Madame / Monsieur,
Une certaine presse, toujours avide de se faire l’écho des ragots les moins vérifiés laisse entendre que le rapatriement de l’équipage de « O Tahiti Nui Freedom » aurait été financé par l’APF . La construction, l’expédition, et le retour des marins de « O Tahiti Nui Freedom » ont été intégralement financés sur le budget propre de l’association « Te vaka no te tau a u’iu’i ». Ces fonds sont issus des dons individuels (de 500 f cfp à 1 000 000 f cfp), et des partenariats noués avec de grandes entreprises de la place telles que l’OPT, l’EDT, SAT NUI ,Carrefour, Tikiphone, ISS, et d’autres plus petites, comme par exemple « Ernest Jardinage », qui a voulu participer à sa manière à l’aventure. La comptabilité de l’association est là pour prouver très facilement ces faits.
« O Tahiti Nui Freedom » c’est, depuis août, 26000 visiteurs uniques par jour sur son site internet, dont 23 000 chinois. C’est un mini-site dédié sur le web du « Quotidien du peuple », principal organe de presse chinois. C’est la UNE des journaux chinois pendant 5 jours d’affilée. Ce sont aussi plusieurs passages aux journaux télévisés de 3 chaînes du bouquet CCTV, la télévision nationale chinoise. C’est bientôt deux documentaires de 26 minutes préparés par cette même CCTV, et également une exposition permanente au sein du seul musée maritime national de Chine, à Shanghai. Quelle autre initiative a donc assuré à notre Fenua une telle exposition médiatique en Chine ?
Pendant que les éternels aigris continuent de se plaindre, un groupe de Polynésiens s’est demandé ce qu’il pouvait faire pour son Pays. Une communauté de donateurs les a soutenu. Preuve qu’on peut faire de belles choses quand on s’en donne la peine.
Mauruuru, e te aroha ia rahi.
Keitapu MAAMAATUAIAHUTAPU
Une certaine presse, toujours avide de se faire l’écho des ragots les moins vérifiés laisse entendre que le rapatriement de l’équipage de « O Tahiti Nui Freedom » aurait été financé par l’APF . La construction, l’expédition, et le retour des marins de « O Tahiti Nui Freedom » ont été intégralement financés sur le budget propre de l’association « Te vaka no te tau a u’iu’i ». Ces fonds sont issus des dons individuels (de 500 f cfp à 1 000 000 f cfp), et des partenariats noués avec de grandes entreprises de la place telles que l’OPT, l’EDT, SAT NUI ,Carrefour, Tikiphone, ISS, et d’autres plus petites, comme par exemple « Ernest Jardinage », qui a voulu participer à sa manière à l’aventure. La comptabilité de l’association est là pour prouver très facilement ces faits.
« O Tahiti Nui Freedom » c’est, depuis août, 26000 visiteurs uniques par jour sur son site internet, dont 23 000 chinois. C’est un mini-site dédié sur le web du « Quotidien du peuple », principal organe de presse chinois. C’est la UNE des journaux chinois pendant 5 jours d’affilée. Ce sont aussi plusieurs passages aux journaux télévisés de 3 chaînes du bouquet CCTV, la télévision nationale chinoise. C’est bientôt deux documentaires de 26 minutes préparés par cette même CCTV, et également une exposition permanente au sein du seul musée maritime national de Chine, à Shanghai. Quelle autre initiative a donc assuré à notre Fenua une telle exposition médiatique en Chine ?
Pendant que les éternels aigris continuent de se plaindre, un groupe de Polynésiens s’est demandé ce qu’il pouvait faire pour son Pays. Une communauté de donateurs les a soutenu. Preuve qu’on peut faire de belles choses quand on s’en donne la peine.
Mauruuru, e te aroha ia rahi.
Keitapu MAAMAATUAIAHUTAPU
