection de Mister Tahiti 2025.
La cause que je défends est celle du sport comme alternative aux addictions. Je suis convaincu que le sport peut être un puissant levier pour sortir de la spirale des dépendances. Aujourd’hui, la jeunesse a besoin d'exemples et de projets. À travers le kayak surfski, j’ai trouvé mon équilibre. Le sport a changé ma vie et c’est ce message d’espoir que je veux porter : il peut changer la vôtre aussi.
Enfin, cette aventure humaine dépasse ce à quoi je m'attendais. Entre les candidats, une vraie fraternité s’est installée. On est presque devenu des frères avec les autres candidats.”
Je suis quelqu'un de déterminé, rigoureux et très sociable, je me suis inscrit à cette élection avec la volonté de représenter fièrement l’archipel des Raromatai. En 2022, j’ai eu l’honneur d’être élu premier challenger à l’élection de Mister Raromatai. Ce titre m’a permis de rester dans les mémoires, et trois ans plus tard, on m’a proposé de représenter les îles Sous-le-Vent à l’élection de Mister Tahiti 2025.
La cause que je défends est celle du sport comme alternative aux addictions. Je suis convaincu que le sport peut être un puissant levier pour sortir de la spirale des dépendances. Aujourd’hui, la jeunesse a besoin d'exemples et de projets. À travers le kayak surfski, j’ai trouvé mon équilibre. Le sport a changé ma vie et c’est ce message d’espoir que je veux porter : il peut changer la vôtre aussi.
Enfin, cette aventure humaine dépasse ce à quoi je m'attendais. Entre les candidats, une vraie fraternité s’est installée. On est presque devenu des frères avec les autres candidats.”
John Diop, 29 ans, 1,87 m, candidat n°8
“Je suis quelqu’un de sociable, respectueux et altruiste – ceux qui me connaissent pourront le confirmer. Cela faisait plusieurs années que mes amis me disaient : ‘Vas-y, présente-toi !’ Déjà en 2015, j’avais remporté Mister Faa’a. Il y a deux ans, j’ai traversé une période compliquée, un vrai tournant dans ma vie. Mon estime de moi en a pris un coup et j’avais besoin de me reconstruire. Participer à Mister Tahiti, c’est ma manière à moi de retrouver confiance et de me relever. C’est aussi un message que je veux faire passer : si tu as une idée, vas-y.
Peu importe ce que les gens pensent. J’ai aussi envie de défendre notre culture. Pas seulement au sens traditionnel, mais dans notre façon d’être, dans nos valeurs de tous les jours : le respect, l’authenticité, le partage. Ce sont des choses qu’on commence à perdre, avec la vitesse à laquelle tout va aujourd’hui. J’espère être un bon ambassadeur de cette culture et de ce que la Polynésie représente.”
Peu importe ce que les gens pensent. J’ai aussi envie de défendre notre culture. Pas seulement au sens traditionnel, mais dans notre façon d’être, dans nos valeurs de tous les jours : le respect, l’authenticité, le partage. Ce sont des choses qu’on commence à perdre, avec la vitesse à laquelle tout va aujourd’hui. J’espère être un bon ambassadeur de cette culture et de ce que la Polynésie représente.”
Ruahei Faatau, 24 ans, 1,87 m, candidat n°9
“Je porte la couleur jaune. Je suis le candidat numéro 9. Ce sont mes amis qui m’ont encouragé à tenter l’aventure Mister Tahiti. Au départ, je n’y avais pas vraiment pensé, mais je me suis dit : pourquoi pas ? Je connais la scène grâce à la danse, alors je me suis lancé. Go, c’était parti.
La cause qui me tient à cœur, c’est celle de la jeunesse. J’aimerais inciter les jeunes à sortir de la rue, à quitter la route pour s’investir dans une activité qui les passionne : la danse, la musique, le sport… J’ai moi-même connu ça. Et c’est la danse qui m’a permis de sortir de tout ça.
Dans la vie, je suis technicien en froid. Et après le travail, je vais à la danse. En ce moment, je me prépare pour le Heiva.
Depuis le début de l’aventure Mister Tahiti, l'expérience est top. L’ambiance est vraiment bonne, les autres candidats sont super et une vraie complicité s’est créée entre nous. Je suis fier de faire partie de ce groupe et de cette belle aventure.”
La cause qui me tient à cœur, c’est celle de la jeunesse. J’aimerais inciter les jeunes à sortir de la rue, à quitter la route pour s’investir dans une activité qui les passionne : la danse, la musique, le sport… J’ai moi-même connu ça. Et c’est la danse qui m’a permis de sortir de tout ça.
Dans la vie, je suis technicien en froid. Et après le travail, je vais à la danse. En ce moment, je me prépare pour le Heiva.
Depuis le début de l’aventure Mister Tahiti, l'expérience est top. L’ambiance est vraiment bonne, les autres candidats sont super et une vraie complicité s’est créée entre nous. Je suis fier de faire partie de ce groupe et de cette belle aventure.”
Roane Atu, 18 ans, 1,95 m, candidat n°10
“Je suis le candidat numéro 10. J’ai 18 ans. Je représente la couleur mauve. C’est grâce à mon élection en tant que Mister Papara 2025 que j’ai participé à Mister Tahiti.
Représenter ma commune, c'est ma volonté de continuer. Ma cause est celle des sans-abris. Depuis que je suis tout petit, j’ai toujours été profondément touché en les voyant dans la rue. Je voulais leur donner à manger. Ça m'a marqué.
Je suis actuellement élève en bac professionnel électricité au lycée de Papara et j’envisage de poursuivre mes études en BTS électrotechnique à la rentrée. En parallèle, je pratique le va’a depuis maintenant sept ans. C'est ma passion.
Depuis le début de cette aventure, tout se passe bien. Même si ça fait peu de temps, on s'entend bien entre candidats, on a découvert des amis. Et le comité est agréable et nous suis parfaitement.”
Représenter ma commune, c'est ma volonté de continuer. Ma cause est celle des sans-abris. Depuis que je suis tout petit, j’ai toujours été profondément touché en les voyant dans la rue. Je voulais leur donner à manger. Ça m'a marqué.
Je suis actuellement élève en bac professionnel électricité au lycée de Papara et j’envisage de poursuivre mes études en BTS électrotechnique à la rentrée. En parallèle, je pratique le va’a depuis maintenant sept ans. C'est ma passion.
Depuis le début de cette aventure, tout se passe bien. Même si ça fait peu de temps, on s'entend bien entre candidats, on a découvert des amis. Et le comité est agréable et nous suis parfaitement.”















































