Paris, France | AFP | jeudi 01/04/2020 - Le chanteur CharlElie Couture annonce sur sa page Facebook qu'il se remet du coronavirus après "huit jours/nuits terribles", sans avoir toutefois souffert d'insuffisance respiratoire.
L'interprète de "Comme un avion sans aile", 64 ans, explique avoir été "enfiévré du matin au soir et plus encore pendant la nuit", le thermomètre oscillant "entre 38,4° et 39,8°". "Maux de tête, spasmes et tremblotements, le corps en vrac et la nuque qui craque, un clou entre les omoplates", décrit encore le natif de Nancy, confiné dans "le Grand Est" selon un autre post.
Ce touche à tout - musique, peinture, photographie, etc - n'a en revanche "jamais senti l’oppression de l'insuffisance respiratoire nécessitant de faire appel à une assistance publique".
"+Nous sommes dans les normes, tout va bien+ a dit le médecin resté zen, poursuit l'artiste. +Il vous faut juste faire preuve de patience+. En fait de patience, j’ai peut-être un peu trop attendu avant de profiter de son Savoir et de sa Connaissance".
Le médecin lui a "envoyé une prescription d’antibiotiques pour +protéger les poumons+". "Et voilà le résultat : je retrouve (...) mon clavier pour écrire ces quelques lignes. Normalement, ça devrait être bon. Si je ne me fais pas fouetter par un retour de queue de ce virus du Diable, j’ai peut-être franchi le cap", conclut l'auteur de "Jacobi marchait".
L'interprète de "Comme un avion sans aile", 64 ans, explique avoir été "enfiévré du matin au soir et plus encore pendant la nuit", le thermomètre oscillant "entre 38,4° et 39,8°". "Maux de tête, spasmes et tremblotements, le corps en vrac et la nuque qui craque, un clou entre les omoplates", décrit encore le natif de Nancy, confiné dans "le Grand Est" selon un autre post.
Ce touche à tout - musique, peinture, photographie, etc - n'a en revanche "jamais senti l’oppression de l'insuffisance respiratoire nécessitant de faire appel à une assistance publique".
"+Nous sommes dans les normes, tout va bien+ a dit le médecin resté zen, poursuit l'artiste. +Il vous faut juste faire preuve de patience+. En fait de patience, j’ai peut-être un peu trop attendu avant de profiter de son Savoir et de sa Connaissance".
Le médecin lui a "envoyé une prescription d’antibiotiques pour +protéger les poumons+". "Et voilà le résultat : je retrouve (...) mon clavier pour écrire ces quelques lignes. Normalement, ça devrait être bon. Si je ne me fais pas fouetter par un retour de queue de ce virus du Diable, j’ai peut-être franchi le cap", conclut l'auteur de "Jacobi marchait".