Hekia Parata
WELLINGTON, jeudi 17 octobre 2013 (Flash d’Océanie) – Les ministres français et néo-zélandais de l’éducation, Vincent Peillon et Hekia Parata, ont signé fin septembre 2013 à Paris un accord portant sur les modalités administratives en matière de coopération éducative entre les deux pays, a annoncé jeudi l’Ambassade de France en Nouvelle-Zélande.
Cette convention vise à « renforcer la coopération éducative et linguistique entre les deux pays », notamment dans les domaines des échanges entre établissements scolaires français et néo-zélandais.
Les volets couverts comprennent les programmes d’échange et de formation d’enseignants et d’assistants linguistiques ainsi que l’enseignement bilingue français/anglais (qui comporte déjà deux programmes à Auckland au niveau primaire, dont un a reçu le Label FrancEducation en 2012).
Lors de sa rencontre avec son homologue néo-zélandaise, le ministre français Vincent Peillon « s’est félicité de la place de la langue française dans le système éducatif néo-zélandais ».
« Avec 54.000 apprenants, le français est la première langue étrangère enseignée en Nouvelle-Zélande. Cette position reflète l’importance du français comme langue de communication internationale, mais aussi comme langue du Pacifique (550.000 locuteurs dans la région), précisent les mêmes sources.
Autre sujet abordé par les deux ministres à Paris, lors d’une entrevue le 27 septembre 2013 : les cérémonies de la commémoration du centenaire de la première guerre mondiale (1914-1918), prévues pour s’échelonner à partir de 2014 et jusqu’en 2018.
Au plan éducatif, ce thème sera mis en exergue lors des échanges scolaires qui interviendront entre les deux pays, via un module dédié aux « Mémoires héritées, histoires partagées », repris en Nouvelle-Zélande sous le titre « Shared histories ».
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Cette convention vise à « renforcer la coopération éducative et linguistique entre les deux pays », notamment dans les domaines des échanges entre établissements scolaires français et néo-zélandais.
Les volets couverts comprennent les programmes d’échange et de formation d’enseignants et d’assistants linguistiques ainsi que l’enseignement bilingue français/anglais (qui comporte déjà deux programmes à Auckland au niveau primaire, dont un a reçu le Label FrancEducation en 2012).
Lors de sa rencontre avec son homologue néo-zélandaise, le ministre français Vincent Peillon « s’est félicité de la place de la langue française dans le système éducatif néo-zélandais ».
« Avec 54.000 apprenants, le français est la première langue étrangère enseignée en Nouvelle-Zélande. Cette position reflète l’importance du français comme langue de communication internationale, mais aussi comme langue du Pacifique (550.000 locuteurs dans la région), précisent les mêmes sources.
Autre sujet abordé par les deux ministres à Paris, lors d’une entrevue le 27 septembre 2013 : les cérémonies de la commémoration du centenaire de la première guerre mondiale (1914-1918), prévues pour s’échelonner à partir de 2014 et jusqu’en 2018.
Au plan éducatif, ce thème sera mis en exergue lors des échanges scolaires qui interviendront entre les deux pays, via un module dédié aux « Mémoires héritées, histoires partagées », repris en Nouvelle-Zélande sous le titre « Shared histories ».
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