Dans ce classement 2010, qui passe en revue quelque 178 pays, la Nouvelle-Zélande est placée première ex-æquo avec le Danemark et Singapour, lui conférant ainsi le titre officieux de pays le moins corrompu au monde (tout comme en 2009), juste devant la Finlande et la Suède.
L’Australie est placée huitième.
Concernant les pays océaniens, outre la Nouvelle-Zélande et l’Australie, ce classement attribue la 62ème place à Samoa, la 73ème à Vanuatu, la 91ème à Kiribati, la 101ème au royaume de Tonga, la 110ème aux îles Salomon, la 127ème au Timor oriental, et la 154ème place à la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Le représentant de l’antenne papoue de Transparency International, Peter Aitsi, en réaction à ces chiffres, a souligné que la place de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, ces dernières années, avait peu évolué, contrairement à d’autres pays océaniens.
Il attribue cette stagnation à un manque de volonté politique en matière de lutte contre une corruption largement répandue, notamment dans la police.
Il souligne toutefois que des tentatives d’élaboration d’une stratégie en la matière avaient pu être constatées, mais que jusqu’ici, elles n’avaient pas encore été suivies d’actes ou de mises en œuvre.
Les États-Unis, rétrogradés de la 19ème à la 22ème place, sont sortis du Top 20 de ce classement, qui affiche une démarche non pas basée sur la mesure scientifique de chiffres, mais sur la « perception » telle qu’exprimée par des relais locaux.
Le Royaume-Uni est cette année vingtième, la France 22ème, la Belgique 22ème.
Tout en bas de classement, on trouve aussi la Somalie, la Birmanie ou encore l’Afghanistan et l’Irak.
L’Australie est placée huitième.
Concernant les pays océaniens, outre la Nouvelle-Zélande et l’Australie, ce classement attribue la 62ème place à Samoa, la 73ème à Vanuatu, la 91ème à Kiribati, la 101ème au royaume de Tonga, la 110ème aux îles Salomon, la 127ème au Timor oriental, et la 154ème place à la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Le représentant de l’antenne papoue de Transparency International, Peter Aitsi, en réaction à ces chiffres, a souligné que la place de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, ces dernières années, avait peu évolué, contrairement à d’autres pays océaniens.
Il attribue cette stagnation à un manque de volonté politique en matière de lutte contre une corruption largement répandue, notamment dans la police.
Il souligne toutefois que des tentatives d’élaboration d’une stratégie en la matière avaient pu être constatées, mais que jusqu’ici, elles n’avaient pas encore été suivies d’actes ou de mises en œuvre.
Les États-Unis, rétrogradés de la 19ème à la 22ème place, sont sortis du Top 20 de ce classement, qui affiche une démarche non pas basée sur la mesure scientifique de chiffres, mais sur la « perception » telle qu’exprimée par des relais locaux.
Le Royaume-Uni est cette année vingtième, la France 22ème, la Belgique 22ème.
Tout en bas de classement, on trouve aussi la Somalie, la Birmanie ou encore l’Afghanistan et l’Irak.
Liens utiles :
http://www.transparency.org/policy_research/surveys_indices/cpi/2010/results
http://www.transparence-france.org/e_upload/pdf/cpi2010_table_2010.pdf
http://www.transparency.org/news_room/latest_news/press_releases/2010/2010_10_26_cpi2010_fr
http://www.transparence-france.org/ewb_pages/div/Indice_de_Perception_de_la_Corruption_2010.php
